Les automobile familiales à sept places telles que la Peugeot 5008, la VW Touran ou encore le Citroën C4 Grand Space Tourer sont-elles trop onéreuses en raison de leur popularité ? Turbo.fr et Ma Voiture Idéale vous proposent une sélection de véhicules alternatifs qui méritent votre considération.

Grand C-Max de Ford

Sortie en 2010, la deuxième mouture de ce monospace compact arborant le logo bleu a enfin adopté la version sept places avec un châssis allongé, à l’image de ses concurrents. Mesurant 4,62 mètres de pare-choc à pare-choc, le Grand C-Max reste agile et jouit notamment, comme de nombreuses Ford de cette période, d’une conduite plaisante, avec une direction précise et des suspensions raffinées qui offrent à la fois confort et plaisir de conduite. L’offre moteur est variée avec des variantes essence allant de 105 à 180 chevaux, et des diesels de 95 à 163 chevaux.

À l’intérieur, la flexibilité est un attrait avec trois sièges individuels et coulissants ainsi que deux assises d’appoint rétractables à l’arrière qui conviennent aux enfants ou, à l’occasion, à des adultes pour de courts trajets. Si la finition est correcte, l’ergonomie peut décevoir avec une surabondance de boutons qui peut être difficile à manipuler, particulièrement pour les grosses mains. Heureusement, la position de conduite est pratiquement idéale, extrêmement proche de celle de la Focus, autre modèle de la marque.

Notre opinion

Bien que son esthétisme ne soit pas son fort, ses qualités fonctionnelles méritent l’attention. Attention aux moteurs d’entrée de gamme qui peinent lorsqu’ils sont chargés et au remplacement coûteux de la distribution sur le trois-cylindres 1.0 Ecoboost. Le choix n’est pas énorme en seconde main en France, mais on en trouve à partir de 5 000 € pour les diesels et 7 000 € pour les essence, en bon état et sans besoin immédiat d’entretien lourd malgré un kilométrage important.

Série 2 Gran Tourer de BMW

Il était improbable de penser que la célèbre marque allemande, adepte des six-cylindres et de la propulsion, se lancerait dans un monospace compact. Pourtant, c’est ce qui s’est produit en 2014 avec l’Active Tourer, suivi en 2015 par la version sept places, le Gran Tourer. Différent de son homologue cinq places, cette variante compacte à l’hélice se distingue par sa ligne de toit très droite qui maximise le volume du coffre et facilite l’intégration de sièges escamotables dans le plancher.

Avec une longueur de 4,56 mètres, le Gran Tourer reste une véritable BMW, malgré ses similitudes avec Mini (traction avant, moteur transversal), grâce à une conduite agréable et surtout une modularité intelligente. Comme souvent chez BMW, la position de conduite est optimisée pour de longues distances, bien qu’une suspension un peu ferme, notamment avec de grandes jantes, soit à noter. Ce modèle familial est équipé de moteurs essence et diesel dont la puissance s’étend de 95 à 192 chevaux. Il ne propose toutefois pas de version hybride rechargeable à l’inverse de son homologue cinq places.

Notre avis

À la surprise générale, BMW propose avec ce modèle un monospace compact sept places adapté aux besoins familiaux. Bien conçu et assez ingénieux, il offre une expérience de conduite agréable grâce, notamment, à ses transmissions manuelles précises et ses boîtes automatiques bien optimisées. Les moteurs diesel sobres et efficaces, à l’exception du 214d de 95 chevaux un peu faible à pleine charge, sont aussi un point fort. On le trouve aisément d’occasion, avec un prix de départ de 10 000 € pour le diesel et 14 000 € pour l’essence.

Renault Grand Scénic IV

Précurseur en 1996, ce modèle désormais disponible en version entièrement électrique a inauguré les monospaces compacts, séduisant de nombreuses familles en Europe et au-delà. La dernière version, toujours disponible en deux longueurs (courte et sept places), n’a peut-être pas le charme visuel du Peugeot 5008, mais elle offre plusieurs avantages, notamment la fiabilité appréciée du moteur essence 1.3 TCe conçu avec Mercedes-Benz. Ce n’est pas un atout que Peugeot ou Citroën peuvent revendiquer.

Avec ses 4,63 mètres, le Grand Scénic IV peut accueillir sept occupants mais se passe des sièges individuels au second rang, leur préférant une banquette 2/3-1/3. Assemblé avec soin, bien qu’il s’agisse du modèle le plus récent présenté ici, ses caractéristiques tech déçoivent par un écran central au design désuet. Heureusement, connecter un smartphone via Apple CarPlay ou Android Auto améliore l’expérience utilisateur.

Agréable à conduire avec un comportement routier remarquable, ce modèle familial, noté pour ses grandes roues de 20 pouces au moment de sa sortie en 2016, cumule les avantages. Cependant, il souffre d’un confort ferme sur route abîmée. Malgré cela, il permet de profiter d’instants agréables grâce aux nombreux espaces de rangement et à l’abondance de lumière dans l’habitacle, lorsqu’il est équipé du toit vitré en option.

Notre point de vue

Avec un marché français abondant, trouver le modèle qui vous convient est aisé. Malheureusement, les versions les plus fiables sont souvent les plus demandées, mais pas nécessairement les plus chères. Le moteur essence 1.3 TCe, disponible à partir de 11 000 €, se distingue, bien que le 1.2 TCe soit aussi une option intéressante à condition d’être fiabilisé. La version diesel 1.7 dCi débute à 7 500 €, avec un kilométrage généralement élevé. Les moteurs diesel 1.5 et 1.6 dCi sont également valables, bien que leur puissance de 110 chevaux puisse être limitée en charge.

Ce jeudi 7 novembre, les forces de l’ordre ont intercepté un conducteur roulant à une vitesse bien supérieure à la limite autorisée sur une route départementale. Avec une telle infraction, il est très probable que son permis de conduire soit suspendu pour une durée notable par la justice.

La soirée s’est mal terminée pour le conducteur d’une BMW X3 circulant en Saône-et-Loire. Aux alentours de 23h30, lors d’un contrôle de vitesse sur la RD 906, il a été surpris en infraction majeure. Les gendarmes du peloton motorisé de Charnay-Lès-Mâcon étaient en mission de surveillance dans le secteur de Vinzelles. Le conducteur a été enregistré à 154 km/h, sur une portion de route où la limite est de 80 km/h, soit un excès de 74 km/h. Même si, après rectification, la vitesse retenue est descendue à 146 km/h, cela ne change guère les perspectives pour cet automobiliste.

Un permis de conduire en période d’essai

En vérifiant les documents du véhicule ainsi que ceux du conducteur, les gendarmes ont découvert que ce dernier ne disposait que d’un permis probatoire, n’accumulant donc que 6 points au total.

Rétention du permis et immobilisation du véhicule

Dans l’immédiat, les forces de l’ordre ont procédé à la confiscation du permis du conducteur imprudent. En outre, son véhicule a été temporairement privé de ses déplacements. Le SUV allemand performant a été conduit à la fourrière la plus proche, marquant ainsi le début d’une série de conséquences.

Suspension potentielle du permis pour le contrevenant

Une telle violation de la limite de vitesse sur une route non conçue pour cela ne peut rester sans suites. Le conducteur sera convoqué devant la justice pour répondre de ses actes. À l’issue de ce rendez-vous légal, il pourrait écoper d’une amende de 1500€, d’une perte de six points sur son permis, ainsi que d’une suspension de permis qui pourrait s’étendre jusqu’à trois ans. Si le tribunal applique strictement le Code de la route, une perte de six points entraînerait l’annulation du permis. Cela pourrait également comprendre une interdiction de repasser l’examen du permis pour plusieurs mois.

Crédit photo : capture d’écran Facebook Gendarmerie de Saône-et-Loire

Révélé au Salon de Tokyo 2023, le concept Iconic SP montrait clairement la direction d’un futur modèle de série.

Au cours du Japan Mobility Show 2023, Mazda a présenté un impressionnant concept de coupé sportif appelé Iconic SP intégrant un moteur rotatif et une propulsion électrique, similaire au récent MX-30 REV. Beaucoup ont extrapolé, nous y compris, qu’il annonçait la prochaine mouture de la MX-5. Cette hypothèse semble bien se confirmer.

Probablement la même approche technique pour le modèle commercial

Les publications britanniques Autocar et Auto Express ont relayé les déclarations de Masahi Nakayagama, le chef du design chez Mazda. “Ce concept ne relève pas de ces exhibitions sans but. Il a été conçu dans l’objectif clair de voir le jour en série d’ici peu”, a-t-il affirmé. Cela laisse peu de place à l’incertitude.

Selon Naohito Saga, responsable de la recherche et développement, tout le développement de ce concept-car a été envisagé en vue d’une fabrication en série. Il déclare que le concept représente l’engagement de la marque en matière de « développement durable » et le rôle clé que le moteur rotatif jouera pour atteindre une empreinte zéro émission.

Hydrogène : une voie d’avenir avec le moteur électrique ?

Mazda a toujours été une marque qui se veut innovante sur le plan technique, et elle compte le rester. Pour préserver un modèle iconique comme la MX-5, dont la marque japonaise ne peut se dépouiller, une solution pérenne était nécessaire. Suivant l’exemple du MX-30 REV, le véhicule dérivé du concept Iconic SP combinerait un moteur électrique et un rotor, ce dernier étant utilisé comme générateur pour alimenter le moteur principal. Et pour diminuer encore les émissions de CO2, il serait envisageable d’alimenter les deux rotors (contre un seul sur le MX-30 REV) avec des carburants alternatifs, voire de l’hydrogène. Mazda continue de travailler sur cette solution pour l’intégrer à une plateforme entièrement électrique.

RX-7 ou MX-5 : Vers quel modèle se dirigera-t-on ?

La question reste de savoir si l’Iconic SP aboutira à une MX-5 ou rouvrira le chapitre du coupé RX-7. Auto Express affirme avec certitude que la seconde possibilité semble être la plus probable. Bien que compacte, l’Iconic SP dépasse largement les 4 mètres (4,18 m, ressemble à un Renault Captur) et pèse aux alentours de 1 500 kg. Ces spécifications correspondent davantage à un RX-7 qu’à une nouvelle MX-5. Il est difficile de statuer, mais il est certain que si l’Iconic SP marque le retour du RX-7, la nouvelle MX-5 s’en inspirera probablement d’un point de vue esthétique.

Dans le cas inverse, si ce coupé mène au prochain modèle de la MX-5, cela impliquera que ce dernier s’écartera de sa réputation de léger roadster. Toutefois, avec l’inévitable électrification, cela semble inéluctable.

Skyactiv-Z : En cours d’élaboration, nouveau moteur 4-cylindres

Les responsables de Mazda n’ont pas seulement évoqué le futur de l’Iconic SP, ils ont également abordé leur vision pour les années à venir. On note que bien que Mazda projette la mise au point d’une base pour de futurs modèles zéro émission attendus aux alentours de 2027, elle persiste avec les moteurs thermiques. Un moteur 4-cylindres de nouvelle génération succédera aux Skyactiv-G et Skyactiv-X pour répondre aux exigences Euro 7. Son lancement est prévu pour 2027. Cela signifie que l’arrêt des moteurs thermiques n’est pas encore d’actualité.

Par ailleurs, la marque poursuit le développement d’un hybride propre qui sera inauguré par la prochaine génération de CX-5, avant l’échéance de 2027. Que de promesses à l’horizon !

Le fabricant automobile allemand traverse une période délicate. Dans le but de raviver son succès sur le marché chinois, il vient de dévoiler une nouvelle marque accompagnée d’un concept intrigant, dont la surprise ne réside pas dans le design, mais dans l’absence de ses fameux quatre anneaux emblématiques.

À l’instar de nombreuses autres marques en ce moment, Audi fait face à des défis considérables. Au cours des neuf premiers mois de l’année, les ventes du segment haut de gamme/luxueux du groupe Volkswagen (comprenant Audi, Bentley et Lamborghini) ont chuté de 10,9 %, et celles des véhicules électriques de 5,9 %. Les chiffres d’Audi, qui est le principal moteur de ce sous-groupe, sont particulièrement préoccupants avec une baisse de 10,9 %. Selon une publication allemande relayée par l’agence Reuters, le constructeur pourrait être contraint de drastiquement réduire son personnel, mettant potentiellement 4 500 emplois (directs et indirects) en jeu.

Parallèlement, les véhicules thermiques vendus en Europe devraient voir leur prix augmenter prochainement, en raison des sanctions financières qu’Audi pourrait devoir subir dès l’année prochaine, suite aux normes CAFE plus strictes.

Néanmoins, la marque aux anneaux ne manque pas d’ambition. Ces dernières années de stagnation ont laissé place en 2024 à une vague de lancements de nouveaux modèles, tendance qui se poursuivra en 2025. En Chine, un marché qui représente une part significative de ses ventes globales, Audi a brillamment lancé une toute nouvelle marque, simplement nommée AUDI, et a révélé un modèle conceptuel baptisé « E concept ».

Une identité renouvelée avec un nouveau symbole

Afin de se distinguer des autres entités, le constructeur a opté pour une approche novatrice. Conformément au lancement d’une nouvelle marque, un nouvel emblème a été introduit. Au revoir les anneaux emblématiques, qui cèdent la place à un sobre « AUDI » tout en lettres. L’absence de la célèbre calandre octogonale, connue sous le nom de « Singleframe », accentue plus encore cette rupture avec l’identité traditionnelle de la marque. Il semble évident que cet effet de surprise est délibéré.

Pour retrouver l’essence de la marque, on pourrait s’attendre à une continuité dans la signature esthétique. Cependant, il est difficile de faire un lien direct avec les modèles actuels de la marque que l’on connaît. Une particularité notable réside dans l’architecture arrière qui reflète celle de l’avant, avec des bandes lumineuses encadrant un élément de couleur, créant un effet rectangulaire à l’avant et trapézoïdal à l’arrière. Il semble évident qu’Audi a porté une attention particulière à l’éclairage dynamique.

Le même constat s’applique à l’intérieur du véhicule, où l’on peine à retrouver des éléments familiers des modèles actuels de la marque. Cependant, la configuration moderne et colorée inclut un vaste écran qui surplombe le tableau de bord, intégrant également des caméras pour la rétrovision. Cet aspect devrait particulièrement séduire les amateurs de technologies de pointe, en adéquation avec le slogan d’Audi, « Vorsprung durch Technik » ou « l’avance par la technologie ».

Un design de break inattendu mais intéressant

La silhouette de ce concept ne manque pas d’étonner. En plus de ses formes épurées et de l’absence d’arêtes, la « E » se distingue comme une voiture de type break. Bien que la carrosserie type Avant soit courante chez ce constructeur, un SUV aurait pu sembler plus probable, étant donné leur popularité actuelle. Toutefois, cette tendance pourrait-elle s’inverser ? On observe en effet des mouvements chez d’autres fabricants comme Renault, dont le récent concept Emblème s’inscrit également dans un format break de chasse. Les breaks apparaissent peu à peu comme une solution pour les familles recherchant de l’espace, tout en étant alignés avec des objectifs de consommation réduite, du moins dans l’esprit des législateurs.

Par ailleurs, grâce à ses dimensions impressionnantes (4,87 mètres de long, 1,99 mètre de large, 1,46 mètre de haut), et surtout un empattement s’approchant des 3 mètres, cette Audi E semble bien armée pour séduire les consommateurs chinois, pour qui l’espace à bord est un critère de poids.

Collaboration avec SAIC pour une plateforme innovante

Il est crucial de mentionner que cette nouvelle marque Audi est née d’une collaboration avec un acteur majeur local, SAIC. Ce groupe chinois est également connu pour posséder la marque MG. Ensemble, ils ont développé une plateforme avancée (utilisant la fameuse architecture 800V, bien connue chez Audi) qui pourrait être mise à profit par MG également. Pour le concept “E”, cela se traduit par une batterie de 100 kWh, offrant une autonomie annoncée de 700 km sur le cycle chinois CLTC, ainsi que deux moteurs électriques disposés sur les essieux avant et arrière fournissant un total impressionnant de 775 ch et 800 Nm.

Ce modèle « E » prépare le terrain pour une série de trois véhicules de taille intermédiaire qui devraient entrer en production vers le milieu de l’année 2025.

De nombreux observateurs croyaient qu’Alpine avait verrouillé son tandem de pilotes pour la saison 2025 avec Pierre Gasly en tant que chef de file et Jack Doohan comme débutant issu de l’académie de l’équipe française. Cependant, Flavio Briatore, récemment devenu un acteur clé au sein de l’écurie, pourrait renverser les plans établis en intégrant l’une des stars montantes de la saison 2024.

En plus de remplacer le moteur Renault par un propulseur Mercedes à l’horizon 2026, Flavio Briatore pourrait prendre une décision radicale. Des rumeurs dans le paddock suggèrent que Jack Doohan, supposé remplacer Esteban Ocon en 2025, pourrait finalement perdre sa place. L’ex-dirigeant de Benetton et de Renault F1 envisagerait un pari audacieux pour la prochaine saison en intégrant Franco Colapinto aux côtés de Pierre Gasly dans la deuxième Alpine.

Intégrer Colapinto chez Alpine : une option séduisante

Sur le papier, cette idée semble prometteuse, et ce pour plusieurs raisons.

Un pilote performant d’entrée de jeu

Au cours de quelques Grands Prix au volant d’une Williams, Franco Colapinto a démontré qu’il pouvait être extrêmement compétitif. Sur six courses cette saison, il a réussi à marquer des points à deux reprises.

Disponible pour 2025

En outre, il ne dispose pas de contrat pour 2025. En effet, Carlos Sainz est attendu chez l’équipe britannique au moins pour une saison, et Sauber / Audi a confirmé Gabriel Bortoleto, que Fernando Alonso soutient, pour la deuxième place. La grille 2025 est officiellement presque complète. Une opportunité persiste chez Racing Bulls. Cependant, il est peu probable que Williams laisse partir un talent qu’elle a formé à la concurrence. En revanche, prêter Colapinto un an ou deux pour emmagasiner de l’expérience est envisageable. Cela dit, le plan pour Jack Doohan en 2025 vise un objectif similaire.

Un éventuel coup dur pour Alpine

L’arrivée de Flavio Briatore s’est faite avec l’ambition d’amener Alpine sur le podium dès 2026. Les modifications de la réglementation et du moteur pourraient aider l’équipe dans cette voie. Permettre à Jack Doohan de courir en 2025, comme prévu actuellement, lui donnerait la chance de développer ses compétences pendant que Pierre Gasly, dont les performances fiables ne sont plus à prouver, pourrait propulser la voiture en avant et marquer des points cruciaux lorsque l’opportunité se présente. En fait, remplacer Jack Doohan par Franco Colapinto serait un nouveau choc pour l’académie Alpine après l’incident Oscar Piastri en 2022. Pourquoi former des jeunes qu’on ne laisse pas évoluer dans la discipline reine des sports mécaniques ? Toutefois, il y a une lueur d’espoir : tout cela n’est, pour l’heure, qu’une rumeur, et Briatore n’a pas le dernier mot. Toute décision prise devra recevoir l’approbation de Luca De Meo, le PDG du groupe Renault.

La citadine électrique revisitée nécessite un élargissement de sa gamme

La citadine électrique, récemment rénovée, pourrait bénéficier d’un éventail plus large. De nombreux exemples ailleurs sont instructifs.

Réformée de manière significative au début de l’année, la Dacia Spring a presque tous les atouts sur le papier pour rééditer le succès de son prédécesseur. Elle pourrait même faire mieux, en théorie. Son design, revu et amélioré tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, lui donne une allure plus moderne. Cependant, tout n’est pas parfait. Certains facteurs ont modifié la donne.

Effondrement des ventes en 2024

Depuis fin 2023, un des obstacles provient du fait qu’elle n’est plus éligible au bonus dû à sa production en Chine. On imagine que le renforcement des droits de douane pour les véhicules provenant de ce pays pourrait aussi affecter ce modèle et le groupe Renault en général. De plus, l’arrivée de redoutables concurrentes aggrave la situation, notamment avec la Citroën ë-C3 qui, bien que plus spacieuse et puissante (113 ch contre 65 ch), est vendue à un prix similaire. 

Ainsi, les ventes ont dégringolé. En comparant les dix premiers mois de l’année, seulement 1 937 unités ont été vendues contre 24 394 pour la même période en 2023, soit une chute de 92 %. Et bien que les chiffres de ventes aient montré une reprise à partir de septembre, cela est probablement dû à une augmentation des modèles de démonstration. La question reste de savoir si cette amélioration attirera de nouveaux clients dans un avenir proche.

En résumé, un changement radical est indispensable pour redynamiser sa carrière. Il existe des initiatives intéressantes ailleurs, en Europe, qui pourraient inspirer le marché français…

Une déclinaison utilitaire au Royaume-Uni

La plus récente, bien qu’elle ne puisse pas être la plus populaire, provient du Royaume-Uni. Depuis le 5 novembre, la Spring est proposée en version utilitaire, appelée Cargo, dépourvue de sièges arrière. Son prix débute à 14 995 £ (un peu plus de 18 000 €) ou 149 £/mois (environ 180 €/mois), ce qui en fait le véhicule utilitaire le plus abordable en Angleterre. 

Pour ce tarif attractif, l’équipement n’est pas lamentable : climatisation, écran central tactile de 10 » et caméra de recul sont inclus de série. Elle est propulsée par la même motorisation unique de 65 ch proposée sur notre marché. Pour les livraisons de proximité, cette Spring pourrait gagner le cœur de nombreux professionnels. 

Des versions d’entrée de gamme abordables dans d’autres pays européens

Mais il existe des propositions encore plus intéressantes. Si en Suisse et en Belgique, la motorisation de 45 ch a été relancée, permettant un prix autour de 15 000 €, la Belgique va désormais encore plus loin. 

En Belgique, à partir de 10 590 €

Une version d’entrée de gamme nommée Essential est disponible, même si l’équipement est minimal (pas de climatisation, pas d’écran tactile, personnalisation limitée à deux couleurs), mais son prix a été drastiquement réduit à 10 590 €, ce qui est incroyable comparé aux 16 990 € initiaux. Bien que les consommateurs français ne soient pas très friands des modèles bas de gamme, avec un prix si compétitif, elle deviendrait sans doute la voiture la plus abordable en France et attirerait certainement son public. 

En haut de gamme, à partir de 14 290 €

Au pire, d’autres variantes restent accessibles chez nos voisins belges. La version Expression, comprenant notamment la climatisation, est à 12 290 €. Avec un supplément de 1 000 €, vous pouvez bénéficier du moteur 65 ch. Dans sa configuration la plus élevée, Extreme, uniquement en 65 ch, elle offre une allure plus attrayante et l’équipement moderne que l’on attend d’une voiture d’aujourd’hui (roues stylisées en noir, motifs sur le bouclier avant, écran tactile de 10,1 », caméra de recul, etc.), à un tarif de 14 290 €. Cela montre que c’est réalisable !

Selon la page Facebook Info Radar 86, un nouveau modèle de véhicule vient de s’ajouter à la flotte de voitures radars-privés qui parcourent les routes de France : le Citroën C5 Aircross.

Ce véhicule équipé d’un radar mobile a été aperçu du côté de Châtellerault et a été ajouté à une liste déjà longue de véhicules, qui comprend notamment le Citroën Berlingo, les Peugeot 308 et 508, les Ford Focus et Mondeo, ainsi que les Volkswagen Golf et Passat, sans oublier la Seat Leon et la Skoda Octavia.

Pour mémoire, ces voitures sillonnent neuf régions françaises avec pour mission de détecter les conducteurs en excès de vitesse. Elles sont pilotées par des conducteurs professionnels embauchés par des entreprises reconnues par l’État.

La motorisation de ce SUV suscite des railleries

Le Citroën C5 Aircross en lui-même ne pose pas de problème particulier. Mais un aspect a attiré l’attention des utilisateurs de la page Facebook : le type de motorisation. Ce SUV français est doté d’un moteur 1.2 PureTech, un moteur qui a été au centre de nombreuses controverses ces derniers mois au sein du groupe Stellantis, à cause de grands soucis de fiabilité rencontrés par les propriétaires chez les marques Peugeot et Citroën. Cette situation prête à moquerie, comme l’illustre un commentaire de la page Info Radar 86 :

“Un nouveau modèle pour les véhicules radar qui de manière surprenante est équipé d’un 1.2l puretech, parfait pour tomber en panne rapidement”

La presse s’interroge également sur ce choix de motorisation. En effet, ces voitures parcourent au minimum 200 km chaque jour, ce qui se traduit par plusieurs dizaines de milliers de kilomètres annuellement. Un moteur diesel semblerait donc plus approprié.

Les régions où opèrent ces voitures radars-privés

En 2024, les voitures radars-privés sont déployées en Bretagne, Normandie, Pays-de-la-Loire, Centre-Val-de-Loire, Nouvelle-Aquitaine, Hauts-de-France, Bourgogne-Franche-Comté, et Grand-Est. Pour 2025, ces véhicules seront introduits en Auvergne-Rhône-Alpes, Occitanie et région PACA.

La célèbre marque à l’étoile commence à dévoiler davantage d’informations concernant la prochaine version de son coupé quatre portes. Contrairement aux attentes, ce modèle ne se limitera pas seulement aux motorisations électriques.

Mercedes, le constructeur allemand, avait affiché de grandes ambitions pour l’électrification de sa gamme. À l’été 2021, la marque annonçait dans une déclaration officielle que « d’ici 2025, toutes les nouvelles architectures de véhicules seront exclusivement électriques ». Il était logique de supposer que le nouveau coupé quatre portes CLA, anticipé par un concept présenté au Salon de Munich en 2023 et dont la sortie est prévue pour 2025, adopterait une motorisation totalement écologique. Cependant, ce ne sera pas le cas.

Après avoir dévoilé récemment les premières images de cette version de production, Mercedes continue de progressivement lever le voile sur ce futur modèle en partageant plus de détails.

Une plateforme versatile

Le futur modèle reposera sur la plateforme MB. AE ou MMA, qui n’est pas exclusivement dédiée aux véhicules électriques. Si des versions sans émissions sont bien prévues, la CLA proposera également un nouveau moteur hybride hautement performant. Ce moteur innovant utilise une technologie 48V avancée combinée à une transmission électrifiée inédite pour offrir une expérience de conduite à la fois efficace et plaisante. C’est sans doute la nouveauté majeure à retenir de cette annonce.

Est-ce réellement une surprise ? Pas vraiment. Mercedes avait d’ailleurs anticipé cette situation. Selon le communiqué de 2021, l’entreprise affirme qu’elle « se prépare à une transition totale vers l’électrique d’ici la fin de la décennie, à condition que le marché soit prêt ». Néanmoins, les modèles actuels de la gamme EQ ne rencontrent pas le succès espéré, et le marché européen du tout-électrique semble stagner. Sur les neuf premiers mois de l’année 2024, la part de marché du tout-électrique a même reculé de 0,9 point (13,1 %).

Une double vitesse pour les versions électriques

La CLA de série, dans sa version électrique, ne révélera pas plus de secrets au niveau des feux avant inspirés du concept avec leur signature lumineuse en étoile. Toutefois, un détail important est que Mercedes a doté ce modèle d’une nouvelle interface MB. OS, comprenant l’assistant virtuel MBUX renforcé par l’IA.

Une autre caractéristique notable de cette CLA, en particulier pour la version électrique, est sa transmission à deux vitesses — une innovation que seule la Porsche Taycan propose actuellement. Cela devrait permettre d’optimiser les consommations. Nous en apprendrons sans doute plus très prochainement !

Quatre ans après avoir dévoilé sa stratégie Beyond100, le fabricant automobile britannique offre une mise à jour sur ses avancées et dévoile des détails initiaux concernant son premier véhicule sans émissions.

Replongeons un instant dans le passé. À la fin de l’année 2020, Bentley avait déjà levé le voile sur son plan stratégique ambitieux, nommé Beyond100. L’objectif déclaré était d’atteindre une neutralité carbone d’ici 2030, en ne commercialisant plus que des voitures entièrement électriques. Deux jalons significatifs avaient été fixés. Le premier, prévu pour 2025, envisageait la mise sur le marché de la toute première voiture électrique de la marque. L’année suivante devait marquer le début de la cessation de fabrication des modèles autres que les hybrides rechargeables et les véhicules électriques. Mais où en sont-ils réellement aujourd’hui ?

Exactement quatre ans et deux jours plus tard, le 7 novembre, Bentley, basé à Crewe, a convié les médias à une présentation en ligne intitulée Beyond100+. Cet événement avait pour but de faire le point sur leurs progrès et d’esquisser les grandes lignes des prochaines étapes de leur plan, tout en partageant des éléments clés tels que une image teaser et des informations concernant leur premier modèle électrique.

Un parent du futur Porsche Cayenne électrique ?

Dans une tournure inattendue, comme le révèle la photo teaser de cet article, le premier modèle électrique de Bentley ne sera ni une berline ni un coupé, mais bien un SUV. Cette révélation est encore plus intrigante lorsqu’on considère l’épithète employée pour le décrire : « urbain ». Logiquement, cela a suscité la curiosité parmi les participants. Que sous-entend la marque par « SUV urbain » ? S’agirait-il d’un concurrent très haut de gamme de la Renault 4 ? Absolument pas. Dr. Frank-Steffen Walliser, directeur général, a clarifié : « plus petit, selon les standards de Bentley ». Et d’ajouter que ce véhicule mesurera moins de 5 mètres de long.

Malheureusement, malgré nos tentatives, nous n’avons pu déterminer si ce modèle sera conçu sur une plateforme spécifique ou si elle reposera sur la base PPE, déjà utilisée par les Porsche Macan électrique et Audi Q6 e-tron, et qui est supposée soutenir la quatrième génération de Cayenne prévue l’année prochaine (une coïncidence intrigante). Nous pencherions plutôt pour cette dernière option en raison de considérations économiques. On peut anticiper des caractéristiques telles que une plateforme 800V, des batteries de 83 kWh ou 100 kWh, et une capacité de charge maximale de 270 kW, entre autres.

Quelles autres surprises Bentley prépare-t-elle pour les prochaines années ?

Cette conférence a révélé d’autres éléments intéressants. Le calendrier annoncé en 2020 a subi quelques modifications. Le lancement du véhicule électrique est désormais prévu pour 2026, au lieu de 2025. Bentley continuera à vendre des hybrides rechargeables au moins jusqu’en 2035 et ne deviendra pas entièrement électrique dès 2030. Aucun modèle ne sera à la fois électrique et hybride rechargeable. Il y aura une nouvelle voiture électrique ou hybride rechargeable introduite chaque année à partir de 2026, après le lancement du SUV électrique.

Bentley souligne également considérer les carburants synthétiques comme une alternative durable et prometteuse. Cette option est en cours d’évaluation en collaboration étroite avec Porsche. En somme, Bentley, à l’instar de nombreux autres constructeurs, est en train de revoir ses engagements initiaux.

Enfin, une nouvelle rassurante pour les adeptes de moteurs traditionnels : Bentley prévoit de lancer une version exclusive du Bentayga fonctionnant exclusivement à l’essence dans le courant de l’année prochaine.

Le grand SUV de la marque coréenne est désormais disponible en version hybride. Est-il vraiment plus abordable que sa version hybride rechargeable une fois le malus écologique pris en compte ?

Jusqu’à récemment, le tout nouveau Hyundai Santa Fe était uniquement proposé dans une version hybride rechargeable. Celle-ci offrait une puissance de 253 chevaux répartie sur les quatre roues. Elle comportait également une batterie de 13,8 kWh permettant de parcourir jusqu’à 65 km en mode électrique en environnement urbain. Cette option, bien qu’intéressante, affichait un prix de départ avoisinant les 60 000 €.

Pour séduire un public plus large, Hyundai a introduit une motorisation hybride simple à traction avant de 215 chevaux. Ce modèle permet de réduire le prix de départ à moins de 50 000 €. Un tarif bien plus attractif, mais que vaut-il une fois les taxes ajoutées ?

Encore moins cher que le SUV hybride rechargeable malgré les taxes

Le modèle hybride simple génère entre 148 g/km et 159 g/km de CO2, ce qui implique d’ajouter 1.276 € à 2.918 € au coût total selon la législation en vigueur en 2024. En comparaison, le Santa Fe PHEV, émettant seulement 38 g/km de CO2 en conditions mixtes, échappe totalement à cette taxe.

Il est également à noter que, grâce à une autonomie électrique de plus de 50 km en ville, le modèle PHEV n’est pas concerné par la taxe sur le poids contrairement au Santa Fe hybride simple. Avec un poids en ordre de marche d’environ 1.965 kg, les propriétaires devraient s’acquitter d’un montant supplémentaire de 4.820 € pour le poids. En conséquence, le total des taxes peut atteindre entre 6.096 € et 7.738 €. Malgré cette surcharge, le Santa Fe hybride parvient à rester compétitif, bien que l’écart tarifaire avec le modèle hybride rechargeable soit finalement moindre.

Intérêt spécifique de ce modèle

Un des atouts principaux de ce SUV est qu’il cible les familles nombreuses avec ses 7 places de série. En effet, la législation prévoit des réductions de taxes pour les familles. Vous pouvez déduire 20 g/km de CO2 par enfant ainsi que 200 kg du poids total du véhicule. Avec trois enfants, vous pouvez éviter le malus CO2 en abaissant vos émissions à moins de 100 g/km en déduisant 60 g/km. Concernant le malus de poids, le calcul peut permettre de contourner la charge liée à la masse (1.965 kg – 600 kg ou 200 par enfant). Sous ces conditions, le Santa Fe devient vraiment attractif ! Espérons que cela reste valable en 2025.

Prix du Hyundai Santa Fe (2024)

Les caractéristiques par finition du SUV hybride 7 places

Équipements principaux de la finition Intuitive

Caractéristiques de la finition Creative

Cette version inclut tous les éléments de la finition Intuitive, plus :

Équipements de la finition Executive

Inclut tout le contenu des finitions Intuitive et Creative, plus :

Les gendarmes ont été confrontés à une situation pour le moins inhabituelle il y a deux semaines. Ils ont intercepté un moniteur d’auto-école qui avait trop bu. Cet excès lui coûte cher.

Ces événements se sont déroulés le vendredi 18 octobre dernier dans le département du Rhône, mais ce n’est que cette semaine que les gendarmes ont décidé de partager cette anecdote sur leur page Facebook.

L’affaire a commencé lorsque l’équipe de la brigade motorisée de Villefranche-sur-Saône réalisait une série de contrôles routiers. Ils ont choisi de vérifier un véhicule d’auto-école. À bord se trouvaient un candidat se rendant à son examen de conduite et son moniteur. Ce qui aurait dû se passer comme une vérification de routine a pris une autre tournure. Habituellement, on ne s’attend pas à une infraction telle que l’excès de vitesse ou autre avec ce type de véhicule. Cependant, une forte odeur d’alcool émanant de l’intérieur a attiré l’attention des agents. Cela les a poussés à soumettre le moniteur à un test d’alcoolémie. À la surprise générale, le test s’est avéré positif, avec un taux de 0,58 mg/l d’air expiré. Pas vraiment l’image de l’irréprochabilité attendue de la part d’un formateur.

Interdiction professionnelle

Les conséquences ne se sont pas fait attendre. Une suspension de permis de quatre mois a immédiatement été décidée, en plus d’une réduction de six points sur son permis. De plus, le moniteur s’est vu interdire d’exercer. En effet, son autorisation professionnelle a été révoquée par la préfecture. Il devra également se présenter devant le tribunal, ce qui signifie que d’autres mesures punitives pourraient être prises.

Petite anecdote, l’élève qui conduisait au moment de l’intervention n’a pas été trop affecté par ces incidents. Non seulement il a pu passer son examen, mais il l’a également réussi. Il est donc désormais officiellement détenteur de son permis de conduire.

Il n’a fallu que 16 jours pour que ce jeune homme de 17 ans perde son permis. Depuis le 1er janvier de cette année, l’âge minimum requis pour décrocher son permis a été réduit à 17 ans.

Après avoir atteint cet âge pendant l’été dernier, il a passé avec succès son examen de conduite, gagnant le droit de circuler seul. Bien entendu, à condition de se conformer aux restrictions de vitesse en vigueur.

Malheureusement, c’est ici que les problèmes commencent. Récemment, cet automobiliste a été pris en flagrant délit de conduite dangereuse sur la départementale 2020. Cette voie est limitée à 90 km/h pour les conducteurs titulaires d’un permis définitif. Quant aux conducteurs en phase probatoire, la limite descend à 80 km/h. Or, le radar des forces de l’ordre du peloton motorisé de Salbris a enregistré une vitesse de 138 km/h lorsque ce jeune homme a été intercepté!

Les parents appelés à s’expliquer

Qu’il soit jeune conducteur ou non, un excès de vitesse aussi flagrant entraîne inévitablement la mise en fourrière du véhicule et la suspension du permis de conduire avant une éventuelle comparution devant le tribunal. C’est ce dernier qui décidera du sort à réserver au jeune contrevenant. Les sanctions possibles incluent une amende de 1500€, la perte de 6 points sur le permis — ce qui équivaut à une annulation — et une suspension. Si effectivement ces six points sont retranchés, le tribunal pourrait également l’interdire de passer à nouveau l’examen pendant une période prolongée, en guise de leçon.

Cependant, ce n’est probablement rien comparé à la réprimande que lui ont sûrement administrée ses parents après avoir reçu l’appel des gendarmes leur annonçant cette énorme faute de jugement de leur fils…

Crédit photo : Pixabay

La Hyundai i20 N a disparu lors de la transformation stylistique de la citadine, ce qui déçoit les fans. Cette suppression s’explique par des émissions de CO2 trop importantes, un problème qui touche presque toutes les petites voitures sportives à moteur thermique. Les acquéreurs de cette « bombinette » ont dû accepter un malus, qui, bien qu’il atteigne jusqu’à 3 000 €, restait assez limité pour ce type de véhicule. Malheureusement, les ventes de ce modèle ont eu un effet néfaste sur le bilan environnemental du constructeur. Il convient de rappeler que la norme CAFE fixe des limites aux émissions moyennes de CO2 des constructeurs automobiles.

L’avenir du sport automobile semble de plus en plus synonyme d’électrification. Bien que l’hybridation puisse être une alternative, Hyundai mise sur des modèles sportifs sans émission. Avec l’accueil enthousiaste de la Ioniq 5 N, la marque semble avoir trouvé une formule gagnante. Aujourd’hui, avec la présentation de la Hyundai RN24, un concept qui anticipe « la direction future des véhicules électriques N haute performance », il y a de quoi être optimiste : l’âme sportive reste vivante.

Un prototype extrême

Ce démonstrateur rappelle peut-être un véhicule familier ? Cela n’est pas surprenant, car il adopte le design du dernier modèle, l’Inster, bien que modifié en profondeur. Les portes, le toit, et les vitres ont été retirés. Seule la section avant, avec ses phares distinctifs, la grille, et une cage renforcée pour la robustesse, demeurent. La face avant a subi des modifications avec un pare-chocs très ajouré, des élargisseurs d’ailes marqués, des jantes imposantes de 19 pouces prises de l’Elantra N (un modèle disponible sur d’autres marchés) et des étriers de freins rouges. Pour accentuer son allure sportive, un grand aileron est positionné à l’arrière. Sans aucun doute, ce véhicule n’est pas destiné à faire dans la demi-mesure.

Une motorisation héritée de la Ioniq 5 N sur une plateforme raccourcie

Le véhicule utilise les mêmes moteurs électriques que ceux positionnés à l’avant et à l’arrière de la Ioniq 5 N, lui conférant ainsi une transmission intégrale et une puissance impressionnante de 650 chevaux. Cette puissance considérable est encore plus remarquable sur un véhicule compact par rapport à la Ioniq 5.

L’objectif principal de ce concept est de démontrer qu’une telle puissance peut être déployée sur un modèle de plus petite taille. Il repose sur la plateforme E-GMP originelle de la Ioniq 5, mais en version réduite de 34 cm, passant de 3 m à 2,66 m. La batterie reste une unité de 84 kWh, ce qui promet une autonomie significative malgré un poids conséquent de 1 880 kg, considérablement plus lourd qu’une i20 N qui avoisinait les 1 200 kg.

Performance intersidérale

Malgré le poids, les performances restent extraordinaires grâce à la puissance élevée. Si la vitesse de pointe est de l’ordre de 240 km/h, c’est surtout l’accélération de 0 à 100 km/h en 3,4 secondes qui stupéfie, comparée aux 6,2 secondes nécessaires pour la i20 N dotée de 204 chevaux.

Inspiré par le rallye

Pour renforcer l’aspect sportif, le concept s’appuie sur des solutions issues du monde du rallye. La suspension, le châssis renforcé et la direction ont été optimisés pour offrir une meilleure performance. Le véhicule est également équipé d’un dispositif permettant le réglage de variables comme la puissance délivrée, la réactivité de l’accélération et l’intensité du freinage récupératif, directement via le volant.

Bien que ce véhicule soit silencieux grâce à sa motorisation électrique, la Hyundai RN24 souhaite faire entendre son caractère avec l’ajout de deux haut-parleurs extérieurs et des éléments de carrosserie conçus pour amplifier le son. Cette innovation démontre clairement que cette RN24 n’a rien perdu de son caractère explosif.

Reste à voir si cette innovation aboutira à un modèle de série. Mais étant donné le succès de la Ioniq 5 N, l’idée de tester une i20 N avec des spécifications similaires est particulièrement séduisante…

Ce rapport sénatorial a été dirigé par Hervé Maurey, un député centriste de l’Eure. Le document s’articule autour de trois axes principaux : la question de la gratuité des autoroutes, une révision du système de concession, et en dernier lieu, le tarif des péages.

La gratuité des autoroutes, un concept problématique à bien des égards

Parmi les thèmes abordés, celui de la gratuité des autoroutes suscite le plus d’intérêt parmi le public. Cependant, le rapport exclut cette option, en raison de ses nombreux inconvénients. Il décrit cette idée comme « un piège aux conséquences désastreuses », qui pourrait nuire au réseau autoroutier.

Rendre les autoroutes gratuites se traduirait en réalité par un financement via les impôts de tous les citoyens. Cela profiterait particulièrement aux automobilistes et transporteurs internationaux. De plus, le rapport souligne que la situation « très préoccupante » des routes nationales rend peu judicieux de confier la gestion des autoroutes à l’État.

Du point de vue environnemental, la gratuité pourrait s’avérer fatale pour le « transport ferroviaire » et les « transports collectifs urbains ». En d’autres termes, pourquoi débourser pour un billet de TGV si l’on peut voyager en voiture sans frais supplémentaires ?

Stabilité des prix des péages préconisée

Le rapport, sous la direction de Hervé Maurey, soutient que les prix des péages ne devraient pas augmenter. En revanche, il propose que les revenus des péages soient utilisés non seulement pour l’entretien des portions d’autoroutes sous contrôle de l’État, mais aussi pour améliorer les routes nationales et le réseau ferroviaire.

Réforme du système d’attribution des concessions

Enfin, le document suggère une refonte en profondeur des concessions autoroutières, en prenant exemple sur l’Italie. Le rapporteur recommande des concessions de plus courte durée (15 à 20 ans) et moins étendues en kilomètres. Un article de Sud Ouest publié le 25 octobre rappelle que 90% du réseau autoroutier est détenu par des entreprises privées. L’objectif est d’éviter une concentration excessive du marché entre quelques grandes entités.

Crédit photo : Pixabay

Dans le communiqué officiel de Mitsubishi, il est précisé que les tarifs sont garantis jusqu’au 31 décembre 2024.

La formule de Location Longue Durée s’étend sur une période de 37 mois ou 30 000 kilomètres, avec un loyer initial de 8 500 €. Elle englobe l’ensemble des versions de l’Outlander, avec un tarif initial de 499 € pour la version de base « Invite », et atteignant 699 € pour les versions « Instyle » et « Instyle+ ». À noter que pour ceux qui choisissent une couleur de carrosserie unie plutôt qu’un bi-ton, une remise de 20 € sur le loyer mensuel est accordée. Toujours d’après le communiqué, les livraisons des véhicules commenceront en avril 2025.

Tarifs de l’Outlander en leasing

Coûts et options de l’Outlander avec et sans remise

Retrouvez ci-dessous les tarifs proposés pour chaque version de ce SUV hybride, en tenant compte des remises actuelles, valables jusqu’à la fin de l’année 2024.

En cette fin de semaine, les prix du carburant affichent une certaine stabilité. Le diesel est proposé au tarif moyen de 1,63€ le litre. Pour le Sans-Plomb 95 (E10), comptez environ 1,74€, tandis que le GPL est à 1€ tout pile et le Superéthanol-E85 à 81 centimes le litre d’après les informations fournies par Carbu.com.

Ces chiffres représentent la moyenne nationale, ce qui signifie que de nombreuses stations offrent des tarifs inférieurs. Cette variation est notable pour l’essence et le gazole. Concernant ce dernier, certaines stations affichent des tarifs à moins de 1,60€ le litre, notamment chez Leclerc, dans l’univers Système U ou encore chez Intermarché.

Il en va de même pour le Sans-Plomb 95 (E10) qui se trouve en dessous de 1,70€ dans certaines stations-service telles que Leclerc, Auchan, Hyper U, et Super U. Par ailleurs, pour le Superéthanol-E85, de nombreuses enseignes proposent des prix sous la barre des 80 centimes le litre : Hyper U, Leclerc, Auchan, Intermarché…

Les stations proposant le diesel le moins cher

Les stations avec l’essence la moins coûteuse

Les stations où le GPL est le moins cher

Les stations fournissant l’E85 le moins cher

Si les gendarmes voulaient prouver leur présence sur les routes à l’approche des vacances, cette opération a été un véritable succès.

Le 17 octobre, trois équipes de gendarmerie étaient engagées sur l’A75 et la départementale 809 en Lozère : le peloton motorisé d’Antrenas, la Communauté de brigades de Marvejols et le peloton de surveillance et d’intervention de Marvejols.

Un automobiliste à plus de 200 km/h, un autre à 186 km/h

L’une des infractions majeures mentionnées sur Facebook concerne un conducteur contrôlé à 216 km/h. Il circulait sur l’A75 où la limite est de 130 km/h, enregistrant ainsi un excès de vitesse de 86 km/h au-dessus de la limite permise.

Un autre excès de vitesse de 5e catégorie a été enregistré. Dans ce cas, la vitesse mesurée était de 186 km/h sur une route limitée à 110 km/h, soit un dépassement de 76 km/h au-delà du maximum autorisé.

Bien évidemment, pour ces deux cas, les gendarmes ont suivi les procédures établies : placer les véhicules en fourrière et suspendre les permis de conduire. L’affaire sera examinée par le tribunal, qui déterminera le montant de l’amende (jusqu’à 1500€), mais aussi la durée de la suspension du permis et le nombre de points retirés (jusqu’à 6).

Des conducteurs sous l’effet de drogues

Dans le cadre de cette même opération, vendredi dernier, les forces de l’ordre ont également intercepté des automobilistes ayant consommé des drogues. Les sanctions peuvent être sévères : potentiellement de la prison ferme (jusqu’à deux ans), une amende conséquente (4500€), l’immobilisation du véhicule ainsi que le retrait de points sur le permis, avec une possible suspension ou annulation de celui-ci. Des peines telles que des jours-amendes, des travaux d’intérêt général ou l’obligation de suivre un programme de sensibilisation à la sécurité routière peuvent également être imposées.

L’incident s’est déroulé à la fin de la semaine passée dans le secteur des Alpes de Haute Provence. Dimanche après-midi, les agents du Peloton Motorisé d’Opération (PMO) de Peyruis ont surpris un motard sur sa Ducati, roulant à une allure de 192 km/h sur un tronçon limité à 110 km/h. Ce délit constitue un dépassement significatif de la limite de plus de 80 km/h. Même si la vitesse enregistrée a ensuite été ajustée à 182 km/h, la gravité de l’infraction demeure. Ce visiteur allemand, profitant de son séjour touristique en France, est toujours en infraction majeure. Peut-être avait-il l’impression que les autorités ne pouvaient pas l’intercepter ou que son statut étranger lui garantissait une certaine immunité.

Un lourd tribut avant le retour au pays

Dans de telles situations, les étapes à suivre sont claires. En premier lieu, les officiers ont procédé à la confiscation du permis de conduire de ce citoyen allemand et ont ordonné la mise en fourrière de sa moto. Il va sans dire que la poursuite de son périple en France a pris un tout autre tournant.

Par la suite, il a reçu une notification pour se présenter devant le tribunal. Celui-ci statuera sur le montant de l’amende, qui peut atteindre jusqu’à 1 500 euros, ainsi que sur toute autre mesure disciplinaire possible.

Dans un secteur où les véhicules électriques commencent à rencontrer des défis, Tesla a surpris le monde lors de l’annonce de ses performances financières du troisième trimestre 2024. La société a enregistré un bénéfice net atteignant 2,18 milliards de dollars, soit une augmentation de 17 % par rapport à l’année précédente. Les ventes ont elles aussi progressé de 6 % malgré une baisse du Model Y, et la marge opérationnelle a une nouvelle fois dépassé les 10 %. Les chiffres sont impressionnants. Elon Musk a souligné aux investisseurs que jamais la marque de Palo Alto n’avait connu un troisième trimestre aussi prospère.

Ce contexte est encourageant pour les mois à venir. Pourtant, lors de cet événement, un membre du public a posé une question portant sur la carrosserie tant attendue, souvent appelée la Model 2, une Tesla à 25 000 $ que Musk avait promis de longue date. La réponse de Musk fut aussi étonnante que les résultats annoncés par l’entreprise.

« L’avenir est autonome »

Dans sa réponse, Elon Musk a déclaré : « Nous avons exprimé clairement que l’avenir est autonome ». Le reste de sa réponse a également capté l’attention. Il a évoqué le concept de la Cybercab ou Robotaxi, discutant de son rôle non seulement en tant que révolution du design mais aussi dans les méthodes de construction. Cela rappelle que la seule chose que Musk avait mentionnée au sujet de la « Model 2 » lors du 3e « Investor Day » en mars 2023, concernait sa manière innovante d’être assemblée. Peut-on en déduire que la Cybercab est cette fameuse Model 2 ?

La Cybercab : la Tesla la plus abordable, ou simple coïncidence ?

Un plan produit avait été révélé sous forme d’image pendant cet « Investor Day » (voir ci-dessus). En plus des véhicules connus de la gamme, deux modèles recouverts de bâches y figuraient. L’un d’eux est sans contestation possible le Robovan rendu public en même temps que la Cybercab. Le deuxième, autrefois supposé être la Model 2, rappelle désormais la Cybercab par l’élégance de sa forme aérodynamique.

De plus, lors de la présentation de la Cybercab, Elon Musk a mentionné un prix inférieur à 30 000 $. Même si cela ne correspond pas exactement aux 25 000 $ promis, ce tarif ferait de la Cybercab la voiture la plus économique de Tesla. Les effets de l’inflation pourraient expliquer cette légère augmentation de prix.

Le modèle tant attendu ?

Pour conclure sa réponse concernant la voiture à 25 000 $, Elon Musk a affirmé que lancer « une voiture standard à 25k est inutile ». Cette déclaration est d’autant plus frappante que la Cybercab ne pourrait pas être qualifiée de « standard » avec son design distinctif, ses portières en élytre, et surtout, l’absence de volant et de pédales. En effet, elle s’apprête à être non seulement un véhicule électrique mais aussi un modèle entièrement autonome, éliminant le besoin d’une intervention humaine pour sa conduite.

Or, sur le plan légal, cela reste un défi. En Europe, par exemple, ce n’est que depuis l’an dernier que le niveau 3 de conduite autonome (sur 5) a été reconnu officiellement grâce à Mercedes. Pour atteindre le niveau ultime (5), il est nécessaire de naviguer entre des réglementations complexes. Ainsi, si la Cybercab est bien la Tesla abordable prévue pour le marché, elle risque de ne pas séduire tout le monde, même si elle devient accessible au grand public. De plus, elle ne pourra être proposée ici tant que ces obstacles légaux demeureront…

Lancée en 2021, la quatrième édition du Kia Sportage s’est distinguée par un design extrêmement audacieux. Cette audace s’est-elle révélée excessive ? Il semble que non, puisque la marque a tapé dans le mille, attirant un nombre croissant de clients. Le Sportage est non seulement le modèle le plus vendu de Kia à l’échelle européenne et mondiale, mais il a aussi devancé cette année, en Europe, son proche parent de Hyundai, le Tucson. Il s’est ainsi hissé au rang de SUV multi-énergies le plus prisé dans son segment en Europe, avec pas moins de 129 915 unités vendues entre janvier et septembre. Une belle performance commerciale !

Bien que les chiffres de vente continuent de grimper, Kia ne compte pas se reposer sur ses lauriers. Le constructeur prépare donc l’arrivée d’une version restylée. La première vidéo teaser, publiée le 24 octobre, nous offre un coup d’œil sur les ajustements à venir.

Des modifications esthétiques significatives

Bien que le Sportage rencontre un succès notable, les modifications subtiles qui sont mises en lumière dans cet aperçu permettent d’anticiper une différenciation nette avec le modèle actuel. La première évolution notable concerne les phares avant. Les feux en forme de boomerang, un élément distinctif de l’actuelle version, laisseront place à une inspiration tirée des modèles plus grands tels que les EV9 et Sorento. Ainsi, le prochain Sportage optera pour deux lignes LED fines situées de chaque côté de la partie avant, entourant une calandre potentiellement plus imposante qu’autrefois. Il semble cependant que le capot restera inchangé.

À l’arrière, nous n’avons qu’un aperçu vague des feux. Si leur forme conserve sa continuité, c’est la signature lumineuse qui évolue. Autrefois représentée par un « V » tourné à 90° dans le sens des aiguilles d’une montre, elle adopte désormais un « C » plaisant à l’œil, intégré dans un design horizontal additionnel.

Aucune annonce officielle de présentation n’a été faite

Voilà tout ce que nous pouvons affirmer pour le moment concernant l’apparence extérieure de cette version revisitée du Sportage. Pour les détails de l’intérieur, nous devrons patienter jusqu’à la diffusion de nouvelles images ou vidéos. Quant aux spécifications techniques, seules des hypothèses peuvent être formulées. Il serait plausible, dans l’optique de la refonte récente du Tucson, que le Sportage abandonne également ses moteurs thermiques traditionnels pour ne conserver que les variantes hybrides de 215 chevaux et hybrides rechargeables de 253 chevaux.

Pour l’heure, aucune date précise de présentation n’a été communiquée par le constructeur. Cependant, il est envisageable que ce restylage soit dévoilé dans les semaines à venir, avec un lancement commercial attendu au courant de l’année prochaine.

Il est surprenant de réaliser que trois années se sont déjà écoulées depuis le lancement de la troisième génération de la Peugeot 308. À l’horizon 2025, un retouche de mi-parcours est planifié pour cette berline compacte, très appréciée des Français. Néanmoins, la voiture ne reste pas immobile et s’apprête à renouveler une partie de son offre de motorisations. En Espagne, cela s’est déjà produit. Un moteur hybride rechargeable de 195 ch, qui a déjà fait ses débuts sur les véhicules Peugeot 3008 et 5008 les plus récents, est désormais présent sur le configurateur de la marque. Les premières livraisons sont attendues pour juin prochain, et il est raisonnable de supposer que ce moteur sera bientôt introduit en France également.

Quelles nouveautés face aux versions 180 ch et 225 ch ?

Pour ceux qui ne sont pas au courant des différences apportées par ce moteur, voici un rappel. Cette nouvelle motorisation associe un moteur 4-cylindres turbo essence de 1.6 litres développant 150 ch, similaire à celui des modèles 180 ch et 225 ch (ce dernier n’est plus proposé), à un moteur électrique de 92 kW ou 125 ch. Cela représente 15 ch supplémentaires par rapport à la version 180 ch. Par ailleurs, la boîte automatique à 8 rapports laisse place à un système à double embrayage à 7 vitesses.

Amélioration de l’autonomie électrique

De plus, la capacité de la batterie passe à 21 kWh contre 12,4 kWh auparavant. Grâce à cela, l’autonomie en mode tout électrique est améliorée. La voiture peut maintenant parcourir 85 km en mode électrique pur, contre un maximum de 60 km pour les anciennes versions de 180 ch et 225 ch.

Quel tarif pour la France ?

En Espagne, l’ajout de cette nouvelle motorisation hybride de 195 ch entraîne un surcoût de seulement 500 € par rapport à la version hybride de 180 ch. C’est une augmentation plutôt raisonnable compte tenu de l’amélioration en termes de puissance et d’autonomie.

Étant donné que la version 180 ch est actuellement tarifée à au moins 39 740 € en France, la Peugeot 308 Plug-in Hybrid 195 e-DCT7 devrait dépasser légèrement les 40 000 €. Elle pourrait même coûter moins cher si Peugeot décidait de l’offrir avec le niveau d’équipement de base Style. À l’heure actuelle, ce n’est pas envisageable, car il faut choisir le deuxième niveau de finition, appelé Allure, pour bénéficier de cette hybridation. Il est intéressant de noter qu’avec un prix à peine supérieur et une autonomie améliorée, cette nouvelle motorisation de 195 ch pourrait bien signer l’arrêt de la commercialisation de la variante 180 ch à terme.

C’est un vrai rebondissement ! En début d’année, au Salon de l’auto de Tokyo 2024, la marque japonaise de prestige avait dévoilé une variante entièrement thermique et haute en performance de son plus petit véhicule, le LBX, qui pour notre marché est proposé uniquement en version hybride. Un modèle séduisant pour les passionnés de voitures sportives. Toutefois, en raison des réglementations drastiques européennes, il n’était pas prévu qu’il soit disponible sur notre continent. Mais cela pourrait changer…

L’idée d’une commercialisation en Europe est en réflexion

Récemment, Lexus a publié un communiqué exprimant que la possible arrivée de ce modèle sur le marché européen est à l’étude. Bien sûr, cette déclaration ne garantit rien, mais son inclusion dans un document officiel laisse envisager que l’idée a été sérieusement examinée. Une annonce de ce type serait surprenante si elle n’était pas accompagnée d’analyses préalables solides.

Reste à savoir si la France sera incluse dans ce projet, en dépit des règles rigoureuses et des pénalités écologiques qui doivent être augmentées en 2025. Toutefois, la présence de cette information sur le site presse français pourrait indiquer que ces aspects ont été pris en compte.

Pourquoi le lancement d’un SUV thermique sportif par Lexus est envisageable

Lancer un tel modèle à l’approche d’objectifs CO2 plus stricts pourrait sembler audacieux. Pourtant, d’après une étude de Dataforce relayée par Automotive News Europe en août, le groupe Toyota, qui inclut Lexus, est déjà aligné avec les exigences de l’Union européenne pour 2024. Parmi les constructeurs de véhicules thermiques, il est celui qui est le plus avancé vers les objectifs de 2025.

En vendant beaucoup de modèles hybrides qui abaissent sa moyenne de CO2, cela permet à Toyota de se permettre certaines libertés. Sa gamme GR est un exemple de ce choix stratégique. Alors, pourquoi ne pas offrir cette opportunité à Lexus également ?

Une puissance supérieure à celle de la GR Yaris

En passant, bien que la GR Yaris ait une charge écologique évaluée à 60 000 €, elle a récemment été revue. Avec un tarif dépassant les 100 000 € (pénalités incluses), elle se destine naturellement à un public restreint. Vendre quelques exemplaires par an ne nuira pas significativement aux statistiques de CO2 du groupe.

Un modèle comme le Lexus LBX Morizo RR, embarquant la même technologie que la GR Yaris, avec un moteur 3 cylindres 1.6 turbo délivrant 304 ch et 400 Nm (contre 280 ch et 390 Nm pour la compacte), resterait également une rareté sur le marché, donc sans impact notable pour le constructeur japonais. Ce serait par ailleurs bénéfique pour l’image de marque de Lexus, davantage associée actuellement aux SUV et berlines plus traditionnels. 

Pour aiguiser davantage l’intérêt, ce modèle LBX offre le choix entre une boîte automatique à 8 vitesses et une mécanique manuelle à 6 rapports, aujourd’hui moins commune, avec un embrayage électrique. Il parvient à atteindre les 100 km/h en seulement 5,2 secondes. Cela vous attire-t-il ?

Suite à la hausse récente des taxes imposées par l’Union Européenne sur les voitures électriques fabriquées en Chine (appliquée depuis début novembre), MG a observé une baisse de ses ventes récemment. Pour illustrer, les ventes de la MG4 ont diminué de 15% au cours des neuf premiers mois de 2024.

En réponse à cette situation, la marque sino-britannique met désormais l’accent sur ses modèles hybrides. Les MG3 et MG ZS Hybrid+, qui sont des hybrides simples, ainsi que le nouvel EHS, qui est un hybride rechargeable, sont désormais au centre de leur stratégie pour compenser les pertes. Un des points de vente majeurs des deux premiers moyens de transport mentionnés est leur prix extrêmement concurrentiel. Restait à connaître le tarif de l’EHS nouvelle version. La réponse arrive.

Augmentation de la puissance et des dimensions

Les commandes sont donc déjà en cours. Les premières livraisons sont attendues dans les concessions dès novembre. Le choix est simple. Il y a une seule option d’hybride rechargeable, combinant un moteur essence turbo de 1,5 litre produisant 142 ch (20 ch de moins que l’ancien modèle) avec un moteur électrique fournissant 135 kW ou 184 ch (précédemment 90 kW ou 122 ch). La puissance totale est montée à 272 ch, ce qui représente une augmentation de 14 ch par rapport à l’ancien modèle.

Ayant des dimensions légèrement accrues avec une longueur de 4,67 m et une largeur de 1,89 m (5 cm de plus en longueur et 1,6 cm de plus en largeur), cet accroissement de puissance, qui a probablement un impact sur le poids (non divulgué), ne transforme pas radicalement les performances : 6,8 secondes pour atteindre 100 km/h, soit une amélioration de -0,1 seconde.

Un autre aspect essentiel pour ce modèle est la capacité accrue de sa batterie (21,4 kWh comparé à l’ancienne de 16,6 kWh), ce qui permet désormais une autonomie de 100 km en mode électrique, un doublement de l’ancien chiffre.

Les futurs propriétaires pourront choisir entre deux niveaux de finition. La première option, connue sous le nom de Comfort, propose bien plus que des équipements de base (climatisation automatique, jantes de 19”, tableau de bord numérique de 12,3”, écran tactile de 12,3” compatible avec Apple CarPlay et Android Auto sans fil, caméra de recul ou entrée sans clé) et une version plus complète, appelée Luxury (coffre à ouverture électrique, chargeur sans fil pour smartphone, sièges chauffants en similicuir et réglages électriques, climatisation à deux zones).

Des tarifs en évolution mais toujours attrayants

Et à propos des prix ? Plus vaste et plus performant que son modèle précédent, le nouvel EHS est inévitablement plus coûteux. Cependant, l’augmentation reste raisonnable. Le prix initial augmente de 35 490 € à 37 990 €. En ce qui concerne la version haut de gamme, l’EHS reste toujours en dessous de 40 000 €, représentant une augmentation de 2 000 € à 2 500 €.

L’EHS est accessible à 3 000 € de moins qu’un Peugeot 3008 hybride rechargeable d’à peine 195 ch en version de base. Il est aussi 5 660 € plus abordable qu’un C5 Aircross hybride de 225 ch en modèle de base, bien qu’il soit connu pour son tarif compétitif dans le segment. En résumé, l’EHS offre vraiment un bon rapport qualité-prix.

Les tarifs et spécificités du nouveau MG EHS (2024)

Les prix du SUV

Les caractéristiques de la finition Comfort

Les attributs de la finition Luxury

En 2025, le malus écologique s’intensifie davantage. Cela n’est pas inattendu. Pourtant, des discussions continuent à l’Assemblée quant aux détails précis. Même si le barème 2025 a récemment été rendu public, des modifications pourraient encore survenir. Nous mettrons à jour toute information en conséquence si nécessaire.

Actuellement, les motorisations hybrides et électriques du Peugeot 2008 ne sont pas touchées par le malus écologique de 2025. Ce n’est guère surprenant, notamment pour la version hybride avec seulement 111g de CO2 émis par kilomètre, évitant ainsi toute taxe pour 2025. Toutefois, il est fort probable qu’elle subisse des répercussions en 2026, avec un seuil réduit à 106g de CO2/km.

De 260 à 818€ en 2025

Pour l’année 2025, trois types de motorisation feront face au malus écologique : les moteurs PureTech 100 et 130 ainsi que le moteur diesel BlueHDi. Cela n’est pas non plus une surprise puisque ces versions sont déjà concernées cette année. Cependant, le montant de la taxe va considérablement accroître.

Pour le moteur PureTech 100, les émissions de CO2 s’élèvent à 123g par kilomètre. En 2024, cette motorisation est taxée à hauteur de 170€. En 2025, il faudra prévoir 90€ de plus, soit une taxe totale de 260€.

Concernant le moteur PureTech 130, son émission est de 133g de CO2 par kilomètre. Le malus en 2024 s’élève à 400€ lors de l’immatriculation. L’année suivante, il dépassera le double pour atteindre 818€. Rappelons que le malus écologique n’est à régler qu’une seule fois, lors de la première immatriculation.

Enfin, pour le moteur diesel BlueHDi 130, il émet 131g de CO2 par kilomètre. Cela équivaut à une taxe de 330€ en 2024. L’année suivante, le montant grimpera à 650€.

C’est vers 22h, le jeudi 17 octobre dernier, que le problème technique est survenu, éveillant l’attention des automobilistes. Très vite, l’information s’est répandue sur les réseaux sociaux, attirant de nombreux conducteurs vers la station perpignanaise, et générant une file d’attente importante. Certains d’entre eux ont même rempli des jerricanes. Avec le carburant offert, pourquoi résister ?

La réaction de la direction

Bien que la gratuité ait été irrésistible pour certains, la réaction de la direction n’a pas tardé. En effet, les pertes financières entre la découverte de l’incident et sa résolution sont considérables. Par conséquent, le directeur s’efforce de retrouver les individus qui ont profité de la situation, notamment en examinant les vidéos de surveillance.Comme il l’a expliqué à Actu.fr :

“C’est une première pour nous. C’était un problème technique. Les réseaux sociaux ont amplifié le phénomène… Nous analysons les enregistrements. Une action judiciaire sera engagée.”

Les conducteurs qui ont profité de l’essence gratuite devraient donc recevoir une lettre prochainement, du moins ceux qui auront été identifiés par les caméras de sécurité de la station.

Avec 65 000 unités vendues depuis son apparition en 2020, la Citroën Ami a revitalisé le marché des quadricycles et s’est solidement installée sur ce secteur, en déclassant la Renault Twizy. Grâce à de véritables portes qui protègent des intempéries et à des tarifs attractifs, la petite voiture aux emblèmes Citroën s’est dotée de solides avantages. Cependant, Renault n’abandonne pas. Avec la sortie de la Duo, commercialisée sous la bannière Mobilize, Renault espère enfin inquiéter son concurrent français. Est-ce que la Duo possède enfin les atouts pour réaliser ce défi ?

Il faut savoir, toutefois, que nous basons notre analyse sur le modèle actuel de l’Ami, en raison du manque d’informations sur sa version restylée prévue l’année prochaine. Cette analyse intégrera aussi les nouveautés prévues pour ce modèle mis à jour.

Design, taille et aspects utilitaires : Une Duo dans l’esprit de la Twizy, mais plus moderne

Les préférences esthétiques varient selon les individus. Il vous revient donc de déterminer si vous préférez la simplicité pragmatique de l’Ami ou le style résolument moderne de la Duo, notamment dans ses configurations alliant le noir à des touches blanches et, surtout, oranges.

De véritables portes mais l’absence de coffre

Sur le plan esthétique, la Duo conserve l’apparence de la Twizy, mais elle a troqué ses formes arrondies pour des lignes plus angulaires, donnant une allure plus dynamique. Les portes en élytre sont de retour, mais une fois fermées, elles isolent complètement le conducteur et le passager de l’extérieur, et non avec de simples panneaux en plastique, mais avec de vraies vitres en verre. Enfin !

En revanche, l’accès au second siège, situé à l’arrière du conducteur, nécessitera un peu plus d’effort comparé à l’Ami. Concernant la capacité de chargement, aucune des deux ne propose de coffre. Il faudra donc utiliser le siège passager pour vos courses, ou choisir la version Bento de Mobilize, qui est conçue pour une personne, mais dispose d’un coffre de 649 litres à l’arrière.

Silhouette inchangée pour l’Ami mais avec des références à la 2CV

La Citroën Ami adoptera prochainement les toutes dernières tendances du style Citroën. Les phares circulaires, rappelant quelque peu la 2CV, remplaceront le façade actuelle, et les nouveaux Chevrons seront intégrés dans son design. En dehors de ces changements, elle maintiendra son format distinctif de petit cube avec des roues et une couleur unique. Son succès actuel laisse penser que cette version remaniée continuera de séduire.

Dimensions similaires mais des variations significatives

Concernant les dimensions, la Duo reste compacte comme l’Ami. Elle est légèrement plus longue de 2 cm, mais moins large : 1,30 m comparé à 1,39 m pour l’Ami. Le diamètre de braquage est un peu meilleur : 6,8 m contre 7,2 m pour la Citroën.

Spécifications techniques et motorisations : une gamme plus diversifiée pour la Duo

Explorons maintenant l’aspect technique. Bien que les quadricycles répondent à des normes strictes, la Duo s’illustre par quelques particularités. Elle se décline en deux modèles, comme l’ancienne Twizy : 45 et 80. La première limite sa vitesse à 45 km/h, ce qui la rend accessible dès 14 ans avec le permis AM, tout comme l’Ami. Ce qui différencie la Duo, c’est la version 80, atteignant 80 km/h, et accessible dès 16 ans avec un permis A1 ou B1. Grâce à la Duo, les escapades hors des zones urbaines sont possibles.

Une autonomie accrue avec la Mobilize Duo

Un autre élément distinctif est sa batterie plus grande : 10,3 kWh comparé à 5,4 kWh pour l’Ami. Par conséquent, son autonomie progresse : 161 km contre 75 km pour l’Ami. Le temps de charge est certes plus long, mais sans exagération : 4 heures pour une charge complète de l’Ami, tandis qu’une charge de 20 à 80 % de la Duo se fait en environ le même temps.

Il est cependant bon de rappeler que ces données concernent le modèle actuel de l’Ami. Des modifications pourraient survenir avec sa refonte, mais cela reste à confirmer dans les mois à venir.

Prix et équipements : une mise à jour moderne pour la Duo

Nous abordons maintenant un point délicat pour l’Ami. Bien que le tarif de base de la Duo soit plus élevé (9 090 € comparé à 7 990 € pour l’Ami classique), ce prix justifie une meilleure autonomie et un équipement bien plus complet. Avec airbag conducteur, ouverture sans clé et clé digitale en option, la Duo propose plus en matière de sécurité et de confort. L’option d’une climatisation, d’un siège chauffant pour le conducteur et même d’un radar de recul est disponible, des équipements absents chez l’Ami.

À 11 600 € pour la version 80, il est bon de mentionner qu’elle inclut de série le Bluetooth et le siège conducteur chauffant. Malgré le surcoût, cela reste abordable, surtout quand on considère que l’Ami Buggy pouvait franchir la barre des 10 000 €.

Louer une Duo pour 29 €/mois

L’offre devient encore plus attractive en location longue durée sur 37 mois, où la Duo 45 revient à 29 € par mois après un premier versement de 2 990 €, réduit à 2 090 € grâce au bonus de 900 € pour les quadricycles. Cette offre est plus avantageuse qu’une Ami Peps, proposée à 8 990 € à l’achat et nécessitant 39,98 € mensuellement avec un premier loyer de 2 817 €.

La Citroën Ami se devra de réviser sa politique tarifaire pour sa version restylée afin de ne pas se laisser distancer. La confrontation attendue se fera une fois publiées les spécifications de l’Ami 2025, et elle devra prouver ses atouts en ville.

Durant les dix derniers jours, le prix du baril de pétrole a chuté de 6 dollars. Cela pourrait entraîner une réduction des prix de l’essence et du diesel dans les jours ou semaines à venir.

Tarifs moyens des carburants au jeudi 24 octobre

Pour l’instant, on observe une stabilité dans les prix. Ce jeudi 24 octobre, le prix moyen du litre de diesel est de 1,63€ et celui du Sans Plomb 95 (E10) s’élève à 1,74€, selon les informations de Carbu.com. Quant au GPL, il est vendu à 1,01€ le litre. Cette stabilité remarquable s’observe depuis plus de 18 mois, tandis que le Superéthanol-E85 reste le carburant le plus abordable avec un coût moyen de 0,81€ par litre en France.

Où faire le plein au tarif le plus compétitif ?

Même si les prix sont inférieurs à ceux d’il y a un an pour le gazole et le SP, il est toujours avantageux de localiser les stations-service les plus économiques. Cette stratégie permet de réduire la facture totale, surtout au sein des réseaux de supermarchés et hypermarchés. Passer par ces enseignes peut vous faire économiser quelques centimes précieux.

Stations les moins coûteuses pour le diesel

Concernant le diesel, certaines stations proposent des tarifs bien en dessous de la moyenne de 1,63€. En tête de liste ce jeudi, les stations Hyper U vendent le diesel à un prix moyen de 1,56€ par litre.

Stations les moins onéreuses pour l’essence

Pour le Sans Plomb 95 (E10), Hyper U reste la station la plus compétitive, affichant un tarif de 1,67€ en moyenne en France. Ce prix est inférieur de 7 centimes à la moyenne nationale.

Stations les plus économiques pour le GPL

Chez Super U, le GPL s’affiche à 0,92€ par litre, ce qui marque une différence de 9 centimes par rapport au coût moyen national. Cependant, la principale difficulté réside dans la possibilité de localiser une station avec des installations pour le GPL…

Stations les plus abordables pour l’E85

Pour le Superéthanol-E85, le prix le plus bas relevé par Carbu.com est de 0,76€ par litre, ce qui représente 5 centimes de moins que la moyenne nationale. Les stations E.Leclerc Drive, Netto et Intermarché Contact se montrent par conséquent les plus avantageuses.

Source de l’image : Pixabay.

Nous sommes donc le 7 juillet. Ce jour, sur la ligne de départ à Silverstone, on retrouve deux pilotes britanniques : George Russell part de la pole position, suivi de son coéquipier chez Mercedes, Lewis Hamilton.

À l’issue de la course, le septuple champion du monde réussit à s’imposer. C’est sa 104e victoire en Formule 1. Cependant, c’est sa première depuis la fin de l’année 2021, en Arabie Saoudite. Durant les 945 jours qui séparent ces deux victoires, Hamilton et Mercedes ont dû surmonter de nombreux obstacles. Cette victoire est à bien des égards une délivrance pour celui qui rejoindra les rangs de la Scuderia Ferrari en 2025.

Hamilton établit un record inédit

Ce triomphe est également synonyme d’un record inédit pour Lewis Hamilton, qui partageait jusqu’alors ce record avec Michael Schumacher. C’est la première fois dans l’histoire de la Formule 1 qu’un pilote triomphe 9 fois sur le même Grand Prix. Un moment mémorable.

Au moment de quitter son véhicule, Lewis Hamilton célèbre ce succès mémorable auprès des fans britanniques. Juste avant de rejoindre le podium, il se saisit d’une montre. Il s’agit d’une IWC Pilot’s Watch Performance Chronograph 41 Mercedes-AMG Petronas Formula One Team. Ce choix n’est pas fortuit, car l’horloger suisse collabore étroitement avec l’écurie allemande.

Outre la montre, le lot qui a été proposé aux enchères au profit de la fondation Laureus Suisse comprenait également les gants portés par Lewis Hamilton pendant ce Grand Prix, signés de sa propre main.

Les enchères se sont déroulées sur une douzaine de jours, se concluant le 17 octobre dernier. Elles ont atteint la somme colossale de 235 000€, soit environ sept fois plus que l’estimation initiale !

Crédits photos : Mercedes & IWC

Alors que le constructeur sino-britannique MG aurait pu se laisser abattre par la récente augmentation des taxes douanières, il continue d’afficher une étonnante vitalité. En effet, après avoir révélé au public l’EHS renouvelé et une nouvelle version hybride du ZS, MG a levé le voile en Chine sur un SUV entièrement électrique nommé ES5. Dans son communiqué officiel, la maison-mère SAIC Motor évoque un modèle à visée internationale. Selon toute probabilité, le ZS actuel et le nouvel ES5 cohabiteront sur le marché européen, le premier avec une motorisation thermique, et le second avec une motorisation électrique.

Un style distinctif pour le ES5

Bien que l’ES5 et le ZS Hybrid+ aient été présentés dans la même teinte rouge et présentent des similitudes, telles que le large logo MG apposé sur le capot, ils se différencient nettement sur plusieurs aspects. Par exemple, le fin liseré chromé reliant les phares avant, très présent sur le ZS, ne se retrouve pas sur le nouveau venu. Dans la logique des modèles zéro émission, la calandre a été supprimée pour l’ES5, et seule une partie avant restreinte accueille des éléments fonctionnels comme de grands conduits d’air et des extracteurs latéraux. Par ailleurs, les phares de l’ES5, plus fins, s’arrêtent au niveau de la séparation entre le bouclier et les ailes avant, contrastant avec ceux du ZS Hybrid+ qui débordent sur ces éléments.

Malgré un profil similaire, l’ES5 semble jouir d’une surface vitrée légèrement plus généreuse. À l’arrière, des modifications notables ont été apportées. Un aileron au design creusé, des feux modernisés et un bandeau lumineux harmonisent son esthétique avec celle de la MG4, lui conférant une identité visuelle forte.

Dimensions comparables à celles du dernier ZS Hybrid+

Le SUV ES5 repose sur la même architecture MSP que sa consœur compacte, adoptant ainsi une stature similaire. Les dimensions des deux véhicules sont proches, comme pour confirmer que l’ES5 est un équivalent électrique. Avec ses 4,48 m de longueur, il dépasse de peu le ZS, de 5 cm. Il est plus large de 3 cm (1,85 m) mais légèrement plus bas (1,62 m, soit 2 cm de moins). Malgré tout, son empattement plus généreux, s’étendant sur 2,73 m contre 2,61 m pour le ZS Hybrid+, pourrait améliorer son habitabilité.

En Chine, l’ES5 est proposé en version propulsion, avec un moteur développant une puissance d’environ 170 chevaux, offrant un couple de 250 Nm et un 0 à 100 km/h en 8 secondes. Pour ce qui est de l’autonomie, elle varie entre 425 km et 525 km selon la version, mesurée par le cycle de test chinois CLTC, souvent plus optimiste que le cycle WLTC utilisé en Europe. Quant à savoir quand ce SUV pourrait fouler le bitume européen, il faudra patienter, mais probablement pas trop longtemps avant de le voir arriver chez nous.

L’Eclipse Cross a tenté de se démarquer, mais il n’a jamais pu atteindre le succès commercial de l’Outlander, qui, il y a peu de temps encore, était leader des ventes de modèles hybrides rechargeables en France et en Europe. Bien qu’une nouvelle itération de l’Outlander ait vu le jour, sa commercialisation en Europe n’était pas prévue à l’origine. Cependant, face aux faibles performances de son successeur, Mitsubishi a finalement changé d’avis.

Le 1er octobre dernier, le constructeur portant l’iconique logo aux trois diamants a dévoilé la version européenne de l’Outlander. Celle-ci n’a que de légères différences par rapport aux autres versions et conserve l’essentiel de ce qui est commercialisé depuis 2021 ailleurs dans le monde. Ce SUV familial, mesurant 4,72 mètres de long (seulement 2 cm de plus que le précédent modèle), a-t-il profité des hausses de prix récentes pour augmenter ses tarifs ? Voyons cela.

Déjà proposé avec une remise, heureusement

À peine arrivé sur le marché, l’Outlander bénéficie déjà d’une réduction de la part de Mitsubishi. Et ce n’est pas un mauvais choix, car, en effet, la montée en gamme souhaitée par la marque s’accompagne d’un tarif moins compétitif qu’autrefois.

Il est disponible juste en dessous du seuil des 50 000 € grâce à une réduction de 2 350 € sur sa version de base Invite. Cette finition est, il faut le dire, assez bien équipée, avec notamment une peinture métallisée, des caméras à 360°, un tableau de bord numérique de 12,3 pouces, des jantes en alliage de 18 pouces, un régulateur de vitesse adaptatif et un système d’accès et démarrage sans clé.

Pour le modèle haut de gamme, la version Instyle est proposée à un peu plus de 60 000 € grâce à une réduction plus importante de 2 950 €. Sans cela, il aurait fallu débourser proche de 67 000 €. Ce n’est pas négligeable. Pour ce prix, heureusement, de nombreuses options sont incluses : des sièges en cuir, ajustables électriquement, chauffants, ventilés et massants à l’avant, ainsi que des sièges chauffants à l’arrière et un toit ouvrant panoramique.

Des spécifications améliorées

Pour comparaison, avant sa disparition au début des années 2020, l’ancien Outlander coûtait moins de 40 000 € pour la version de base et moins de 50 000 € pour la version la plus chère. Le nouveau modèle offre une technologie améliorée avec une batterie augmentée (22,7 kWh contre 13,8 kWh), permettant de parcourir 86 km en mode 100 % électrique, contre un peu plus de 50 km auparavant. Il est également beaucoup plus puissant qu’auparavant, avec un moteur essence de 136 ch et un moteur électrique de 115 ch pour une puissance combinée de 302 ch, dépassant largement les 200 ch de l’ancien modèle.

Pas plus cher que ses concurrents

Bien que son prix soit élevé, la concurrence n’est pas beaucoup plus abordable. Un Honda CR-V PHEV de taille similaire mais moins puissant (184 ch) commence à 63 150 €. Pour le nouveau Renault Rafale hybride rechargeable de 300 ch, il se situe entre 54 500 € et 59 000 €.

Pas de malus… mais jusqu’à quand ?

Grâce à sa motorisation hybride rechargeable, il évite actuellement tout malus. Cependant, cela pourrait changer prochainement. Il sera important de suivre de près les évolutions du projet de loi de finances pour 2025.

Tarifs du Mitsubishi Outlander (2025) selon les finitions

Le Grand Prix qui commence vendredi à Mexico est crucial. Même si Lando Norris a laissé échapper quelques points face à Max Verstappen, il reste dans la course pour le titre mondial. Pour rester dans la compétition, il lui faudra impérativement devancer Max Verstappen lors des cinq dernières courses (Mexique, Brésil, Las Vegas, Qatar et Abu Dhabi).

Quant à Max Verstappen, il demeure le leader incontesté. Le triple champion du monde actuel gère son score avec une avance de 57 points sur le pilote McLaren. Lors du rendez-vous aux États-Unis, il a remporté la course sprint et a fini en troisième position lors de la course principale, derrière les Ferrari de Charles Leclerc et Carlos Sainz.

Des enjeux déterminants pour le championnat des constructeurs

Le championnat constructeurs est celui qui retient le plus d’attention cette saison. Trois équipes sont en lice pour décrocher le titre : McLaren, actuellement en tête avec 544 points, suivie de Red Bull avec 504 points, et Ferrari avec 496 points. La tâche s’annonce ardue pour l’équipe autrichienne de Red Bull, qui ne peut compter que sur les performances de Max Verstappen pour récolter des points. Un départ de Sergio Perez à la fin de la saison est envisagé, surtout si Liam Lawson continue à impressionner chez Racing Bulls.

Les horaires du Grand Prix du Mexique de F1 en France

Avec le décalage horaire, les sessions du Grand Prix du Mexique se dérouleront pendant la soirée en France. Les événements débuteront vendredi avec deux séances d’essais libres. La première a lieu de 20h30 à 21h30, la seconde de minuit à 1h du matin.

Une troisième séance d’essais est prévue pour samedi, de 19h30 à 20h30. Les qualifications suivront ensuite, de 23h à minuit.

Enfin, dimanche, le départ de la course sera donné à 21 heures.

Les chaînes de télévision pour suivre le GP

Pour ce week-end de Grand Prix de Formule 1, deux chaînes seront principalement à suivre : Canal+ Sport, qui diffusera les séances d’essais libres et les qualifications, et Canal+ Sport 360 pour la course de dimanche. Vous trouverez ci-dessous un tableau récapitulatif des horaires et des chaînes TV :

Le classement des pilotes

1. Max Verstappen – Red Bull – 354 points
2. Lando Norris – McLaren – 297 points
3. Charles Leclerc – Scuderia Ferrari – 275 points
4. Oscar Piastri – McLaren – 247 points
5. Carlos Sainz – Scuderia Ferrari – 215 points
6. Lewis Hamilton – Mercedes – 177 points
7. George Russell – Mercedes – 167 points
8. Sergio Perez – Red Bull – 150 points
9. Fernando Alonso – Aston Martin – 62 points
10. Nico Hulkenberg – Haas – 29 points
11. Lance Stroll – Aston Martin – 24 points
12. Yuki Tsunoda – Racing Bulls – 22 points
13. Alex Albon – Williams – 12 points
14. Daniel Ricciardo – Racing Bulls – 12 points
15. Kevin Magnussen – Haas – 8 points
16. Pierre Gasly – Alpine – 8 points
17. Ollie Bearman – Haas / Scuderia Ferrari – 7 points
18. Franco Colapinto – Williams – 5 points
19. Esteban Ocon – Alpine – 5 points
20. Liam Lawson – Racing Bulls – 2 points
21. Guanyu Zhou – Sauber – 0 point
22. Logan Sargeant – Williams – 0 point
23. Valtteri Bottas – Sauber – 0 point

Le classement des constructeurs

1. McLaren – 544 points
2. Red Bull – 504 points
3. Scuderia Ferrari – 496 points
4. Mercedes – 344 points
5. Aston Martin – 86 points
6. Haas – 38 points
7. Racing Bulls – 36 points
8. Williams – 17 points
9. Alpine – 13 points
10. Sauber – 0 point

Crédit photo : Getty Images / Red Bull Content Pool

Les événements s’enchaînent rapidement. À la suite de la présentation des versions inédites de John Cooper Works, totalement électriques, basées sur les Mini Cooper et Aceman, c’est maintenant le tour des Mini JCW alimentées non plus par l’électricité, mais par l’essence. La Mini Cooper à trois portes est concernée, ainsi que la version décapotable qui vient de faire son entrée. Que proposent ces nouveaux modèles ? Faisons le point ensemble.

Une identité visuelle marquée par des inspirations classiques

Avant de parler du moteur, ce qui captivera d’abord les amateurs de ce type de véhicule, intéressons-nous au design des deux nouvelles créations.

On s’attendrait à ce qu’un véhicule avec un tel héritage présente des détails qui accentuent son caractère radical. C’est bel et bien le cas ici. Les réflecteurs verticaux rouge vif permettent de repérer les nouvelles ouvertures spécifiques. Le logo John Cooper Works en damier se distingue également sur la calandre noire.

À l’arrière, le diffuseur de grande taille, le pot d’échappement central et circulaire, et l’aileron (présent seulement sur le modèle trois portes, ce qui reste logique) distinguent cette version JCW des autres plus communes. Quant aux roues, il s’agit de jantes de 17 ou 18 pouces, ce qui risque de ne pas être idéal pour votre dos. Ne cherchez-vous pas plutôt des sensations de conduite plutôt que du confort avec ce type de voiture ?

Peu importe le choix de couleur de carrosserie que vous ferez parmi les six teintes disponibles en plus du noir illustrant les modèles en photo (et il y a même un coloris unique pour la Mini Cabrio, appelé Copper Grey), vous pouvez choisir des bandes décoratives rouges ou noires sur le capot, des coques de rétroviseurs du même ton ou encore un toit contrastant.

Une expérience sportive à l’intérieur aussi

Dès que l’on entre dans l’habitacle, on découvre une ambiance dominée par les tons noirs et rouges. La sellerie associe cuir et tissu avec des coutures rouges contrastantes, une touche rouge traverse le volant, et des détails rouges parsèment toujours le tableau de bord, reprenant le style déjà observable sur les versions électriques des Aceman et Cooper JCW. Pour ce qui est du confort, le système audio Harman Kardon est inclus.

Requiem pour la boîte manuelle

Côté mécanique, rien de très surprenant : les Mini et Mini Cabrio JCW accueillent le moteur 2.0 turbo à quatre cylindres délivrant 231 chevaux, déjà présent sur les versions précédentes. Le couple passe de 320 Nm à 380 Nm. Malheureusement, il est temps de dire adieu à la transmission manuelle. À cette étape, la boîte automatique devient de facto le choix imposé.

En dépit d’une puissance inférieure aux Mini Cooper et Aceman JCW électriques (qui affichent 258 chevaux), leurs performances restent très comparables. La Cooper peut atteindre une vitesse maximale de 250 km/h et la Cabrio culmine à 245 km/h (contre un maximum de 200 km/h pour les deux versions électriques). Quant à l’accélération de 0 à 100 km/h, elle est mesurée à un peu plus de 6 secondes pour la Mini trois portes (6,1 s) et légèrement plus pour la version décapotable (6,4 s). Les performances des versions électriques, Mini Cooper JCW avec ses 5,9 s et Mini Aceman JCW avec ses 6,4 s pour le même exercice, restent cependant au coude à coude.

Les tarifs ne sont pas accessibles, mais le malus reste relativement modéré pour l’instant

Il faut débourser un peu moins de 40 000 € pour la Mini Cooper JCW et 44 850 € pour la Cabrio JCW. Toutefois, contrairement aux versions électriques qui échappent à ce surcoût, il faut ajouter un malus allant de 1 761 € à 2 918 € pour la première et de 3 119 € à 4 543 € pour la Cabrio. Ne tardez pas trop à vous décider car en 2025, les pénalités devraient encore augmenter si l’on en croit les plus récentes estimations.

Connue sous le nom de R-Pass, cette taxe impose une redevance aux camions de plus de 3,5 tonnes qui empruntent les autoroutes A35, A36 ainsi que deux autres axes reliant la région à l’Allemagne. Le tarif fixé est de 15 centimes par kilomètre. Sa mise en œuvre est prévue pour 2027 et pourrait générer environ 67 millions d’euros de recettes.

Ce projet s’inspire des mesures appliquées de l’autre côté de la frontière, en Allemagne, où en début d’année, une taxe semblable a vu le jour. Les transporteurs y sont soumis à un prélèvement de 34 centimes par kilomètre, ce qui a provoqué un report du trafic vers les routes alsaciennes. La Collectivité européenne d’Alsace souhaite rétablir un équilibre à ce niveau sur le moyen terme.

Préoccupations quant aux impacts économiques de cette taxe

Bien qu’il y ait un large soutien politique au sein de la CEA pour cette taxe, les réactions du milieu économique sont plus variées. Les chambres d’agriculture et de commerce expriment des inquiétudes, soulignant de possibles conséquences néfastes. Elles redoutent notamment la perte de 1500 emplois et des hausses de prix répercutées sur les consommateurs. En opposition, certains acteurs économiques locaux, tels que la Fédération des Travaux publics d’Alsace, soutiennent cette décision prise le 21 octobre dernier. Ils affirment que l’argent récolté sera réinvesti dans l’économie locale.

Depuis le début de l’année, plus précisément le 1er janvier, la troisième version de la Sandero a trouvé près de 59 000 nouveaux acquéreurs. Sa demande reste donc forte. Il faut dire que le compromis entre la qualité et le prix a de quoi séduire, avec un coût initial de 11 990€.

Cependant, excepté pour la version GPL, toutes les variantes de cette citadine subissent le malus écologique. La cause en est les émissions supérieures à 118g de CO2 par kilomètre de ses moteurs. Ainsi, les futurs acheteurs devront se préparer à débourser plus en 2025 en raison du malus écologique. Le seuil d’émission pour lequel le malus s’applique passera de 118 à 113 grammes de CO2 par kilomètre, selon le premier barème publié récemment. Bien sûr, ce barème est susceptible d’être ajusté actuellement, car le budget est en discussion au sein du parlement. Nous ne manquerons pas de vous tenir au courant si des changements sont apportés.

Pour l’instant, les personnes désirant acheter la Dacia Sandero doivent prévoir au moins 190€ pour le malus écologique concernant la version TCe 90. La somme maximale s’élève à 631€ pour la version TCe 90 CVT, dont les émissions affichent officiellement 131 grammes de CO2 par kilomètre.

Il convient de rappeler que le malus écologique est une contribution à régler en une seule fois, lors de la première immatriculation du véhicule.

La Dacia Sandero Stepway est également affectée

Sans surprise, la version tout-terrain de la Sandero, le Stepway, est également soumise au malus écologique.

Tandis que la version au GPL échappe à cette taxe, ce n’est pas le cas du Stepway qui affiche 115g de CO2 par kilomètre. Cela implique une taxation supplémentaire de 100€ selon le barème en vigueur.

Jusqu’à 1500€ de malus possible

Concernant cette variante, la taxe peut atteindre un montant de 1504€ ! Ce tarif concerne spécifiquement le modèle TCe 90 CVT qui rejette 140g de CO2 par kilomètre.

Un habitant de Bretagne a appris qu’il coûtait 36 000€ pour remplacer la batterie de sa Kia Soul électrique. Ce montant exorbitant lui a été communiqué par son concessionnaire, alors qu’il avait acheté cette voiture d’occasion cinq ans auparavant.

Comme il le raconte à nos collègues de Ouest France, ce choix avait été motivé par des facteurs économiques et écologiques. Jusqu’à ce que la batterie commence à montrer des signes de faiblesse, son véhicule répondait parfaitement à ses besoins quotidiens, notamment pour ses trajets domicile-travail couvrant une distance d’environ cent kilomètres :

“Il est normal que la batterie se détériore avec le temps. J’ai donc décidé de la remplacer, même si cela impliquait de débourser une somme conséquente, afin de préserver ce véhicule qui est par ailleurs en excellent état.”

“Je n’en revenais pas”

Prêt à faire un effort financier, il ne s’attendait pas à ce qu’on lui demande autant :

“On m’a réclamé 36 310€. Je n’en revenais pas !”

À un tel tarif, acheter une voiture électrique neuve devient une option plus intéressante, ce qui exaspère cet automobiliste :

“C’est la preuve irréfutable que leur stratégie repose sur l’obsolescence programmée. À mes yeux, c’est comme s’ils ne voulaient pas vraiment effectuer de réparations. Je suis coincé, car il n’existe aucune alternative avec des réparateurs indépendants pour changer une batterie.”

Un “prix standard” selon le concessionnaire

Le garage, contacté par Ouest France, affirme que le tarif annoncé est habituel pour un changement de batterie en raison de la technologie complexe qu’elle incorpore. Ils ont cependant proposé une autre solution :

“Nous pourrions examiner plus attentivement le véhicule pour explorer des options moins onéreuses, telles qu’une batterie d’occasion.”

Crédit photo : Pixabay

Bien qu’il ne soit peut-être pas le véhicule le plus prisé de sa catégorie en France, le Mokka est loin d’être un échec commercial. Pour donner un point de comparaison, son cousin, le DS 3, duquel il emprunte de nombreux éléments, s’est vendu deux fois moins depuis le début de l’année.

Apparue sur le marché en 2021, la génération actuelle a introduit le nouveau design d’Opel avec la fameuse calandre Vizor, qui se décline sur l’ensemble des modèles de la gamme. Ce style semble plaire suffisamment puisqu’à l’occasion de ce restylage de mi-vie, le SUV urbain ne subit que des modifications très discrètes.

Attention aux détails !

Si vous aimez les jeux de différences, le dernier modèle du Mokka vous plaira certainement.

À l’avant, la signature lumineuse des phares se compose désormais de trois segments : un long trait s’étendant depuis la calandre, suivi de deux traits plus courts juste en-dessous pour évoquer le même alignement qu’auparavant.

Le design du pare-chocs a également été ajusté. La grille d’air située au-dessus est désormais orientée vers le bas. La position de la plaque d’immatriculation a été abaissée. Le motif de la grille inférieure prend une forme de nid d’abeille. Le chrome a complètement disparu de l’extérieur du Mokka et… c’est à peu près tout.

Des modifications légèrement plus visibles à l’intérieur

Si l’intérieur conserve en grande partie le même agencement, quelques nouveautés se remarquent. À commencer par le volant aplati sur le dessus et le dessous, une caractéristique empruntée au nouveau Frontera. La console centrale adopte une finition argentée, et les commandes qui y sont installées proviennent du dernier Grandland. Mauvaise nouvelle pour ce qui est de l’ergonomie, Opel a choisi d’éliminer certaines commandes pour les intégrer à l’écran central. Cette décision est à contre-courant de la tendance actuelle qui privilégie généralement le sens inverse.

La taille de l’affichage digital des instruments, placé sous les yeux du conducteur, passe de 7” à 10” pour la version d’entrée de gamme. Avec la navigation, vous bénéficiez des services de ChatGPT.

Une gamme plus condensée, mais des prix ajustés et parfois réduits

Les commandes sont déjà possibles. Le Mokka n’est proposée désormais qu’avec une option de motorisation thermique, une version hybride et une version électrique unique.

Avec un prix d’entrée de 26 500 € (soit 200 € de plus que l’ancienne version de base), on peut supposer que la version 100 ch du moteur PureTech essence a été retenue, bien que l’information ne soit pas précisée dans le communiqué officiel.

Pour l’hybride, seule la variante 136 ch est proposée, avec un prix débutant à 29 500 €. Une amélioration par rapport à la version précédente qui débutait à 30 700 €.

Autonomie de 400 km pour le Mokka électrique d’Opel

En ce qui concerne la version électrique, la variante de 136 ch a été retirée, seul reste le modèle de 156 ch avec une batterie de 54 kWh, offrant une autonomie estimée à 402 km. Son prix minimum est de 36 900 €.

Opel a consenti un effort significatif ici puisque le Mokka électrique coûtait au départ 42 000 € pour 136 ch. Cela permet d’envisager sereinement la fin de sa carrière, d’autant que cet aspect tarifaire est loin d’être négligeable.

Parmi les sujets mis en avant lors de cet entretien mardi matin, on retrouve la prime à la conversion, un sujet brûlant. Afin de réaliser des économies pour 2025, le gouvernement envisage de réviser les critères d’éligibilité de cette aide de 5 000€ dédiée à l’achat de véhicules électriques. Le ministre en charge des transports a indiqué que ce sujet est actuellement en discussion et qu’une des options serait de donner la priorité aux conducteurs résidant dans les Zones à Faibles Émissions (ZFE) :

“Les discussions sont en cours, notamment avec ma collègue Agnès Pannier-Runnacher, ministre de l’écologie. Le sujet de la prime à la conversion concerne principalement l’accès facilité pour les habitants des villes où les Zones à Faibles Émissions (ZFE) sont instaurées.”

On attend encore de voir comment tout cela sera implémenté concrètement. Cela risque fort de devenir une problématique complexe à gérer…

Le financement social par location sera maintenu

Un autre point important de la discussion a été le leasing social. Présenté comme une promesse de campagne d’Emmanuel Macron en 2022, le concept de leasing social offrait la possibilité de louer une voiture électrique pour un tarif débutant à 100 euros par mois (hors assurance).

La première initiative a été lancée au début de l’année 2024 et s’est avérée être très populaire avec 80 000 dossiers déposés pour l’achat de tels véhicules, alors que seulement 25 000 voitures étaient initialement prévues à la vente.

Le point positif est que le ministre a confirmé le retour, d’ici 2025, de la voiture électrique à 100€ par mois. Cependant, côté négatif – si tant est que ce soit vraiment un mal – c’est qu’il y aura des ajustements, comme il l’a précisé lors de son interview avec RMC :

“Le leasing social sera poursuivi, mais les règles évolueront probablement pour le rendre à la fois plus efficient du point de vue écologique, car l’objectif est de diminuer les émissions de CO₂, et pour atteindre les bons destinataires, notamment les Français ayant des ressources limitées.”

Il n’est pas encore possible de connaître les changements exacts. L’objectif initial du gouvernement était de proposer 50 000 véhicules électriques à 100€ par mois pour l’année suivante. Compte tenu des contraintes budgétaires, cela pourrait être compromis.

Il faudra aussi résoudre les difficultés qu’ont rencontrées les concessionnaires. Beaucoup ont éprouvé des complications pour obtenir le remboursement de la portion prise en charge par l’État. De plus, la réaction des fabricants sera cruciale . Seront-ils de nouveau partants étant donné le flou actuel ? Rien n’est assuré, même si ceux qui ont participé au programme ont profité d’une belle opportunité commerciale. L’avenir nous le dira.

Présentée pour célébrer le 125ème anniversaire de l’enseigne, la Fiat 500e Giorgio Armani Collector’s Edition se positionne comme une très élégante série spéciale. Nous nous attendions à un tarif élevé, et c’est malheureusement ce qui a été appliqué.

Un tarif supérieur à 40 000 €

Cette version haut de gamme de la 500e ne propose que deux couleurs : un vert foncé et un beige. Elle est dotée de jantes uniques portant fièrement l’emblème de la célèbre maison de mode.

À l’intérieur, l’insert en bois du tableau de bord évoque la version Riva désormais disparue de l’ancienne 500 à moteur thermique. La sellerie est exclusive, avec le logo Giorgio Armani visible sur les sièges.

Le prix, bien que comme prévu difficile à digérer pour une si petite voiture électrique de 118 chevaux avec une autonomie de 310 kilomètres, s’élève à 41 500 €. Il n’est pas précisé si ce montant inclut la prime écologique, mais on peut supposer que ce n’est pas le cas. En comparaison, la Renault 5 E-Tech, également électrique mais avec un moteur de 150 chevaux et une autonomie d’environ 400 kilomètres, est proposée à 35 490 €.

Heureusement, outre son allure séduisante, la Fiat 500e est bien équipée avec des fonctionnalités telles que la climatisation automatique, Apple CarPlay et Android Auto sans fil, des sièges chauffants à l’avant, un toit panoramique, une conduite avec une seule pédale, des capteurs à 360°, des phares full LED à l’avant, et un système audio JBL haut de gamme.

En attendant la version hybride !

Est-ce suffisant pour relancer les ventes de la 500e ? Probablement pas. Bien que cette voiture demeure l’une des électriques les plus populaires en France, elle n’échappe pas à la baisse des ventes constatée ailleurs, obligeant la marque à suspendre la production périodiquement. En l’espace d’un an, les immatriculations ont chuté de 32 % dans l’Hexagone !

En effet, la concurrence s’intensifie. Il est désormais faisable de trouver des électriques à des prix plus attractifs. La plateforme de la 500e, développée à l’ère Fiat Chrysler Automobiles, n’est partagée avec aucun autre véhicule du groupe Stellantis, ce qui complique les économies d’échelle. Autrement dit, pour donner un nouveau souffle à sa carrière, la marque devra compter sur l’arrivée de la version hybride prévue pour l’année prochaine. La transition s’annonce longue d’ici là.

En début d’année 2021, Volkswagen a révélé sa volonté d’ajouter un nouveau modèle compact à sa gamme en Europe. Ce véhicule, un SUV-coupé innovant pour le constructeur allemand, porte le nom de Taigo sur notre continent. Il s’inspire directement du Nivus, commercialisé dès 2020 au Brésil avec un design presque identique. Après quatre années sur le marché, le Nivus affiche aujourd’hui une version repensée, nous offrant un aperçu anticipé des modifications qui pourraient être apportées au Taigo d’ici quelques mois. Analysons ce qui a changé.

Un avant complètement transformé

Volkswagen est généralement reconnu pour ne pas effectuer de grandes transformations lors des rafraîchissements de mi-parcours de ses modèles. Toutefois, avec le Nivus, la marque a fait exception en modifiant de manière notable l’avant du véhicule.

Le changement majeur réside dans la calandre, qui a été aplanie ; les deux bandes chromées ont été supprimées en faveur d’une unique bande lumineuse qui prolonge les phares. Ces derniers ont également subi une refonte, avec un dessin s’affinant et présentant maintenant des courbes élégantes. Enfin, le pare-chocs est devenu plus imposant et plus ouvert visuellement.

Modifications minimes à l’arrière du véhicule

À l’arrière, les changements restent limités et peu perceptibles. Ils se traduisent essentiellement par une nouvelle signature lumineuse et un léger remodelage du bouclier.

Un habitacle presque inchangé

À la surprise générale, l’intérieur a peu évolué. Bien que l’on aurait pu s’attendre à une adoption de la disposition intérieure des T-Roc et T-Cross, avec un écran dominant le tableau de bord, cela n’est pas le cas. L’intérieur reste fidèle au modèle de la Polo. Volkswagen prétend avoir amélioré le système multimédia, une évolution dont le Taigo européen pourrait bénéficier. On s’attend également à une amélioration de la qualité des matériaux, notamment avec des plastiques plus doux sur les panneaux des portes.

Aucun changement sous le capot ?

Les préférences et les réglementations diffèrent considérablement entre le Brésil et l’Europe, c’est pourquoi les motorisations ne sont pas le point focal. Le Nivus brésilien utilise par exemple l’éthanol. La gamme du Taigo ne devrait pas subir de grands chamboulements : elle devrait conserver ses variantes essence de 95, 116, et 150 chevaux, probablement sans option de micro-hybridation.

Nivus, un inconnu en Europe

Cette gamme restreinte pourrait expliquer en partie la performance modeste du Taigo sur le marché européen. Bien qu’il bénéficie d’un bon rapport qualité-prix et de caractéristiques pratiques appréciées, il occupe seulement la 59e position des modèles les plus vendus en France depuis le début de l’année, avec 5 794 exemplaires écoulés. C’est en deçà des performances du T-Roc (34e position, 10 020 unités vendues) et surtout du T-Cross (23e position, 13 186 ventes).

Paradoxalement, si des modifications importantes ont été apportées à ce SUV coupé, c’est probablement davantage pour séduire le marché français. Au Brésil, le Nivus faisait partie des dix modèles les plus vendus en 2023. Face à une offre pléthorique de SUV, les consommateurs peuvent avoir du mal à s’y retrouver.

Actuellement, les discussions autour des pénalités écologiques de 2025 se poursuivent à l’Assemblée nationale. Des changements peuvent encore survenir, et nous serons prêts à mettre à jour ces informations si nécessaire.

Un élément semble néanmoins certain : le seuil d’émissions de CO2 déclenchant le malus écologique devrait changer. À partir du 1er janvier, il passera de 118g de CO2 par kilomètre à 113g, impliquant inévitablement la Clio de Renault. Néanmoins, ne vous inquiétez pas, acheter cette citadine en 2025 ne signifie pas forcément que vous serez soumis à une pénalité écologique. Cela dépend en fait de la motorisation choisie. Par exemple, choisir la version hybride (disponible à partir de 23 800€) ou la version GPL (à partir de 20 300€) évite toute taxe. Le moteur diesel Blue dCi, proposant un prix de départ de 22 200€, n’est pas non plus concerné.

Deux motorisations sous le coup des taxes en 2025

En revanche, opter pour la version la plus accessible de la Clio, qui est aussi la moins puissante (SCe 65, à partir de 18 700€), impliquera un coût supplémentaire en raison des émissions de CO2. En 2024, cette variante était déjà soumise à une taxe de 75€, car elle rejette 120g de CO2 par kilomètre. En 2025, selon le barème en vigueur, le montant de la taxe grimpera de 115€, atteignant 190€ pour les nouveaux acquéreurs.

Une autre version, la TCe 90 (à partir de 19 600€), devra également s’acquitter de cette taxe dès le 1er janvier. Ce modèle rejette 114g de CO2 par kilomètre, et le montant de la taxe sera de 75€.

Alors que certaines marques hésitent à utiliser le terme SUV (qui peut être peu apprécié de nos jours), Hyundai a été très clair depuis la présentation de son modèle en juin dernier. L’Inster est un SUV urbain entièrement électrique, appartenant au segment A, celui des mini voitures de ville, à l’instar de la Renault Twingo ou encore de la Hyundai i10. Elle offre actuellement une proposition unique sur le marché.

Dans un segment où chaque centimètre est crucial, cette carrosserie optimise l’espace disponible pour les passagers et leurs bagages grâce à une excellente emprise au sol. Le but est de proposer un volume intérieur comparable à celui de véhicules du segment supérieur tels que la Citroën ë-C3 ou la future Renault 5 électrique, mais dans un format plus compact (3,83 m comparativement à 3,92 m pour le modèle français). Nous attendons avec impatience de pouvoir l’inspecter de près.

Déjà remarquable par son design singulier, l’Inster se distinguera encore davantage avant la fin de l’année avec sa déclinaison Cross, tout juste présentée, qui accentue son allure d’explorateur. Découverte.

Un style affirmé

Doté de protections en plastique pour les roues et de phares ronds évoquant ceux des véhicules tout-terrain traditionnels, l’Inster n’avait pas besoin de beaucoup d’ajouts pour revendiquer une apparence de véritable off-road.

Cependant, plusieurs éléments renforcent cette esthétique robuste. Notamment, les pare-chocs redessinés à l’avant et à l’arrière, à la forme rectangulaire, avec un design semblable à des sabots protecteurs.

Si le coffre de 280 litres ne répond pas à tous vos besoins (351 litres si les sièges sont avancés, grâce à sa banquette coulissante), une galerie de toit peut être ajoutée, tandis que des barres de toit sont installées de série.

En termes de style, les jantes de 17 pouces sont fournies d’office, et une teinte verte mate unique est disponible. D’autres coloris seront également proposés. L’intérieur mélange harmonieusement le gris et le jaune citron.

À quoi s’attendre pour le prix ?

Il y a un léger doute concernant le tarif de cet Inster Cross. Il devrait logiquement être plus onéreux que la version haut de gamme actuelle en finition Creative, équipée d’un moteur de 115 ch et d’une batterie de 49 kWh, offrant une autonomie de 360-370 km. On anticipe un prix dépassant les 30 000 €, ce qui est élevé pour une voiture du segment A. À titre de comparaison, les modèles comme la Dacia Spring et la Leapmotor T03, même dans leurs versions les plus équipées, restent en dessous des 20 000 €.

C’est également un prix supérieur à celui d’une Citroën ë-C3 de segment supérieur, qui se vend au maximum 27 800 € en finition premium avec une motorisation d’une puissance similaire (113 ch) et une batterie légèrement plus petite de 44 kWh, offrant une autonomie moindre de 320 km. En outre, l’Inster, fabriqué en Corée du Sud, risque de ne pas bénéficier de l’avantage du bonus écologique.

Figure incontournable du dernier Mondial de l’Automobile qui vient de se conclure, le Bigster est également un élément majeur de la stratégie Renaulution. Il marque la première incursion de la marque roumaine dans le segment C (celui des Renault Megane, Peugeot 3008, etc.). Son nom n’a pas été choisi au hasard, avec un design qui amplifie le concept du Duster, ceci se traduisant par un espace intérieur augmenté et un changement d’image. Paradoxalement, son entrée dans le marché coïncide avec une période où les véhicules de type SUV sont la cible de critiques pour leur taille imposante. Face à une comparaison inévitable avec le Duster, quels sont donc les éléments qui démarquent le Bigster ? Detaillons cela.

Un gabarit et un espace amplifiés

Le point fort principal du Bigster est sa taille plus imposante. Cette dimension plus grande permet d’offrir un confort accru à 5 passagers ainsi qu’à leurs bagages. Avec une longueur de 4,57 mètres, il surpasse de 23 cm le Duster. En ce qui concerne la hauteur, il gagne 5 cm, atteignant 1,71 mètre, bien que la largeur reste inchangée, avec 1,81 mètre.

Ces dimensions accrues se traduisent par un gain d’espace pour les passagers arrière grâce à un empattement qui s’étend de 4 cm pour atteindre 2,70 mètres. De même, le volume du coffre atteint une capacité maximale de 667 litres, soit un gain par rapport aux 517 litres du Duster. Pour des familles nombreuses ou les adeptes de brocantes, ces atouts seront déterminants dans leur choix.

Des motorisations plus robustes…

Inévitablement, cette augmentation de taille influence également le poids du véhicule. Sans chiffres officiels pour l’heure, il semble évident que le Bigster sera plus lourd. On espère cependant qu’il ne dépassera pas les 1 600 kg afin d’éviter un malus lié au poids, en plus du malus CO2 auquel certains modèles tels que le TCe 140 chevaux essence, déjà répandu dans le groupe Renault, pourraient être soumis, avec des émissions annoncées à 129 g/km de CO2 et un malus correspondant de 450 € en 2025.

Une motorisation hybride plus puissante que chez le Duster

Néanmoins, pour compenser le possible surpoids, le Bigster mise sur des motorisations plus musclées. Un exemple est la version hybride qui offre 155 chevaux, surpassant ainsi les 140 chevaux que l’on trouve sur le Duster.

Une motorisation GPL plus efficace

Dans le même ordre d’idées, la motorisation GPL a été optimisée sur le Bigster, faisant passer la puissance de 100 chevaux à 140 chevaux. Ainsi, tout en permettant des économies de carburant, le Bigster reste suffisamment puissant pour transporter aisément une famille et ses bagages.

… Pour une capacité de traction accrue

Cette puissance supplémentaire ne se limite pas à compenser le poids accru. En version hybride de 155 chevaux, le Bigster bénéficie de 15 chevaux et 20 Nm supplémentaires (pour un total de 170 Nm sur le moteur thermique), augmentant ainsi sa capacité de traction. Il peut tracter 250 kg de plus qu’un Duster ou un Jogger Hybrid de 140 chevaux, soit une tonne au total. C’est un avantage certain pour certains. À vérifier avec les autres versions, notamment le modèle 4×4 couplé au moteur TCe en hybridation légère de 130 chevaux.

Enfin, Dacia avance une amélioration de l’efficience avec “une diminution des émissions de 6 %, grâce notamment à une gestion optimisée du régime moteur”. Il semble donc que le poids n’ait pas de conséquences néfastes sur la consommation et les émissions de CO2. Voilà de quoi réduire les critiques. Bien sûr, ces affirmations restent à confirmer.

Plus de choix de personnalisation

S’il peut sembler secondaire, le Bigster permet une certaine personnalisation supplémentaire avec une nouvelle teinte de peinture (un bleu profond assez classique), des jantes de 19 pouces, mais aussi et surtout une possibilité de couleur bicolore avec un toit noir.

Une richesse accrue des équipements

Étant donné qu’il appartient à une catégorie supérieure, on peut espérer que le Bigster offre un niveau de raffinement accru, même s’il maintient les attentes vis-à-vis d’une Dacia. Cela tombe à point nommé, puisque le véhicule offre de nombreux équipements et astuces pour améliorer le quotidien de ses utilisateurs. Une banquette repliable 20/40/20 avec accoudoir central, climatisation bizone, toit ouvrant panoramique, siège conducteur ajustable électriquement, un régulateur de vitesse adaptatif, une console centrale réfrigérée… Autant d’équipements disponibles en série ou en option que l’on ne s’attendait pas à trouver un jour sur une voiture estampillée Dacia. Certes, les tarifs augmentent (à partir de 25 000 €, comparé à 19 690 € pour le Duster), mais cela reste compétitif face à la concurrence. Par exemple, un Renault Austral, bien que plus court de 6 cm, débute à partir de 36 100 €…

Cap sur le département de l’Aisne, plus précisément sur l’autoroute A26. Les forces de l’ordre avaient pris position pour effectuer des contrôles de vitesse sur cette voie où la limite est fixée à 110 km/h. Leur mission s’est avérée fructueuse. Au cours de cette opération, les gendarmes ont signalé sur leur page Facebook l’interpellation d’un conducteur d’une Peugeot, flashé à une vitesse ahurissante. Quel était donc l’allure de ce conducteur téméraire ? 211 km/h. Cela représente un dépassement de 101 km/h par rapport au seuil permis !

Les premières actions menées par les gendarmes pour stopper ce conducteur déraisonnable ont été de lui confisquer son permis de conduire et d’envoyer son véhicule à la fourrière. Il aura prochainement affaire à la justice. Il doit se préparer à une convocation au tribunal. Il risque une amende pouvant atteindre 1500 €, une perte de six points sur son permis ou encore une suspension de celui-ci pour plusieurs mois, en fonction de ses antécédents routiers.

Un autre conducteur arrêté sur une voie nationale

Bien que les chiffres soient moins saisissants, les risques demeurent élevés. Les gendarmes de Saône-et-Loire ont intercepté un automobiliste contrôlé à 174 km/h sur la route nationale 79.

Ces événements se sont déroulés dimanche dernier près de la commune de Milly-Lamartine. C’est le peloton motorisé de Charnay-Lès-Mâcon qui a intercepté cet imprudent au volant d’une Ford Focus. Bien que la vitesse ait été ajustée à 165 km/h, cela ne change rien à la situation de ce conducteur, car il reste dans la catégorie des grands excès de vitesse. Autrement dit, les gendarmes ont pris la décision de lui retirer son permis de conduire et de placer son véhicule en fourrière. C’est désormais à la justice de se prononcer sur les sanctions ultérieures (retrait de points, suspension, amende, etc.).

508 007 participants comptabilisés sur 6 jours contre 397 812 durant la même période en 2022, 4 000 journalistes (avec un quart de représentants de la presse internationale) contre 3 200 il y a deux ans, et 3 300 essais de voitures, soit 300 de plus qu’en 2022… ces chiffres ne mentent pas : le salon Mondial de l’Automobile de Paris affiche un succès indéniable sur le papier. Mais qu’en est-il de notre appréciation personnelle ?

Beaucoup d’avantages remarqués

Plus de constructeurs présents

Les attentes étaient grandes et les surprises ont été au rendez-vous jusqu’au dernier instant. La liste des participants a d’ailleurs continué de s’allonger. Par exemple, Tesla a été ajouté quelques jours avant l’ouverture officielle. Certains ont remarqué que la marque américaine n’apportait rien de neuf, mais on peut quand même se réjouir de sa présence.

Selon le communiqué officiel des organisateurs : “48 constructeurs et 158 exposants et partenaires ont occupé cinq halls du Parc des Expositions pour présenter leurs innovations et modèles principaux”. L’édition précédente n’avait mobilisé que trois halls sur sept en raison d’un manque de participants.

Une meilleure diversité des participants

Mais au-delà du simple nombre, ce qu’il faut féliciter, c’est la diversité des marques présentes. Comme l’avait promis Serge Gachot, le directeur du Mondial, les constructeurs chinois étaient moins présents relativement parlant. À noter tout de même l’absence remarquée de MG.

Sur place, presque toutes les grandes nations automobiles étaient représentées. Pour la France, Alpine, Citroën, Peugeot et Renault étaient là (à l’exception de DS, à laquelle nous reviendrons). L’Allemagne a envoyé Audi, BMW et Volkswagen. L’Italie était présente avec Alfa Romeo et Microlino. Les États-Unis étaient représentés par Cadillac, Ford et Tesla. Mini et Skoda représentaient respectivement le Royaume-Uni et la République Tchèque.

Un florilège de nouveautés

Et ce qui compte plus que le nombre de marques, ce sont les nouveautés proposées. L’édition 2024 a surpassé celle de l’année dernière. Des modèles comme l’Audi Q6 Sportback e-tron, le BYD Sealion 7, la Dacia Bigster, le concept Leapmotor B10, les Mini Aceman et Cooper JCW, la Peugeot e-408 et la Volkswagen Tayron ont été dévoilés pour la première fois. Certaines marques ont présenté plusieurs nouveautés. Alpine a dévoilé l’A110 R Ultime, le SUV A390 en concept et une version retravaillée de l’Alpenglow. Citroën a présenté les C4 et C4 X remaniées, l’Ami également renouvelé, et le concept C5 Aircross. Renault a introduit la R4, le concept Emblème et la R17 restomod. En bref, il y avait de quoi captiver les visiteurs.

Des points à améliorer ?

L’absence des marques prestigieuses

Certains d’entre vous l’ont sans doute remarqué : aucun constructeur de luxe n’est venu à Paris. Pas de Bugatti, pas de Ferrari, pas de Porsche ou de Maserati, ce qui a probablement déçu les passionnés d’exclusivité. Leur absence est d’autant plus regrettable qu’ils avaient des nouveautés à présenter. Bugatti avec sa nouvelle Tourbillon, Maserati avec la récente Granturismo, Ferrari et ses 12Cilindri et F80, dévoilée la semaine dernière. De même pour Porsche avec sa 911 GT3 revisitée, également révélée récemment.

La faute ne repose pas sur les organisateurs mais sur les exposants. Ont-ils craint un manque d’impact médiatique ? C’est à spéculer. On peut néanmoins espérer que le succès de cette édition les encourage à revoir leur décision ultérieurement.

Stellantis peut viser plus haut

Le groupe Stellantis a marqué des points positifs avec les stands Citroën, Leapmotor et Peugeot, riches en nouveautés, ainsi que plusieurs concept-cars inédits. Cependant, on peut s’interroger sur l’absence remarquée de marques telles que Lancia, Opel ou encore Jeep, surtout lorsqu’Alfa Romeo a reçu beaucoup d’espace malgré peu de nouveautés à proposer. Par exemple, présenter l’Ypsilon aurai pu être judicieux sachant que Lancia, comme Alfa avec le Junior, cherche à renouveler sa marque.

Le cas de DS est encore plus frappant, absence remarquée cette année alors que Citroën a été absente la fois d’avant. Dommage surtout que l’on attendait une annonce majeure pour une nouvelle référence de DS, teasée en avril dernier. Une marque comme DS, qui incarne le sommet de l’automobile française, aurait eu toute sa place ici. Sans doute que le concept SM Tribute aurait séduit les visiteurs.

La durée de l’événement

Si vous n’avez pu venir à Paris la semaine passée ou durant le week-end, vous auriez peut-être souhaité vous libérer cette semaine ou le prochain week-end. En raison d’une capacité limitée de visiteurs par jour pour des raisons de sécurité, le salon ne peut plus prétendre à ses records passés. Autrefois, c’était le plus grand salon automobile mondialement. Ajouter un second week-end semble nécessaire pour retrouver une telle ampleur.

Tel est l’objectif affiché : “Les organisateurs souhaitent ouvrir l’événement à un plus grand public en ajoutant un week-end additionnel en 2026”, précise le communiqué. Cela avait déjà été envisagé précédemment. Avec une nette amélioration du bilan cette année, convaincre les réticents pourrait se révéler plus faisable cette fois.

Crédit photo : Joris Clerc

Certains auraient espéré la voir au Mondial de l’Auto. Cependant, la prochaine CLA n’a pas jugé utile de se rendre à Paris, tout comme les autres modèles de la marque Mercedes. En effet, la marque à l’Étoile a décidé de viser une montée en gamme en évitant ce genre d’événements. Elle préfère se concentrer sur des manifestations s’adressant à un public plus ciblé et restreint. C’est dommage, car la nouvelle génération de cette berline coupé est bien présente sur le territoire français. Elle se montre pour la première fois sous sa forme définitive, même si elle est encore partiellement camouflée, lors du Festival de la mode de Hyères.

Quels changements par rapport à la CLA Conceptuelle ?

La question du remplacement de cette berline coupé apparaît précoce puisque l’actuelle version date de 2019. Néanmoins, c’est bel et bien ce qui se prépare. Mercedes a officialisé le début de la phase pré-communication de ce modèle, en vue d’un lancement prévu pour 2025. Annoncée l’an dernier au salon de l’automobile de Munich sous la forme d’un showcar, la future CLA commence à se dévoiler.

Un design inspiré du concept

Sauf surprises, la nouvelle CLA de série ressemble fortement au concept. En comparant les deux voitures, les similarités sautent aux yeux. Le profil coupe, avec cette ligne de caisse haute et les vitres arrière réduites, est reproduit fidèlement. Pour améliorer l’aérodynamisme, les designers ont choisi des lignes épurées, dépourvues de détails inutiles, notamment avec des poignées de portes rétractables.

À l’avant, on observe un capot allongé et une calandre creusée arborant l’Étoile au centre. Pour répondre aux exigences industrielles et aux considérations budgétaires, le modèle adopte des optiques plus conventionnelles. Toutefois, l’étoile pourrait encore se retrouver au centre de ces dernières.

À l’arrière, le design s’inspire du concept, bien que les feux ne créent plus d’effet tridimensionnel. On remarque un arc de cercle, interrompu par une bande traversant le coffre et l’étoile au milieu, créant une parenté avec une autre coupé de la marque, le CLE. La nouvelle CLA pourra certainement compter sur ses lignes attrayantes pour séduire.

Est-elle réellement 100% électrique ?

Bien qu’on l’imaginait exclusivement électrique, cela ne semble pas être le cas. En raison de résultats mitigés pour sa gamme EQ à zéro émission et parce que les tarifs des modèles hybrides ne rejoindront pas ceux des versions thermiques d’ici quelque temps, d’après le directeur Ola Källenius cité par Autocar, les plans d’électrification du constructeur ont été ajustés. Ainsi, et grâce à la nouvelle plateforme MMA, la CLA pourrait être équipée de moteurs à essence incluant des options micro-hybrides et hybrides rechargeables. Cela reste toutefois à confirmer.

750 km d’autonomie sans pause

En matière d’électrique, la CLA souhaite faire sensation en offrant, d’une part, une plateforme 800V pouvant recharger jusqu’à 400 km en seulement 15 minutes selon Mercedes et, d’autre part, une consommation frugale de 12 kWh/100 km qui lui permettrait de parcourir 750 km sans interruption, grâce à une batterie qui avoisinerait les 90 kWh. Les précisions définitives sur ces aspects arriveront prochainement, mais la date reste encore indéterminée.

Rappel Conso, le site spécialisé dans l’information sur les rappels, nous révèle cette campagne de rappel concernant BMW. Le problème concerne les airbags, plus précisément, le site indique que « le propergol contenu dans l’airbag du côté du conducteur peut se dégrader au fil du temps. En cas de déploiement des airbags, cela pourrait causer la projection de fragments issus du gonfleur, mettant ainsi en danger les occupants de l’automobile ».

Ce sont treize modèles qui sont inclus dans ce rappel, lequel s’étend à toute l’Europe :

Un rappel de grande envergure

Ce rappel revêt une importance considérable pour le constructeur automobile. Il concerne notamment des modèles de la cinquième ou sixième génération sortis des chaînes de production entre juillet 2003 et la fin de juin 2015. Au total, ce sont 86 225 véhicules, identifiés par le code usine E, comme l’indiquent nos confrères de L’Est Républicain.

En outre, une deuxième série, comprenant 180 595 véhicules, se voit également concernée par ces soucis. Ces modèles, marqués par le code usine F, ont été fabriqués entre juillet 2009 et janvier 2018.

BMW incite ses clients à contacter leurs concessionnaires afin de procéder à une vérification de routine. Si leur véhicule est effectivement muni d’un airbag Takata, BMW s’engage à couvrir intégralement les coûts liés à son remplacement.

Crédit photo : Pixabay

L’année 2024 n’a pas été de tout repos pour le fabricant français. En effet, il a dû faire face à l’affaire du moteur PureTech qui a impacté toutes les marques du groupe, ainsi qu’à une campagne de rappel massif des Citroën C3 et DS3 équipées d’airbags défectueux, produits par l’équipementier japonais disparu, Takata. Malgré ces épreuves, Citroën a su rebondir. Pour s’en apercevoir, il suffisait de visiter leur stand au Mondial de l’Auto 2024, qui a clôturé ce dimanche. On pouvait y admirer la C3 et la C3 Aircross, modèles récents faisant leur début devant le grand public, le concept C5 Aircross préfigurant la prochaine version du SUV aux Chevrons, et enfin, les Ami et C4 revisitées. Plein de nouveautés à découvrir, Citroën a accéléré la cadence : les commandes pour le modèle tout juste dévoilé sont déjà ouvertes pour des livraisons attendues l’année prochaine. Établie comme une marque proposant des modèles essentiels et abordables, Citroën n’a pas manqué d’étonner par sa grille tarifaire surprenante.

Une palette toujours diversifiée

Nous n’allons pas rediscuter ici des transformations esthétiques de mi-vie, celles-ci ayant été traitées dans un autre article que vous pouvez consulter ici. Concentrons-nous plutôt sur l’offre de la C4 et de sa version quatre portes, baptisée C4 X. Quelques points sont à noter. Pour commencer, la motorisation diesel ne fait pas son retour. Cependant, une version totalement thermique demeure disponible en France, grâce au moteur PureTech essence de 130 chevaux, malgré son image mise à mal, et couplée à une boîte automatique à huit rapports. Une bonne nouvelle pour ceux peu enclins à l’adoption de véhicules électriques.

Options hybrides et électriques

Pour les autres, le choix s’oriente vers deux modèles hybrides de 100 chevaux (non disponible sur la C4 X) et 136 chevaux, avec une boîte automatique à six rapports de série. Pour les puristes de l’écologie, il est possible de sélectionner entre deux modèles électriques de 136 chevaux et 156 chevaux. Le premier se dote d’une batterie de 50 kWh offrant une autonomie de 360 km, et le second d’une batterie de 54 kWh promettant 425 km dans ses conditions optimales.

Trois finitions disponibles dans le catalogue

Les niveaux de finition restent inchangés. Les clients peuvent toujours choisir parmi trois finitions distinctes :

Un prix de départ en hausse mais…

En supprimant la motorisation de base PureTech essence de 100 chevaux, le prix d’entrée de gamme de la C4 a naturellement augmenté, mais cette hausse n’est pas drastique. Il est ainsi passé de 27 550 € à 28 500 €. Cette augmentation modeste se justifie par l’ajout de l’hybridation, permettant des économies, et la boîte automatique. Ainsi, auparavant, la version à boîte automatique de la C4 PureTech 100 chevaux coûtait 31 050 €. En définitive, c’est une offre bien plus avantageuse.

C’est également le cas pour la version essence de 130 chevaux en finition Plus, débutant maintenant à 29 400 € contre 32 000 € avant le relooking. Cela représente tout de même une économie substantielle de 2 600 €.

Pour la version hybride de 136 chevaux, le tarif pour la version la mieux équipée, Max, est fixé à 32 900 €, alors qu’auparavant elle était affichée à 35 550 €. Une différence de 2 650 €, ce n’est pas négligeable !

Des écarts plus ou moins remarquables selon les versions électriques

En ce qui concerne les versions électriques de la C4, bien qu’elles restent compétitives, les écarts de prix sont un peu moins marqués. La version de 136 chevaux en finition You débute à 33 850 €, contre 35 740 € auparavant.

Par ailleurs, elle atteint maintenant un tarif maximum de 38 000 € (pour le modèle de 156 chevaux avec grande autonomie, Max) alors qu’elle avoisinait précédemment 45 100 €. Oui, vous avez bien lu, il y a une différence de 7 100 € ! Voilà une révision tarifaire qui pourrait bien inquiéter ses rivales habituelles, la Peugeot 308 et la Renault Mégane.

Liste complète des prix pour les Citroën C4 et C4 X retravaillées (2025)

Prix de la Citroën C4 (2025)

Tous les tarifs de la Citroën C4 remaniée

Prix de la Citroën C4 X (2025)

Tous les tarifs de la Citroën C4 X revue

À partir de 2025, le malus écologique s’appliquera dès 113 grammes de CO2 par kilomètre, contre 118 grammes en 2024. De plus, les tarifs de cette taxe s’élèveront pour les catégories inférieures. Résultat : les conducteurs optant pour une Peugeot 208, modèle ayant dominé les ventes en France en 2024, seront contraints de verser un montant supérieur par rapport à l’année précédente. En plus du tarif d’achat initial, qui commence à 19 200€, un coût supplémentaire d’au moins 100€ devra être pris en charge lors de l’enregistrement du véhicule.

Augmentation de la taxe écologique pour la Peugeot 208 : quelles variantes sont impactées ?

À l’exception des versions électrique et diesel Blue HDi produisant 100 chevaux, toutes les déclinaisons de la Peugeot 208 seront affectées par l’augmentation du malus écologique pour l’année 2025.

En particulier, un modèle jusque-là exclu entre désormais dans le champ du malus : la 208 dotée du moteur essence PureTech 100. Cette variante affiche une émission de 115g de CO2 par kilomètre, entraînant pour ses futurs propriétaires une taxe de 100€.

En dehors de la Peugeot 208 PureTech 100, trois autres configurations mécaniques subissent également cet ajustement :

Les frais supplémentaires pour la Peugeot 208 en 2025 : une vue d’ensemble

Comme indiqué précédemment, les acheteurs de cette voiture urbaine devront s’acquitter d’au moins 100€ lors de l’immatriculation, spécifiquement pour la version PureTech 100.

Pour le modèle équipé du moteur PureTech de 75 chevaux, le coût sera de 190€, pour le moteur PureTech 100 associé à la boîte EAT 8, il atteindra 230€, et celui de la déclinaison PureTech 130 EAT8 s’élèvera à 240€.

Du mardi au dimanche précédent, exactement 508 007 visiteurs ont exploré les allées d’un événement qui a su retrouver son éclat, après une édition 2022 qui n’avait pas été à la hauteur des attentes. Pour mieux saisir l’ampleur du succès, 100 000 personnes de plus se sont présentées cette année, comparé à la fois précédente.

Il faut reconnaître que cette édition a su séduire avec une forte présence de grands constructeurs qui ont répondu à l’appel, en plus des nouveautés qui ont attiré l’attention du public. À commencer par le lancement de la nouvelle Renault 4 électrique.

Rendez-vous prévu pour le Mondial de l’Auto en octobre 2026

Grâce à cette réussite, les organisateurs fixent déjà rendez-vous aux passionnés pour 2026, quasiment à la même période, c’est-à-dire mi-octobre. Afin de continuer sur cette lancée prometteuse, ils prévoient d’engager à nouveau des discussions avec les constructeurs et les acteurs principaux du secteur pour perfectionner leur approche.

Déroulement de la course

Initialement 6e avant son arrêt au stand, le pilote d’Alpine a vu ses espoirs contrariés par un arrêt prolongé de 6,9 secondes, bien trop long pour rester compétitif. Cette lenteur l’a forcé à revenir en piste en arrière-plan dans le classement. Mais ce n’était pas la seule embûche. En effet, lors d’une manœuvre pour dépasser la Williams d’Alex Albon, Gasly a dépassé les limites de la piste. Cette erreur lui a coûté cher, puisque les commissaires de course lui ont infligé une pénalité de 5 secondes.

Réaction de Pierre Gasly

En s’exprimant au micro de Canal+, Pierre Gasly n’a pas caché sa déception :

« Ce n’était pas satisfaisant. Nous avons réalisé une qualification très prometteuse, mais aujourd’hui, nous étions vraiment trop lents, car tout a été imprécis à divers niveaux. Il est impératif de travailler et de nous améliorer collectivement pour les courses à venir… Nous n’avons pas du tout exploité pleinement le potentiel de la voiture. Nous nous sommes arrêtés tôt, avons opté pour des pneus durs que nous n’avons pas réussi à mettre en température, ce qui nous a rendus lents. Il y a bien trop de facteurs qui ont manqué pour que nous puissions nous battre, et c’est regrettable puisque nous avions effectué un bon départ. Par la suite, notre position a été rapidement perdue. Nous nous sommes retrouvés pris dans le trafic, et il y a de nombreux aspects où nous n’avons pas été suffisamment performants. »

Crédit photo : Alpine

Pour Lewis Hamilton, le week-end de compétition aux États-Unis a tourné au cauchemar. Après une séance de qualifications désastreuse le samedi, le pilote de l’écurie Mercedes a commis une erreur au deuxième tour de la course, terminant sa course dans le gravier. Voici sa réaction au micro de Canal+ suite à son retrait de la course.

Malgré un départ bien mal engagé, la course de Lewis Hamilton avait pourtant démarré sous de meilleurs augures. Parti de la 17e position sur la grille, il a réussi une belle remontée jusqu’à la 12e place au terme du premier tour. Ce départ très encourageant laissait espérer qu’il pourrait figurer parmi les pilotes marquant des points importants, particulièrement en observant la performance de son coéquipier, George Russell. Russell, pourtant parti depuis la voie des stands, a conclu la course à la 6e position.

« La monoplace a eu un comportement très étrange durant tout le week-end. C’est inexplicable. Je suis parti en tête-à-queue lors des Essais Libres, une situation qui ne m’arrive jamais ou de manière particulièrement rare… Je n’étais même pas en train de pousser et soudainement, j’ai perdu le contrôle de l’arrière. Heureusement, il n’y a pas eu de dégâts à la voiture. Elle n’a pas percuté le mur. Cela ne représentera pas un coût important mais cela signifie que nous avons manqué des opportunités de points ».

Crédit photo : Mercedes

Troisième sur le circuit mais relégué à la quatrième place suite à une pénalité de cinq secondes liée à un dépassement hors des limites de piste sur Max Verstappen, Lando Norris voit son avance diminuer face à son compétiteur pour le titre mondial. Dans un entretien accordé à nos confrères de Canal+ après le Grand Prix, il a exprimé son incompréhension vis-à-vis de cette sanction.

Après l’épreuve, en zone mixte, Lando Norris a exprimé ses doutes concernant la pénalité infligée par les commissaires suite à son engagement vigoureux contre Max Verstappen. Ce duel intense pour la troisième position s’est soldé par une défaite pour le pilote de McLaren, qui a vu son rival de Red Bull récupérer la position et prendre quelques points d’avance au classement du championnat :

« Verstappen m’a poussé en dehors des limites. J’étais en tête durant la phase de freinage et jusqu’à l’entrée du virage, mais finalement nous sommes tous deux sortis de la piste. Nous nous sommes laissés de l’espace mutuellement… C’est une décision qui me semble quelque peu incohérente. »

Crédit photo : Getty Images / Red Bull Pool Content

Un doublé historique pour Ferrari aux États-Unis

La Scuderia Ferrari n’avait pas réussi un doublé en terre américaine depuis 18 ans, mais cela a changé ce 20 octobre. Cette victoire est cruciale pour Charles Leclerc, qui ne perd pas de vue son objectif ultime : remporter le championnat mondial des constructeurs. Il reste encore cinq Grands Prix au programme.

« Je ressens beaucoup de satisfaction. Le week-end n’a pas été de tout repos. J’ai eu quelques difficultés avec le véhicule, mais les sensations étaient améliorées aujourd’hui. Après la course sprint, nous avons eu quelques inquiétudes. Un doublé dans ces conditions est un rêve devenu réalité« .

Analyse de son départ

« C’était précisément ma stratégie de départ. Mon départ a été exceptionnel. Je savais que le premier virage serait très disputé et j’ai su en tirer profit. Le rythme de notre voiture était extrêmement bon. Je remercie profondément nos ingénieurs qui ont fait un travail remarquable ces derniers mois en améliorant la voiture. Chaque membre de l’équipe réalise un travail formidable ».

Objectifs pour la fin de saison

« Nous avons toujours pour objectif de décrocher le titre de champion des constructeurs, et cette victoire donne le ton pour cette série de trois Grands Prix à venir ».

Crédit photo : Scuderia Ferrari

Partant de la troisième position sur la grille, Carlos Sainz termine ce Grand Prix des États-Unis de F1 en seconde place, derrière son collègue de l’écurie Charles Leclerc. Voici sa réaction à chaud, recueillie par Jenson Button pour la Formule 1.

Retour sur le Podium pour Carlos Sainz

À Austin, Carlos Sainz atteint enfin le podium après une série de huit courses sans succès. En finissant deuxième lors de la course sprint du samedi, il réitère cette performance dimanche sur le circuit principal. Ce résultat apporte à la Scuderia Ferrari un doublé crucial pour leur position dans le championnat des constructeurs :

« Bravo à toute l’équipe et félicitations à Charles pour ce fantastique résultat. C’est précisément ce que nous espérions pour le championnat des constructeurs, et je suis vraiment content pour Ferrari. Je savais que le départ allait être décisif. J’ai éprouvé des difficultés au premier virage en voulant doubler Verstappen. Heureusement, Charles a pris l’avantage en tête. Notre performance durant tout le week-end a été rapide. Ce qui fait la force de notre voiture cette année, c’est sa capacité à gérer les pneus sur de longues périodes en course. Cette caractéristique a grandement facilité notre tâche. Dans le passé, nous étions souvent sur la défensive pour ne pas perdre de positions pendant la course. Cette année, c’est tout l’inverse, nous pouvons être offensifs, nous pouvons dépasser. J’espère que cette dynamique se poursuivra jusqu’à la fin de la saison. »

Perspectives pour Ferrari

Cet excellent résultat donne un nouvel élan à Ferrari dans sa quête de succès au championnat des constructeurs. Toute l’équipe espère maintenir cette dynamique gagnante pour les prochaines courses de la saison. Sainz et Leclerc montrent ainsi que leur collaboration et leur compétitivité représentent un atout majeur pour l’écurie italienne.

De ce fait, Max Verstappen quitte le Texas en empochant 15 points pour sa troisième place, consolidant ainsi son avance sur Lando Norris au classement du championnat du monde des pilotes. Il a exprimé ses impressions au micro de la Formule 1 peu après avoir franchi la ligne d’arrivée.

« Je manquais un peu de rythme pour attaquer. La situation était différente par rapport à hier (note de la rédaction : durant la course sprint). J’ai eu des difficultés avec les freins, ce qui compliquait la défense (contre Lando Norris pour la troisième place). Je ne pouvais pas freiner aussi tard que je l’aurais voulu. C’était un duel ardu, j’ai tout fait pour garder Norris derrière moi. Finalement, finir sur le podium reste un bon résultat. »

À propos du dépassement de Lando Norris :

« J’ai une opinion sur l’incident, mais je préfère la garder pour moi. Je fais confiance aux commissaires pour gérer la situation. Cet événement nous a permis d’acquérir beaucoup d’expérience. »

Crédit photo : Getty Images / Red Bull Pool Content

Une manœuvre pleine d’intensité

Le dépassement a été marqué par une intensité indéniable, puisque Max Verstappen a forcé son adversaire à sortir des limites autorisées du circuit. Cet événement s’est produit durant le 52e tour de la course. Du côté de l’équipe Red Bull, les actions nécessaires ont été mises en œuvre pour faire remonter cet incident aux officiels. La stratégie adoptée s’est révélée fructueuse, car Lando Norris s’est vu infliger une pénalité de cinq secondes, ce qui a permis à Max Verstappen de reprendre sa place en troisième position.

Parti en 4e position sur la grille, Charles Leclerc a réussi une course impeccable en s’imposant tranquillement au Grand Prix des États-Unis, en particulier grâce à un départ extrêmement rapide.

Derrière, Max Verstappen fait de son mieux pour limiter les dégâts. Relégué à la 4e place par Lando Norris, le pilote néerlandais parvient à récupérer une place sur le podium à la faveur d’une pénalité de 5 secondes infligée en raison d’un dépassement controversé.

Les spectateurs ont pu assister à une superbe prestation de George Russell. Le pilote de chez Mercedes a dû partir de la voie des stands suite à son accident lors des qualifications du samedi. Il termine à la 6e position. Belle course également de Nico Hulkenberg. Le pilote Haas finit à la 8e place. Enfin, il convient de saluer la performance de Franco Colapinto à bord de sa Williams qui réussit à accrocher la 10e place et marque ainsi un point.

Côté Red Bull, on observe avec attention le duel à distance entre Liam Lawson, qui démarrait en dernière position pour finir à la 9e place, et Sergio Perez qui ne fait pas mieux qu’un 7e rang. En effet, Lawson est pressenti pour remplacer Perez chez Red Bull dès 2025.

La déception frappe Pierre Gasly. Le Français ne parvient pas à faire mieux qu’une 12e place en course. Quant à Esteban Ocon, il termine à une obscure 18e place, bien qu’il parvienne à signer le meilleur tour en course.

Les résultats du Grand Prix des États-Unis de Formule 1

1. Charles Leclerc – Scuderia Ferrari
2. Carlos Sainz – Scuderia Ferrari
3. Max Verstappen – Red Bull
4. Lando Norris – McLaren
5. Oscar Piastri – McLaren
6. George Russell – Mercedes
7. Sergio Perez – Red Bull
8. Nico Hulkenberg – Haas
9. Liam Lawson – Racing Bulls
10. Franco Colapinto – Williams
11. Kevin Magnussen – Haas
12. Pierre Gasly – Alpine
13. Fernando Alonso – Aston Martin
14. Yuki Tsunoda – Racing Bulls
15. Lance Stroll – Aston Martin
16. Alex Albon – Williams
17. Valtteri Bottas – Sauber
18. Esteban Ocon – Alpine
19. Guanyu Zhou – Sauber

Abandons

 »C’est vraiment prometteur »

7e position sur la grille pour Pierre Gasly, qui bénéficie d’améliorations sur son Alpine ce week-end #USGP #F1 pic.twitter.com/KafBcIKoix

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« Nous avons essayé d’approfondir notre compréhension de la voiture grâce à la course sprint. Nous avons procédé à de nombreux ajustements en termes de réglages et je dois admettre que c’était nettement amélioré. Dès la Q1, je me sentais beaucoup plus à l’aise et j’ai pu enchaîner plusieurs tours solides. La conduite de la voiture était bien plus agréable, j’avais un contrôle beaucoup plus affirmé, donc c’est vraiment prometteur. En 7e position sur la grille, nous sommes derrière les quatre voitures les plus rapides, mais même les écarts avec Russell et Piastri sont minimes. Nous saisissons chaque opportunité qui se présente à nous. Dimanche, il nous faudra confirmer ce bon résultat et tenter de décrocher des points ».

Crédit photo : Alpine

Après une quatrième place lors des qualifications sprint du vendredi, Lando Norris décroche sa septième position de tête en Formule 1, sa quatrième en seulement cinq courses. Cela marque un début de week-end où il admet ne pas avoir été à son meilleur. Voici sa réaction en direct au micro de la F1.

Dans sa rivalité avec Max Verstappen pour le titre des pilotes, Lando Norris met tout en œuvre. Le pilote phare de McLaren obtient sa sixième pole position de la saison par un coup de chance, puisque Max Verstappen n’a pas pu terminer sa deuxième tentative de chrono en Q3, à cause de la sortie de piste de George Russell en fin de session.

« C’était un tour vraiment extraordinaire. Je ne pouvais pas aller plus vite. Quand on réalise un tour comme ça, on sait que ce sera difficile de faire mieux. J’ai mis tout ce que j’avais en jeu. Depuis le début du week-end, je me sentais un peu en retrait face aux Red Bull et aux Ferrari, alors j’ai dû réagir et c’est ce que j’ai réussi à faire avec ce superbe tour. C’est une façon idéale de démarrer la course« .

L’ACCIDENT DE GEORGE RUSSELL

Le drapeau jaune causé par Russell met un terme à la séance de qualifications, le pilote est indemne #USGP #F1 pic.twitter.com/7Qvxs8VVCE

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Crédit photo : Getty Images / Red Bull Content Pool

Carlos Sainz a réussi à se positionner pour partir depuis la troisième ligne lors de la course de Formule 1 qui se déroulera dimanche à 21h aux États-Unis. Le pilote espagnol, qui court pour la Scuderia Ferrari, a exprimé sa satisfaction en déclarant au micro de la Formule 1 qu’il s’agissait d’un « progrès notable ».

Visant clairement une place sur le podium, Carlos Sainz espère jouer un rôle majeur dans la compétition sur le célèbre circuit des Amériques. Alors qu’il prévoit de faire ses débuts avec l’équipe Williams en 2025, il aspire à rivaliser pour la victoire face aux compétiteurs redoutables que sont Max Verstappen et Lando Norris.

Une progression remarquable lors des qualifications

« L’objectif était d’améliorer nos performances lors des qualifications en comparaison avec la journée de vendredi. Initialement cinquièmes lors de ces qualifications, nous avons réussi à monter à la troisième place aujourd’hui, ce qui représente une avancée significative dans la bonne direction. Je ressens une légère déception concernant mon dernier tour, car je pense qu’il y avait un potentiel pour mieux faire. Il reste toujours une part d’anticipation avec deux virages à passer, et c’est facile de le dire maintenant. Quoi qu’il en soit, nous avons enregistré de belles progressions et devrions rester dans la course dimanche à condition de prendre un bon départ. »

Photo : Scuderia Ferrari

Max Verstappen, au volant de sa Red Bull, prendra place en première ligne pour le Grand Prix des États-Unis de Formule 1 qui débutera dimanche à 21h, heure française. Le pilote néerlandais a réalisé la deuxième meilleure performance, juste derrière Lando Norris, et affiche une grande confiance quant aux résultats de la course.

Pendant les qualifications, Max Verstappen se battait ardemment pour atteindre la pole position. Cependant, sa seconde chance de dépasser ses adversaires a été interrompue par la sortie de piste de George Russell à la fin de la Q3. Cette mésaventure lui a probablement coûté une place en pole qui aurait fait suite à sa réussite en qualifications sprint vendredi dernier. Néanmoins, Verstappen reste très confiant quant aux performances de sa voiture :

« J’ai perdu un peu de temps lors de mon premier tour en Q3. C’est regrettable. Je savais qu’une seconde tentative allait suivre, mais je n’ai pas pu finir mon tour. Ce sont des choses qui arrivent, mais nous sommes en première ligne et il y avait un bon potentiel (NDLR : pour décrocher la pole)… Nous avons fait quelques ajustements mineurs sur la voiture, et ces changements ont bien fonctionné. Je reste positif pour la journée de demain ».

L’ACCIDENT DE GEORGE RUSSELL

Le drapeau jaune déclenché par Russell a mis un terme aux qualifications, mais le pilote est indemne #USGP #F1 pic.twitter.com/7Qvxs8VVCE

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Crédit photo : Getty Images / Red Bull Content Pool

La bataille pour la pole position entre Max Verstappen et Lando Norris a été abrégée en raison d’une sortie de piste de George Russell à la fin de la Q3. Le pilote britannique décroche ainsi sa septième pole position dans la catégorie reine du sport automobile, préparant le terrain pour un nouvel affrontement avec le triple champion du monde.

En deuxième ligne, les Ferrari de Sainz et Leclerc s’alignent, tandis que Russell prend la sixième position. Il sera accompagné de l’Alpine de Pierre Gasly sur la troisième ligne. Cette performance est particulièrement remarquable pour l’équipe française au vu de la saison difficile qu’elle traverse. Pour Sergio Perez, la situation ne s’améliore guère puisqu’il débutera à la dixième position, au moment où son avenir pour 2025 est loin d’être assuré.

La composition de la grille

1. Lando Norris – McLaren
2. Max Verstappen – Red Bull
3. Carlos Sainz – Scuderia Ferrari
4. Charles Leclerc – Scuderia Ferrari
5. Oscar Piastri – McLaren
6. George Russell – Mercedes
7. Pierre Gasly – Alpine
8. Fernando Alonso – Aston Martin
9. Kevin Magnussen – Haas
10. Sergio Perez – Red Bull
11. Yuki Tsunoda – Racing Bulls
12. Nico Hulkenberg – Haas
13. Esteban Ocon – Alpine
14. Lance Stroll – Aston Martin
15. Alex Albon – Williams
16. Franco Colapinto – Williams
17. Valtteri Bottas – Sauber
18. Lewis Hamilton – Mercedes
19. Guanyu Zhou – Sauber
20. Liam Lawson – Racing Bulls

Source de l’image : Getty Images / Red Bull Content Pool

Se classant 19e lors des qualifications, c’est une rare occurrence dans la carrière de Hamilton, la cinquième fois seulement qu’il part aussi loin. Il attribue sa position à un problème mécanique persistant avec sa voiture qui n’a pas été résolu.

 »Un souci mécanique persiste dans la voiture »

Une journée compliquée pour Lewis Hamilton, qui envisage même de s’élancer depuis la voie des stands pour la course de dimanche… #USGP #F1 pic.twitter.com/K6AQnya14D

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« Cette journée a été difficile pour nous. Dès le tour de chauffe, nous avons rencontré un problème de transmission. L’équipe a tenté de l’ajuster, mais je ne comprends toujours pas ce qui cloche avec cette voiture, elle ne fonctionne pas correctement… J’ai hâte que ce week-end se termine pour repartir sur une nouvelle course. Il n’y a pas de grands espoirs pour la course de demain. Je vais faire de mon mieux pour remonter, mais avec le comportement actuel de la voiture, cela semble compliqué. Je vais peut-être suggérer à l’équipe de partir depuis la voie des stands pour diagnostiquer ce problème. »

LEWIS HAMILTON ÉLIMINÉ DÈS LA Q1

Un coup dur pour le champion britannique qui s’élancera du fond de la grille aux côtés des pilotes des écuries Williams et Sauber #USGP #F1 pic.twitter.com/HrMHTSfxaF

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Photo : Mercedes

Pierre Gasly a maintenu son rythme prometteur de la Q1 en obtenant le 8e meilleur temps de la Q2 lors de ce Grand Prix des États-Unis de F1. Son coéquipier, Esteban Ocon, partira 13e lors de la course de dimanche soir. Les deux pilotes des Racing Bulls n’ont pas réussi à franchir l’étape de la Q2, tout comme les deux coureurs d’Aston Martin.

Une voiture Haas a réussi à atteindre la Q3, celle pilotée par Kevin Magnussen. Pour la pole position, nous assisterons à une lutte entre Max Verstappen, Lando Norris et probablement une Ferrari, étant donné que Charles Leclerc a terminé 4e pour cette Q2 et Carlos Sainz a obtenu la 2e place.

Les 5 pilotes éliminés en Q2

ÉLIMINÉS EN Q2

Tsunoda
Hulkenberg
Ocon
Stroll
Lawson (aucun temps enregistré)#F1 #USGP pic.twitter.com/Mer1oNSqEw

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Les 10 pilotes qualifiés pour la Q3

1. Max Verstappen – Red Bull
2. Carlos Sainz – Scuderia Ferrari
3. Lando Norris – McLaren
4. Charles Leclerc – Scuderia Ferrari
5. Sergio Perez – Red Bull
6. Oscar Piastri – McLaren
7. George Russell – Mercedes
8. Pierre Gasly – Alpine
9. Fernando Alonso – Aston Martin
10. Kevin Magnussen – Haas

Pierre Gasly dans le top 10 des qualifications

Les pilotes VCARB, Nico Hülkenberg, Esteban Ocon et Lance Stroll sont éliminés en Q2 !#USGP #F1 pic.twitter.com/zctFdkC4Po

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Crédit photo : LAT Images

La surprise est à son comble après les 18 minutes de la première session de qualifications ce samedi soir : Lewis Hamilton ne réussit pas à passer en Q2 ! Il prendra le départ en 19e position dimanche soir à 21h, heure française, lors de la course du Grand Prix des États-Unis. C’est seulement la cinquième occurrence dans sa carrière qu’il s’élancera de cette position !

LEWIS HAMILTON ÉLIMINÉ DÈS LA Q1

Grande déception pour le pilote britannique, qui partira avec les Williams et Sauber depuis l’arrière de la grille #USGP #F1 pic.twitter.com/HrMHTSfxaF

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Du côté positif, Pierre Gasly se distingue en réalisant un excellent cinquième temps durant la Q1. Les espoirs sont permis pour qu’il continue sur cette lancée en Q2 et Q3. Autre moment fort : Liam Lawson parvient à se positionner en troisième position avec sa Racing Bulls.

Les 5 conducteurs qui quittent la compétition après la Q1

ÉLIMINÉS EN Q1

Albon
Colapinto
Bottas
Hamilton
Zhou#F1 #USGP pic.twitter.com/wIZzwvNVY5

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Les 15 pilotes qui passent à la Q2

1. Max Verstappen – Red Bull
2. Charles Leclerc – Scuderia Ferrari
3. Liam Lawson – Racing Bulls
4. George Russell – Mercedes
5. Pierre Gasly – Alpine
6. Carlos Sainz – Scuderia Ferrari
7. Kevin Magnussen – Haas
8. Nico Hulkenberg – Haas
9. Sergio Perez – Red Bull
10. Lando Norris – McLaren
11. Yuki Tsunoda – Racing Bulls
12. Oscar Piastri – McLaren
13. Fernando Alonso – Aston Martin
14. Esteban Ocon – Alpine
15. Lance Stroll – Aston Martin

CLASSIFICATION DE LA Q1

Liam Lawson commence sur les chapeaux de roues ! P3 #F1 #USGP pic.twitter.com/0e6FlkvllW

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Crédit photo : Alpine

Occupant la 6^e position à l’issue de la course sprint, Lewis Hamilton avait espéré de meilleurs résultats pour ce quatrième sprint de la saison 2024. Il reste néanmoins optimiste pour les qualifications qui auront lieu plus tard dans la journée :

« Je m’attendais à une belle performance aujourd’hui, mais ça s’est révélé être un vrai désastre. Nous allons procéder à quelques ajustements pour les qualifications, en tenant compte de l’augmentation des températures. Nous verrons bien ce que cela donnera. »

 »Un petit désastre »

Les Mercedes ont rencontré des difficultés lors de la course, avec Lewis Hamilton finissant à la 6e place derrière son partenaire d’équipe #USGP #F1 pic.twitter.com/PfM0McElBz

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Les résultats du sprint

1. Max Verstappen – Red Bull – 8 points
2. Carlos Sainz – Scuderia Ferrari – 7 points
3. Lando Norris – McLaren – 6 points
4. Charles Leclerc – Scuderia Ferrari – 5 points
5. George Russell – Mercedes – 4 points
6. Lewis Hamilton – Mercedes – 3 points
7. Kevin Magnussen – Haas – 2 points
8. Nico Hulkenberg – Haas – 1 point
9. Sergio Perez – Red Bull
10. Oscar Piastri – McLaren
11. Yuki Tsunoda – Racing Bulls
12. Franco Colapinto – Williams
13. Lance Stroll – Aston Martin
14. Pierre Gasly – Alpine
15. Esteban Ocon – Alpine
16. Liam Lawson – Racing Bulls
17. Alex Albon – Williams
18. Fernando Alonso – Aston Martin
19. Valtteri Bottas – Sauber
20. Guanyu Zhou – Sauber

Photo : Mercedes.

Pierre Gasly affirme qu’Alpine évolue dans un créneau occupé entre la 10^e et la 15^e place. C’est ce qui ressort de sa déclaration après la course sprint. Il admet également que beaucoup reste à accomplir pour faire progresser Alpine dans le classement :

« Nous avons tenté de recueillir toutes les informations possibles. Nous sommes partis avec des pneus médium ayant déjà un tour des qualifications sprint, dans le but de préserver des pneus pour la course principale. Nous ne sommes pas très loin de ceux qui sont devant nous. Toutefois, il nous manque encore quelque chose, et je pense que notre niveau de performance actuel reflète notre position réelle aujourd’hui ».

 »Il nous en manque encore »

Pierre Gasly analyse sa course sprint, terminant à la 14^e place devant son coéquipier #USGP #F1 pic.twitter.com/6eVeuRx3w9

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Résultats de la course sprint

1. Max Verstappen – Red Bull – 8 points
2. Carlos Sainz – Scuderia Ferrari – 7 points
3. Lando Norris – McLaren – 6 points
4. Charles Leclerc – Scuderia Ferrari – 5 points
5. George Russell – Mercedes – 4 points
6. Lewis Hamilton – Mercedes – 3 points
7. Kevin Magnussen – Haas – 2 points
8. Nico Hulkenberg – Haas – 1 point
9. Sergio Perez – Red Bull
10. Oscar Piastri – McLaren
11. Yuki Tsunoda – Racing Bulls
12. Franco Colapinto – Williams
13. Lance Stroll – Aston Martin
14. Pierre Gasly – Alpine
15. Esteban Ocon – Alpine
16. Liam Lawson – Racing Bulls
17. Alex Albon – Williams
18. Fernando Alonso – Aston Martin
19. Valtteri Bottas – Sauber
20. Guanyu Zhou – Sauber

Il était difficile d’espérer de grandes choses d’Alpine lors de ce Grand Prix des États-Unis, une prévision qui s’est concrétisée durant cette course sprint. Esteban Ocon finit en 15ème position, juste derrière son coéquipier Pierre Gasly. En raison des limitations de sa voiture sans mises à jour, il s’efforce de voir le côté positif. Il exprime sa détermination face à nos confrères en espérant améliorer sa monoplace pour se préparer aux qualifications prévues le samedi soir (dès minuit en France).

« Je suis assez satisfait de ma course sprint même si le week-end s’annonçait complexe avec l’ancienne voiture. Le rythme était plutôt impressionnant et assez bon. Nous devons examiner les améliorations possibles pour les qualifications. J’ai effectué quelques dépassements intéressants. J’étais dans la compétition avec les autres, donc il est essentiel de continuer à progresser avec la voiture pour cet après-midi et essayer de partir plus près. Ce sera un défi, mais nous ferons de notre mieux. »

 »Le rythme était surprenant »

+2 places pour Esteban Ocon lors de cette course Sprint, agréablement surpris par la performance de son Alpine #USGP #F1 pic.twitter.com/1xhzV6V3Eh

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Résultats de la course sprint

1. Max Verstappen – Red Bull – 8 points
2. Carlos Sainz – Scuderia Ferrari – 7 points
3. Lando Norris – McLaren – 6 points
4. Charles Leclerc – Scuderia Ferrari – 5 points
5. George Russell – Mercedes – 4 points
6. Lewis Hamilton – Mercedes – 3 points
7. Kevin Magnussen – Haas – 2 points
8. Nico Hulkenberg – Haas – 1 point
9. Sergio Perez – Red Bull
10. Oscar Piastri – McLaren
11. Yuki Tsunoda – Racing Bulls
12. Franco Colapinto – Williams
13. Lance Stroll – Aston Martin
14. Pierre Gasly – Alpine
15. Esteban Ocon – Alpine
16. Liam Lawson – Racing Bulls
17. Alex Albon – Williams
18. Fernando Alonso – Aston Martin
19. Valtteri Bottas – Sauber
20. Guanyu Zhou – Sauber

Crédit photo : Alpine

Ce samedi à Austin, Max Verstappen a impressionné en remportant facilement la course de sprint, affichant un sourire radieux après une longue période sans victoire en Grand Prix. Néanmoins, il reste vigilant face aux performances des Ferrari, avec Carlos Sainz terminant 2e et Charles Leclerc 4e. Une autre source de satisfaction pour le champion de Red Bull est le fait qu’il a grappillé deux points à Lando Norris dans la quête d’un quatrième titre mondial.

« Ce n’était pas si mal ! Cela évoque les beaux jours passés. Je suis très satisfait de notre course aujourd’hui. En regardant l’ensemble de l’épreuve, on constate que Ferrari a aussi affiché une grande efficacité et rapidité. Nous avons pu nous concentrer sur notre rythme et cela a porté ses fruits. Les week-ends de sprint ajoutent toujours une complexité supplémentaire pour ajuster la voiture, mais elle a rapidement atteint une bonne zone de performance. Il y a plus de pression pour offrir une bonne prestation, mais au final, nous avons bien réussi. »

Résultats de la course de sprint

1. Max Verstappen – Red Bull – 8 points
2. Carlos Sainz – Scuderia Ferrari – 7 points
3. Lando Norris – McLaren – 6 points
4. Charles Leclerc – Scuderia Ferrari – 5 points
5. George Russell – Mercedes – 4 points
6. Lewis Hamilton – Mercedes – 3 points
7. Kevin Magnussen – Haas – 2 points
8. Nico Hulkenberg – Haas – 1 point
9. Sergio Perez – Red Bull
10. Oscar Piastri – McLaren
11. Yuki Tsunoda – Racing Bulls
12. Franco Colapinto – Williams
13. Lance Stroll – Aston Martin
14. Pierre Gasly – Alpine
15. Esteban Ocon – Alpine
16. Liam Lawson – Racing Bulls
17. Alex Albon – Williams
18. Fernando Alonso – Aston Martin
19. Valtteri Bottas – Sauber
20. Guanyu Zhou – Sauber

En s’élançant de la cinquième position sur la grille, Carlos Sainz réussit une remarquable montée jusqu’à la deuxième place ce samedi, en surpassant George Russell, son coéquipier Charles Leclerc, ainsi que Lando Norris dans le dernier tour. Il était donc très satisfait au terme de la course :

« Les combats étaient plaisants (NDLR : avec Charles Leclerc puis Lando Norris). Si toutes les courses sprint étaient comme ça, elles seraient toujours agréables à vivre. Les premiers tours ont été intenses et à la fin, je commençais à avoir des difficultés avec mes pneus, mais Lando (Norris) en avait aussi, ce qui m’a permis de le rattraper au niveau de la zone de DRS, me donnant ainsi la chance de terminer deuxième. Mon dépassement sur Lando au premier virage était superbe… Nous n’avons pas vraiment géré les pneumatiques. Avec autant de duels, il était difficile de se concentrer sur la conservation des gommes, mais malgré tout, le rythme est resté bon et cela augure bien pour dimanche. Nous sommes conscients qu’en qualifications, notre monoplace n’est pas encore dans la configuration optimale, mais nous allons essayer d’en extraire le maximum. »

Son dépassement décisif sur Lando Norris dans le dernier tour

L’ERREUR DE LANDO NORRIS

Carlos Sainz arrache la P2 au pilote McLaren dans le dernier tour !#USGP #F1 pic.twitter.com/3qqkUQ4jPW

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Son dépassement sur George Russell

3e place pour Carlos Sainz

En panne avec ses pneus, George Russell se fait doubler par les deux pilotes Ferrari #USGP #F1 pic.twitter.com/QLv60AG7MO

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Le classement de la course sprint

1. Max Verstappen – Red Bull – 8 points
2. Carlos Sainz – Scuderia Ferrari – 7 points
3. Lando Norris – McLaren – 6 points
4. Charles Leclerc – Scuderia Ferrari – 5 points
5. George Russell – Mercedes – 4 points
6. Lewis Hamilton – Mercedes – 3 points
7. Kevin Magnussen – Haas – 2 points
8. Nico Hulkenberg – Haas – 1 point
9. Sergio Perez – Red Bull
10. Oscar Piastri – McLaren
11. Yuki Tsunoda – Racing Bulls
12. Franco Colapinto – Williams
13. Lance Stroll – Aston Martin
14. Pierre Gasly – Alpine
15. Esteban Ocon – Alpine
16. Liam Lawson – Racing Bulls
17. Alex Albon – Williams
18. Fernando Alonso – Aston Martin
19. Valtteri Bottas – Sauber
20. Guanyu Zhou – Sauber

Partant de la quatrième place, Lando Norris parvient à s’emparer de la deuxième position à la fin du premier tour, se plaçant juste derrière Max Verstappen. Il reste le dauphin du champion de Red Bull jusqu’au moment où, dans le dernier et 19e tour, ses pneus se bloquent, obligeant Norris à céder la place à Carlos Sainz de la Scuderia Ferrari, et à se contenter de la troisième place. Toutefois, cela ne l’empêche pas d’être content de sa performance :

« C’était une belle course. Je suis assez satisfait du déroulement. La course a été ardue. J’aurais préféré terminer second, mais Carlos (Sainz) a excellemment bien conduit. Mes pneus avant étaient complètement usés. Je n’avais plus beaucoup de marge de manœuvre. Je savais que je perdrais cette place face à Carlos, et bien que ce soit décevant, je suis heureux avec le résultat final et ces points sont précieux… J’ai réalisé un bon départ. J’ai tout donné au premier virage. Nous avions un bon rythme par rapport à Max (Verstappen), par rapport aux Ferrari, et je suis content de finir 3e. »

L’excellent départ de Lando Norris

LE DÉMARRAGE DE LA COURSE SPRINT

Départ foudroyant de Lando Norris, le voilà déjà en 2e position ! #USGP #F1 pic.twitter.com/oKUf65FMU1

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Le blocage de pneus de Norris au 19e tour

L’ERREUR DE LANDO NORRIS

Carlos Sainz prend la P2 à Norris dans le dernier tour ! #USGP #F1 pic.twitter.com/3qqkUQ4jPW

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Le résultat de la course sprint

1. Max Verstappen – Red Bull – 8 points
2. Carlos Sainz – Scuderia Ferrari – 7 points
3. Lando Norris – McLaren – 6 points
4. Charles Leclerc – Scuderia Ferrari – 5 points
5. George Russell – Mercedes – 4 points
6. Lewis Hamilton – Mercedes – 3 points
7. Kevin Magnussen – Haas – 2 points
8. Nico Hulkenberg – Haas – 1 point
9. Sergio Perez – Red Bull
10. Oscar Piastri – McLaren
11. Yuki Tsunoda – Racing Bulls
12. Franco Colapinto – Williams
13. Lance Stroll – Aston Martin
14. Pierre Gasly – Alpine
15. Esteban Ocon – Alpine
16. Liam Lawson – Racing Bulls
17. Alex Albon – Williams
18. Fernando Alonso – Aston Martin
19. Valtteri Bottas – Sauber
20. Guanyu Zhou – Sauber

Lando Norris a réalisé un départ fulgurant, passant de la quatrième à la deuxième place en l’espace de quelques centaines de mètres, surpassant ainsi George Russell et Charles Leclerc. Quant à Max Verstappen, il a pris un excellent départ dès le premier virage et a terminé le premier tour en tête avec un peu moins d’une seconde d’avance sur le pilote McLaren. De son côté, Nico Hulkenberg, qui s’était qualifié sixième, a complètement manqué son départ, cédant trois positions.

LE DÉPART DE LA COURSE SPRINT

Un départ exceptionnellement rapide de Lando Norris qui est déjà deuxième ! #USGP #F1 pic.twitter.com/oKUf65FMU1

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La composition de la grille pour la course sprint

1. Max Verstappen – Red Bull
2. George Russell – Mercedes
3. Charles Leclerc – Scuderia Ferrari
4. Lando Norris – McLaren
5. Carlos Sainz – Scuderia Ferrari
6. Nico Hulkenberg – Haas
7. Lewis Hamilton – Mercedes
8. Kevin Magnussen – Haas
9. Yuki Tsunoda – Racing Bulls
10. Franco Colapinto – Williams
11. Sergio Perez – Red Bull
12. Pierre Gasly – Alpine
13. Lance Stroll – Aston Martin
14. Liam Lawson – Racing Bulls
15. Fernando Alonso – Aston Martin
16. Oscar Piastri – McLaren
17. Esteban Ocon – Alpine
18. Alex Albon – Williams
19. Valtteri Bottas – Sauber
20. Guanyu Zhou – Sauber

Durant la pause automnale du calendrier de F1, faisant suite au Grand Prix de Singapour et précédant celui des États-Unis, l’équipe Racing Bulls a choisi de se passer de Daniel Ricciardo au profit de Liam Lawson. Ce dernier pilotera une voiture de l’écurie affiliée à Red Bull jusqu’à la fin de la saison. D’après les informations fournies par Canal+, diffuseur officiel du championnat en France, il se pourrait bien que Isack Hadjar, un jeune espoir de la F2 et membre de la prestigieuse académie Red Bull, réussisse à s’imposer pour obtenir un siège en F1 en 2025. C’est ce que Julien Fébreau a déclaré lors des Essais Libres du vendredi :

“Faire revenir Liam Lawson dans les Grands Prix permet de le comparer à Yuki Tsunoda pour décider lequel des deux mérite d’épauler Max Verstappen chez Red Bull l’année prochaine. C’est là tout l’enjeu de cette fin de saison pour le groupe Red Bull : déterminer si le duo de pilotes pourrait être Max Verstappen – Liam Lawson… Dans le cas où Liam Lawson remplacerait Sergio Perez l’année prochaine, il se pourrait que Isack Hadjar soit titularisé chez Racing Bulls.”

Sergio Perez loin d’une retraite anticipée

L’éventualité d’un départ de Sergio Perez de l’équipe Red Bull n’est pas une idée nouvelle. Depuis plusieurs mois, ces rumeurs circulent. Pourtant, il est toujours en poste, bien que sa saison 2024 puisse être qualifiée de décevante. Actuellement 9e au classement des pilotes, il n’a remporté aucune victoire cette saison et n’est plus monté sur le podium depuis le Grand Prix de Chine en avril dernier.

Le cas de Sergio Perez est cependant au cœur d’une bataille interne intense entre Christian Horner et Helmut Marko. Ce dernier plaide en faveur de la promotion d’un pilote issu de l’académie Red Bull chez l’équipe principale.

Crédits photo : Getty Images / Red Bull Pool Content

Après la qualification rapide de vendredi soir, c’est au tour de la course sprint ce samedi sur le circuit des Amériques à Austin, dans le cadre du Grand Prix des États-Unis de Formule 1. Cette compétition sera suivie des qualifications qui décideront du placement des voitures pour la course principale de dimanche. Voici les détails à retenir concernant les horaires et où regarder ces événements importants.

La journée de samedi est sans doute la plus captivante de ce week-end de Grand Prix aux États-Unis, dans le Texas, en raison des enjeux présents dans les deux compétitions prévues.

À partir de 20 heures, horaire français, débutera la course sprint. Cette course se compose de 19 tours, et seuls les huit premiers pilotes recevront des points. Étant donné la rivalité pour le championnat entre Max Verstappen et Lando Norris, chaque position revêt une importance particulière.

Les qualifications auront lieu à partir de minuit, heure française. Ce rendez-vous est crucial car il détermine l’ordre de départ pour la course de dimanche, qui commencera à 21 heures, heure française.

Sur quelle chaîne télé peut-on suivre la course sprint et les qualifications ?

Il n’y a qu’une seule chaîne qui propose la diffusion de ces deux événements liés au Grand Prix des États-Unis de Formule 1 : Canal+ Sport.

La course sprint commence à 20 heures, mais Canal+ Sport anticipe avec une prise d’antenne dès 19h40 pour un avant-course. Ensuite, à partir de 23h40, également sur Canal+ Sport, préparez-vous pour les qualifications, qui démarrent à minuit.

C’est lors de l’introduction de la génération 996, souvent critiquée par les puristes pour ses phares avant non circulaires, que Porsche a donné naissance à la variante de course adaptée à la route avec la fameuse GT3. Présentée pour la première fois au Salon de Genève en mars 1999, l’originale GT3 célébrait ainsi une nouvelle ère pour le constructeur allemand. Un quart de siècle plus tard, la GT3 est toujours présente et, pour cette occasion spéciale, elle bénéficie de quelques ajustements affinés.

La GT3 Touring revient dès le départ

La Porsche 911 GT3 avait temporairement disparu des catalogues, laissant place à la radicale GT3 RS. Néanmoins, en réponse aux attentes des clients, Porsche a choisi de relancer la production en apportant quelques changements subtils. Parmi les nouveautés marquantes, la GT3 Touring (dépourvue d’aileron fixe pour maintenir une silhouette épurée) est lancée simultanément avec la version « classique » de la GT3. Une innovation notable est également l’option de sièges arrière sur la variante Touring, la positionnant comme la première GT3 à proposer une configuration 2+2. Pour ce faire, des sièges baquets repliables ont été développés, intégrant aussi la version standard de la GT3.

Ne gagne pas de poids, mais…

La GT3 standard continue de se distinguer des autres 911 par l’absence de sièges arrière permettant d’alléger le véhicule. Pour ceux qui souhaitent réduire davantage le poids, il existe une option « Weissach » pour la version standard et « Leichtbau » pour la Touring. Ces packs ajoutent la fibre de carbone renforcée (PFRC) dans plusieurs éléments comme la barre anti-roulis, le toit, et les poignées de portes, qui sont toutes disponibles dans cette matière. La GT3 classique peut également être équipée d’une cage de protection en PFRC. Dans la version Touring, on retrouve le levier de vitesse compact de la 911 S/T pour les modèles dotés de gearbox manuelles.

Face aux réglementations antipollution de plus en plus strictes, des catalyseurs supplémentaires ont dû être intégrés, augmentant légèrement le poids des nouvelles GT3 et GT3 Touring. Pour retrouver le poids d’environ 1 420 kg des anciennes versions, il est impératif de choisir les packs qui allègent le véhicule.

Des performances intactes

Le moteur 6-cylindres à plat reste fidèle à l’essence. Il conserve sa puissance de 510 chevaux, bien que le couple baisse légèrement à 450 Nm, soit 20 Nm de moins qu’auparavant. Pour contrer l’augmentation de poids, les rapports de boîte ont été raccourcis, cela vaut tant pour la PDK à 7 vitesses que pour la manuelle à 6 vitesses. En optimisant la configuration, le véhicule passe de 0 à 100 km/h en un impressionnant 3,4 secondes. Cependant, la vitesse maximale diminue un peu avec 311 km/h au lieu des 320 km/h précédemment atteints par l’ancienne GT3.

Pas de panique, avec ses performances, le plaisir de conduite est garanti. La réduction des rapports promet une voiture plus réactive, mais à vérifier si cela se traduit en praticabilité sur route, notamment en termes de confort.

C’est là que se trouvent les principales modifications pour cette itération 2025 de la GT3. Sur le plan esthétique, peu d’évolutions, justifiant notre peu d’attention à cet aspect. Néanmoins, la version Touring se distingue par un déflecteur arrière, augmentant l’appui aérodynamique et complétant l’aileron qui ne se déploie qu’à haute vitesse.

Disponibles à la commande d’ici la fin de l’année, les GT3 et GT3 Touring afficheront un prix de départ de 212 000 €, que ce soit pour la version mécanique ou PDK. Le tout hors supermalus. Selon les informations disponibles, les premières livraisons sont prévues pour le début de l’année prochaine.

Tel que cela était anticipé, le malus écologique s’appliquera pour l’es automobiles affichant des émissions de 113g de CO2 par kilomètre, contrairement au seuil précédent de 118g pour 2024. Par ailleurs, le malus maximal reste plafonné à 70 000€, à moins qu’il n’y ait des modifications ultérieures.

Pour l’année 2025, la nouveauté majeure réside dans le fait que les modèles hybrides seront aussi soumis à ce malus ! Les véhicules hybrides non rechargeables seront ainsi traités de la même manière que les véhicules thermiques traditionnels.

Néanmoins, il faudra patienter quelques semaines pour s’assurer que ce barème soit finalisé. Les députés entrent en effet dans une période de négociations serrées concernant le budget 2025, et d’éventuels ajustements pourraient être révoqués par le gouvernement si nécessaire.

Modifications prévues pour 2026 et 2027

Il est important de noter que certains changements ont déjà été déterminés pour les années 2026 et 2027. Cette planification vise à offrir au secteur automobile une visibilité accrue sur les réglementations futures.

Ainsi, bien que des modifications puissent encore survenir, en 2026, le seuil de déclenchement du malus écologique sera abaissé à 106 grammes de CO2 par kilomètre.

En ce qui concerne 2027, le seuil est pour l’instant fixé à 99 grammes, avec un malus maximal qui pourrait atteindre 90 000€.

Le barème 2025 du malus écologique

Source de l’image : Pixabay

Le dernier Mini Countryman a évolué à tel point qu’il ne se situe plus dans la même catégorie. Proche du BMW X1, il partage avec lui la même plateforme et appartient maintenant à la catégorie des SUV compacts. Avec la suppression du modèle Clubman, il existait un vide remarquable entre la petite Mini Cooper étriquée et le grand Countryman, désormais plus spacieux mais aussi plus imposant. L’Aceman, présenté au Salon de l’automobile de Pékin en avril dernier, comble cet écart à la perfection : une taille modérée associée à un espace intérieur suffisamment généreux.

Il manquait cependant dans la gamme de ce SUV entièrement électrique une option plus dynamique, adaptée aux amateurs de sensations fortes. Mini a choisi le salon de l’automobile de Paris pour présenter cette version. Voici un aperçu de cette nouvelle variante JCW.

Une apparence agressive

Comme pour la Mini Cooper JCW, l’Aceman JCW se démarque des autres versions classiques grâce à divers éléments qui lui confèrent une apparence plus racée. Les pare-chocs avant et arrière sont nettement plus imposants, le becquet sur le hayon aussi, avec des nervures sur le capot, des jantes de 19 pouces uniques et des étriers de frein rouges. Le toit Multitone adopte un dégradé de rouge et noir, tout cela contribue à souligner son caractère sportif.

L’intérieur ne fait pas exception. Le rouge sert à souligner le noir de façon fréquente. Par exemple, sur le tableau de bord, le drapeau à damier typique des modèles JCW est mis en valeur avec cette couleur, tout comme les coutures du volant. Les sièges, mélange de tissu et cuir, arborent également des surpiqûres rouges propres à ce modèle.

Plus de puissance, un tarif plus élevé

Il n’est pas surprenant que ce modèle affiche une puissance accrue par rapport à la version SE, qui était jusqu’alors le modèle phare de la gamme. Passant de 218 chevaux à 258 chevaux, il est à l’égal de la Mini Cooper JCW entièrement électrique. Le couple s’améliore également, atteignant 350 Nm, soit 20 Nm de plus que l’Aceman SE. Grâce à ces améliorations, le véhicule peut réaliser le 0 à 100 km/h en seulement 6,4 secondes, contre 7,1 secondes pour l’Aceman SE. La vitesse maximale a également été augmentée, passant à 200 km/h (170 km/h pour le modèle SE). Sensations fortes garanties.

Lors des dépassements, un mode Boost activable sur le volant permet un gain de 20 kW, soit l’équivalent d’un surcroît de 27 chevaux.

Les commandes seront ouvertes à la fin du mois. Aucune date de livraison exacte n’a été communiquée pour l’instant. En ce qui concerne les prix, il faudra prévoir un tarif conséquent de 45 450 €. Un bémol toutefois : étant fabriqué en Chine, ce modèle ne vous permet pas de bénéficier de l’aide gouvernementale qui s’élève actuellement à 4 000 € ou 7 000 € en fonction de votre revenu.  

Avec des modèles comme la Dolphin, l’Atto 3, la Seal U, la Han et la Tan, la jeune marque chinoise arrivée sur le marché européen il y a à peine deux ans, propose une gamme déjà bien étoffée. Conscient que les amateurs européens partagent l’enthousiasme des Américains pour les SUV, BYD n’hésite pas à élargir encore plus son offre. Aux trois SUV déjà disponibles – les Atto 3, Seal U et Tan – vient désormais s’ajouter le Sealion 7. Ce véhicule n’est pas une totale nouveauté, puisqu’il est déjà commercialisé en Chine depuis un an sous le nom de Sea Lion 7. Passons donc à sa présentation.

Une Inspiration Venue des Océans

Il est difficile de fournir un aperçu détaillé de ce modèle, car BYD reste avare d’informations le concernant. Néanmoins, comme beaucoup d’autres véhicules de la marque, le Sealion 7 est influencé par le monde marin. En effet, « sea lion » se traduit littéralement par « otarie » en français. Outre son appellation, cet intérêt pour l’univers marin se retrouve dans les lignes fluides et épurées du véhicule. Vue de face, la similitude avec la berline Seal est évidente, ce qui est logique puisqu’il s’agit d’une nouvelle déclinaison SUV de cette dernière. Contrairement à la Seal U, le Sea Lion 7 utilise la même plateforme que la berline, partageant une partie de son nom et de ses caractéristiques.

Le Sealion 7 est légèrement plus imposant que la Seal U, gagnant 4 cm en longueur. Avec ses 4,83 mètres, il dépasse de 8 cm le Tesla Model Y, déjà bien dimensionné dans sa catégorie. L’intérieur promet une bonne habitabilité, bien que cela reste à vérifier. La planche de bord tire son inspiration de la Seal, intégrant un écran rotatif géant qui continue d’impressionner.

Sur le plan esthétique, le Sealion 7 se démarque de la Seal U par un design moins traditionnel, se rapprochant davantage d’un crossover dérivé de la Seal. Ce modèle parvient à allier à la fois des éléments de SUV avec les protections des roues et le profil élancé d’une berline rehaussée, voire d’un SUV-coupé, avec un toit qui descend nettement vers l’arrière. Le Sealion 7 s’apparente ainsi à la Seal comme la Kia XCeed est à la Ceed.

Une Performance Électrique de Haute Volée

Quant aux aspects techniques, les détails sont encore rares. Ce que nous savons, c’est qu’en version à transmission intégrale, ce SUV pourra passer de 0 à 100 km/h en 5 secondes. De plus, sa capacité de charge atteindra 230 kW, promettant des recharges rapides. La batterie a une capacité de 91,3 kWh, ce qui est plutôt généreux. L’expertise de BYD en matière de véhicules électriques est indéniablement un atout.

En attendant d’en connaitre davantage, nous savons que ce modèle sera disponible dès cet automne. Il faudra donc encore un peu de patience pour découvrir tous les détails de ce nouveau SUV électrisant.

Ce recours collectif a été initié via la plateforme Riposte juridique. Deux avocats, Maîtres Rémy Philippot et Séverine Manna, se sont engagés dans cette démarche. Pour l’instant, d’après Me Philippot, une centaine d’utilisateurs du périphérique — qu’il s’agisse d’automobilistes ordinaires ou de professionnels comme les chauffeurs VTC, les livreurs, et les taxi — se sont déjà ralliés à cette cause.

Les avocats contestent l’absence d’étude d’impact

Selon la mairie de Paris, réduire la vitesse sur le périphérique a pour but d’améliorer la qualité de vie des 500 000 habitants vivant autour de cette voie. C’est un geste en faveur de la santé publique censé réduire le niveau sonore et la pollution atmosphérique.

Toutefois, pour Me Séverine Manna, ce raisonnement n’est pas convaincant. Elle affirme dans Le Parisien, un quotidien bien connu, à la date du vendredi 18 octobre :

« Une décision avec de telles conséquences devrait être justifiée. Or, aucune étude d’impact ne l’accompagne, en particulier sur le plan environnemental concernant la pollution”.

Donner la parole aux conducteurs

Les avocats soulèvent également un autre point de désaccord:

“L’arrêté municipal entraîne une question de juridiction : le périphérique touche plusieurs communes, il en découle donc des répercussions pour toute la région Île-de-France, et pas uniquement pour Paris ».

Les avocats souhaitent ainsi donner une voix forte aux conducteurs au sein du système judiciaire.

“Dans cette affaire, les préoccupations des utilisateurs ne sont pas vraiment prises en compte. Ils ont décidé de prendre les choses en main et de s’adresser au tribunal administratif”.

Dans leur démarche, les automobilistes et leurs avocats ont reçu des soutiens importants : celui de la Ligue de Défense des automobilistes ainsi que de la section parisienne de la Fédération Française des Motards en Colère.

Les avocats souhaitent désormais rassembler le plus grand nombre possible d’automobilistes pour soutenir ce recours légal. Il est cependant à noter que participer au recours implique une contribution financière de 12€. Le dossier sera officiellement présenté le 29 novembre.

Une tentative de fuite peu judicieuse

Au début du mois d’octobre, une équipe de gendarmerie opérant dans la communauté de communes de Saint-Renan avait demandé à un jeune conducteur de s’arrêter pour un contrôle. C’était durant la nuit du 4 au 5 octobre.

Malheureusement, comme cela arrive trop souvent de nos jours, le jeune homme a décidé de ne pas s’exécuter et a pris la fuite. Face à cette situation, les gendarmes ont été contraints d’utiliser un dispositif stop stick pour percer les pneus de l’automobile. Au final, impossible pour lui d’éviter l’inévitable : deux pneus crevés, il a continué sa route sur les jantes pendant 10 kilomètres. Persistant, ce conducteur.

Les conséquences de la fuite

Sa tentative de s’échapper a évidemment échoué, et il a été rapidement appréhendé. Initialement, il a passé 24 heures en garde à vue. Logiquement, son véhicule a été saisi. Il a également reçu une assignation pour comparaître devant le tribunal, notamment afin de s’expliquer sur son refus de se plier au contrôle.

Les répercussions pour une telle infraction sont sévères. Le jeune homme encourt potentiellement un an d’emprisonnement, une amende de 7500 euros, ainsi que la perte de 6 points sur son permis de conduire. Ce qui impliquera l’annulation probable de son permis, surtout si l’on suppose qu’il devrait s’agir d’un permis probatoire étant donné son âge, même si ce détail n’est pas explicitement mentionné dans le post Facebook de la gendarmerie.

Un excès de vitesse important

En Saône-et-Loire, un conducteur de Clio a été arrêté en excès de vitesse significatif par les gendarmes de la brigade motorisée du Creusot. Il roulait à une vitesse de 140 km/h sur une route où la limite est fixée à 70 km/h, à Saint-Forgeot. Bien que la vitesse considérée ait été abaissée à 133 km/h, cela ne change rien à sa situation. Son véhicule a été envoyé à la fourrière et son permis lui a été retiré. Le conducteur devrait bientôt se présenter devant le tribunal pour connaître ses sanctions, dont la durée de suspension de son permis et une éventuelle amende pouvant atteindre 1500 €.

La marque allemande a choisi le Salon de l’automobile de Paris 2024 pour présenter le Volkswagen Tayron. Ce SUV de dimensions généreuses, mesurant 4,79 mètres en longueur, 1,85 mètre en largeur et 1,67 mètre en hauteur, se situe entre le Tiguan et le Touareg dans la gamme de Volkswagen. Construit dans l’usine de Wolfsburg en Allemagne, le Tayron est basé sur la plateforme modulable MBQ evo de la dernière génération et offre, selon les versions, la possibilité d’accueillir jusqu’à 7 passagers.

Bien que le Tayron propose jusqu’à sept types de motorisations dans son offre, seules trois sont disponibles en France lors de sa sortie : les hybrides rechargeables eHybrid de 150 et 200 kW (correspondant à 204 et 272 chevaux) ainsi que le modèle eTSI de 110 kW (150 chevaux). Chacune de ces motorisations est accompagnée d’une transmission automatique à double embrayage (DSG). Il est prévu qu’un moteur TDI de 110 kW (150 chevaux) soit ajouté aux options ultérieurement.

Une version spéciale encore plus économique que l’offre de base

En ce qui concerne le marché français, le Volkswagen Tayron se décline en trois niveaux de finition (une quatrième finition, appelée Elegance, devrait être disponible ultérieurement). Le modèle d’entrée de gamme débute à un prix de 50 900 euros. Cette configuration Life Plus inclut par défaut 7 places (avec la motorisation eTSI), une climatisation sur trois zones, des phares à LED, un tableau de bord numérique de 10 pouces couplé à un écran tactile de 12,9 pouces, ainsi que plusieurs dispositifs d’assistance à la conduite et de sécurité (tels que le freinage d’urgence, l’assistance au maintien dans la voie, la gestion automatique des feux de route, l’aide au stationnement, etc.).

Les prix du Volkswagen Tayron

Les finitions R-Line débutent à 53 900 euros, tandis que la version R-Line Exclusive est disponible à partir de 60 000 euros. Enfin, Volkswagen propose également une édition spéciale appelée WV Edition, affichée à un tarif intéressant : une économie de 1 100 euros par rapport à la finition Life Plus sur laquelle elle repose. Au prix de 49 800 euros, le Tayron WV Edition comprend une peinture métallisée, des feux LED Plus, et des jantes en alliage de 17 pouces.

Les noms légendaires comme 288 GTO, F40, F50, Enzo et LaFerrari ont conquis le cœur des passionnés de voitures, qu’ils soient fervents admirateurs de Ferrari ou non. Désormais, un nouvel entrant se distingue dans cet illustre panthéon automobile : la F80. Portrait détaillé.

Design avant-gardiste

Avant de plonger au cœur de sa motorisation, attardons-nous sur l’esthétique saisissante de cette voiture. La F80, influencée par les F40 et F50, se distingue par des lignes à la fois puissantes et sobres. Son design évoque le mariage harmonieux entre un style rétro et un flair résolument moderne, accentué par un masque noir inspiré de la 12Cilindri, reflet de la mythique Daytona.

Les lignes fluides et élégantes n’ont pas leur place ici. Le design de la F80 se compose de traits droits et d’angles réfléchis, montés ensemble pour créer l’ultime voiture de course. Avec un aileron arrière imposant, de nombreuses prises d’air, un diffuseur aérodynamique important et un nez conçu pour réduire la résistance au vent, tout a été imaginé méticuleusement par les équipes de conception pour permettre à ce véhicule de 4,80 mètres de long et de plus de 2 mètres de large de filer à toute allure et coller littéralement à la voie.

Performance aérodynamique exceptionnelle

Grâce à des solutions issues directement des courses automobiles, telles qu’un système ajustant constamment la hauteur du véhicule, les résultats sont là. La stabilité de la F80 est assurée avec une force d’appui aérodynamique de 1 000 kg. Ce chiffre se répartit comme suit : 460 kg à l’avant et 590 kg à l’arrière, grâce notamment à un diffuseur généreux de 1,80 mètre de longueur !

Configuration 1+1

Passons à l’habitacle qui mérite que l’on s’y attarde. Le terme « cockpit » est ici bien choisi, car tout a été pensé pour que le pilote s’y sente chez lui. Les créateurs ont souhaité offrir une sensation de solitude au conducteur, même s’il peut occasionnellement partager ce moment. En effet, on peut parler d’une voiture configurée en 1+1.

Cette ambiance est créée grâce à des aérateurs et une console centrale qui entourent le pilote. De plus, le siège du passager est positionné légèrement en retrait par rapport à celui du conducteur, et dans certains modèles, une couleur noire différencie ce siège passager pour le rendre quasi invisible.

Une puissance hybride exceptionnelle

Évoquons maintenant ce qui attise le plus la curiosité : le moteur. Effectivement, cette Ferrari n’est pas entièrement thermique. Le moteur n’est ni un V12 ni un V8, mais un V6 de 3,0 litres qui ne manque pas d’atouts. Déjà apprécié sur les modèles 296 GTB et GTS, ce moteur nous avait convaincus.

Le V6 génère ici une puissance exceptionnelle de 900 chevaux, seul (alors qu’il est de 830 chevaux avec l’assistance électrique sur les 296 GTB et GTS) et est associé à deux moteurs électriques de 95 chevaux chacun. Ainsi, l’ensemble atteint une incroyable puissance combinée de 1 200 chevaux, faisant d’elle la Ferrari homologuée pour la route la plus puissante jamais créée. Les moteurs électriques servent uniquement à booster la vitesse de la F80, impossible de rouler en mode électrique pur, contrairement à d’autres modèles tels que la SF90 Stradale ou la 296 GTB. Quant au poids, il reste sous contrôle avec seulement 1 525 kg pour une telle bête de course.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : la performance est tout simplement époustouflante. Plus impressionnant encore que sa vitesse de pointe à 350 km/h, c’est l’accélération du 0 à 200 km/h qui stupéfie, avec seulement 5,75 secondes nécessaires pour l’atteindre. À titre comparatif, c’est le temps que prenait l’ancienne Renault Megane RS pour franchir la barre des 100 km/h…

799 unités… toutes vendues !

En conclusion, la F80, malgré sa motorisation hybride qui pourrait dérouter les puristes, représente fièrement la lignée Ferrari. Et cela n’a pas rebuté les 799 acquéreurs qui ont déjà sécurisé leur modèle, ni son coût impressionnant de 3,6 millions d’euros…

Éclipsée par le triomphe indéniable de la Citroën Ami, dont 65 000 unités ont été écoulées depuis sa mise sur le marché en 2020, les petites citadines électriques se multiplient comme des champignons après la pluie. Ligier Myli, Microlino, Simplici S1, pour ne citer que quelques concurrents, rallongent une liste déjà bien fournie. La petite voiture emblématique aux chevrons devait réagir. Ainsi, elle a profité de l’événement de l’année pour subir une transformation notable.

Apparence : une nouvelle identité visuelle pour Citroën

Il n’est pas surprenant que l’Ami se voie offrir une refonte visuelle. À quatre ans déjà, ce qui est considéré acceptable pour un véhicule, bien qu’ici il s’agisse d’un quadricycle plutôt qu’une voiture classique, le renouveau s’impose. En outre, l’Ami est l’une des dernières dans la gamme à ne pas avoir incorporé la nouvelle signature esthétique de Citroën qui inclut notamment des chevrons au look rétro. Ces éléments ornent désormais la partie avant, arrière, les roues, et même le volant intérieur.

Les phares principaux encerclés de noir se déplacent vers le haut, tandis que le masque qui servait de support aux feux additionnels est supprimé, ces derniers se logeant maintenant dans ce qui pourrait être décrit comme un pare-chocs, ou la partie inférieure avant. Ce changement confère à l’Ami une allure plus vive. Sur le modèle présenté au Salon, on remarque des roues arborant de nombreux carrés orange ainsi que des décalcomanies assorties sur le pilier arrière et les côtés. Il est probable que d’autres options de personnalisation arrivent ultérieurement.

Intérieur : une cabine inchangée

Il n’y a pas de modifications importantes à l’intérieur, du moins en termes d’esthétique. L’habitacle reste simple, agrémenté de quelques touches de couleur. Aucun mot n’a été dit sur l’introduction possible de nouveaux équipements, mais cela semble improbable. Cela pourrait bien être une faiblesse, sachant que la concurrence a renforcé son offre. Des caractéristiques telles que les airbags ou la climatisation, proposées par les rivales, pourraient sans doute séduire les amateurs de ce modèle.

Mise sur le marché : en 2025, patience requise

La mise en vente est projetée pour 2025, sans plus de détails pour l’instant. Les tarifs seront dévoilés ultérieurement, mais il est probable que la Citroën Ami reste dans une fourchette de prix abordable.

La gamme devrait inclure plusieurs versions. Le concept Ami Buggy Vision donne un aperçu des options possibles. Bien que Citroën présente cela comme un « exercice de style complètement libre », une production en série pourrait bien voir le jour. Effectivement, le modèle actuel a déjà proposé de telles variantes par le passé.

Tous les passionnés de véhicules sportifs connaissent NISMO, l’entité de performance de la célèbre marque japonaise Nissan. Jusqu’à présent associée à des véhicules au caractère robuste comme la fameuse Nissan GT-R NISMO, cette division est maintenant présente sur les modèles électriques de l’entreprise.

Et c’est donc au tour du dernier modèle, le Nissan Ariya, de ne pas déroger à cette tendance. Dans sa version NISMO, le véhicule est doté d’une batterie de 91 kWh (dont 87 kWh utilisables), similaire à la version actuelle haut de gamme. Ce modèle est équipé de deux moteurs électriques placés à l’avant et à l’arrière, ce qui confère au Nissan Ariya NISMO une puissance totale de 320 kW (équivalant à 435 chevaux) et un couple total de 600 Nm, permettant d’atteindre les 100 km/h en seulement 5 secondes.

Un prix conséquent pour cette exclusivité !

En raison de sa nature sportive, le Nissan Ariya NISMO est doté de caractéristiques spécifiques (mentionnons ici le réglage du châssis, une suspension plus vive, une nouvelle barre antiroulis, des composants aérodynamiques, etc.). De plus, une ligne rouge distinctive, propre aux modèles NISMO, parcourt tout le périmètre du véhicule.

La Nissan GT-R NISMO est disponible en quatre teintes de carrosserie et est vendue au prix fixe de 59 300 euros, soit une économie de 2 500 euros par rapport à la version e-4Orce 4×4 en finition Evolve+ haut de gamme.

Le Superéthanol-E85 est devenu un carburant très prisé ces deux dernières années, surtout face à la hausse significative du prix de l’essence. En effet, il est vendu en moyenne à environ 80 centimes par litre et présente l’avantage d’être moins polluant.

Ce carburant représente donc une solution économique et écologique intéressante pour les automobilistes possédant une voiture à moteur essence et cherchant à réduire leurs dépenses en carburant.

Un dispositif E85 à moins de 500€

Ce dispositif est d’autant plus attractif que le prix de l’installation d’un boîtier E85 varie généralement entre 700 et 1200€, selon le type de moteur. Toutefois, ce montant peut sembler élevé pour bon nombre de conducteurs, surtout s’ils ne bénéficient d’aucune aide financière des collectivités locales ou régionales.

Pour marquer son quinzième anniversaire, FlexFuel Energy Development propose ainsi une réduction spéciale permettant d’acquérir un boîtier de conversion pour un prix inférieur à 500€, précisément 499€, alors qu’il est normalement vendu à 699€.

Ce dispositif est destiné aux moteurs à injection indirecte, que l’on retrouve dans des modèles populaires tels que la Citroën C3, la Peugeot 208 en version 1.2 Vti 82 chevaux, le 2008, ou encore dans des voitures Renault comme la Clio, Captur et Twingo, ainsi que les modèles Dacia Sandero et Duster.

Une autre offre sur un dispositif alternatif

FFED propose une autre promotion sur un boîtier E85 différent, adapté pour les moteurs à injection directe tels que les Ford Fiesta et Focus 1.0 Ecoboost, ou les Renault Mégane et Captur 1.3 TCe. Ce boîtier, généralement vendu à 1200€, voit son prix réduit de manière significative à 799€ jusqu’au 31 décembre.

Pour profiter de ces offres promotionnelles, il est essentiel de se tourner vers le réseau de professionnels agréés pour l’installation des équipements FlexFuel. Ce sont eux qui pourront déterminer la compatibilité de votre véhicule avec les boîtiers E85.

Il est facile de se méprendre et de confondre les versions thermiques avec leur homologue, mais il est important de noter qu’il existe désormais deux petites Mini construites sur des bases distinctes. La version essence d’abord, qui se décline en coupé et, plus récemment, en cabriolet. Cette dernière est en vérité une refonte du modèle introduit en 2014, empruntant des éléments esthétiques et structurels de la version toute électrique. Cette dernière, fabriquée pour l’instant en Chine, se distingue par une plateforme technique propre et quelques caractéristiques uniques, comme des poignées de porte rétractables qui améliorent l’aérodynamisme de cette voiture urbaine.

La gamme de ce modèle électrique était déjà bien fournie avec deux options de moteurs : 135 kW ou 184 ch (nommée Cooper E) et 160 kW ou 218 ch (appelée Cooper SE). Pourtant, il manquait quelque chose à cette gamme. Traditionnellement, la Mini a toujours bénéficié d’une déclinaison John Cooper Works (ou JCW pour les aficionados), qui offrait une version plus sportive et performante de la citadine. Avec la nouvelle JCW électrique, cette lacune est désormais comblée. Actuellement, la Mini Cooper JCW électrique reçoit l’attention des curieux au Mondial de l’Auto de Paris.

Du noir au rouge

La Mini Cooper JCW électrique est conçue pour marquer l’esprit par son allure, qui ne laissera pas vos vertèbres indifférentes, pourrait-on supposer. Sur la photo, le modèle exhibe une finition bicolore, très caractéristique de cette variante survitaminée. Des étriers de frein rouges, un emblème JCW rappelant un drapeau à damier dispersé ici et là, projeté même depuis le rétroviseur lorsqu’on s’approche. Quant aux pare-chocs avant et arrière revisités, ainsi que des jantes spécifiques, tout cela renforce son aspect unique. En option, un toit dégradé du rouge au noir ajoute une touche d’élégance.

L’intérieur n’est pas en reste. Des seuils de portes arborant le motif à damier, des sièges baquets ornés de surpiqûres rouges, et un tableau de bord avec un design noir et rouge, sont autant d’éléments qui distinguant clairement la JCW de ses consœurs plus classiques. Dommage cependant que la qualité des matériaux utilisés n’ait pas été revue à la hausse.

Performance et style

La Mini Cooper JCW ne se contente pas d’une apparence séduisante. Avec une puissance augmentée de 40 ch comparée au modèle Cooper SE, ses capacités sont impressionnantes. Le couple progresse aussi, mais plus modestement : 350 Nm, soit un gain de 20 Nm. Suffisant néanmoins pour une nette amélioration des performances. Elle atteint les 100 km/h en 5,9 secondes, surpassant les 6,7 secondes du modèle SE. Quant à la vitesse maximale, elle passe de 170 km/h à 200 km/h.

Une fonction « Boost », accessible à gauche du volant, permet d’accroître la puissance de 20 kW supplémentaires (environ 27 ch), idéale pour une accélération rapide ou pour vivre des sensations intenses. Les suspensions, adaptées spécifiquement à cette version, pourraient ne pas être du goût de votre colonne vertébrale.

Si ce modèle vous séduit, vous pourrez le commander dès la fin de ce mois. Le prix de départ s’élève à 42 350 €. Et comme elle est produite en Chine, vous ne pourrez pas bénéficier des réductions d’impôts habituelles.

Le défi provient du moteur équipé sur environ six modèles différents du constructeur de Sochaux. Cette motorisation a la particularité de rejeter un taux supérieur de dioxyde d’azote par rapport aux normes admises. Les voitures touchées par ce souci comportent le moteur DV5R E6.3. Parmi celles-ci, on compte :

Comment savoir si ma voiture est concernée ?

Pour ceux qui se questionnent si leur véhicule est affecté, un moyen simple de le déterminer est d’examiner le code inscrit sur le certificat d’immatriculation.

Que faire si ma voiture est concernée ?

Selon l’explication fournie par le site Rappel Conso, les automobilistes concernés doivent contacter le concessionnaire auprès duquel ils ont acheté leur véhicule. Ce dernier fournira les instructions à suivre pour résoudre le problème.

Mêmes soucis pour Citroën, DS et Opel

Le site Rappel Conso mentionne également que ce sont trois autres marques du groupe Stellantis qui rencontrent le même souci d’émissions de dioxyde d’azote avec leur moteur : Citroën, DS et Opel.

Pour Citroën, les modèles impactés incluent les C3, C3 Aircross, C4, C5 Aircross et C-Élysées. Il s’agit particulièrement des unités ayant été mises sur le marché entre janvier et novembre 2022.

Indiana Jones refait surface, bien que pas par le biais d’un film puisque Harrison Ford a raccroché son célèbre chapeau l’année dernière après une aventure finale (Le Cadran de la Destinée). Cette fois, c’est par le biais d’un jeu vidéo qui sera bientôt accessible sur Xbox, l’un des collaborateurs d’Alpine en F1. Ce jeu se nomme Indiana Jones et le cercle ancien et sera une exclusivité pour Xbox et PC, prévue pour le 9 décembre prochain.

C’était l’occasion rêvée pour Alpine et Microsoft de renforcer leur partenariat outre-Atlantique. Comment ont-ils fait ? En dévoilant une splendide livrée “orange coucher de soleil” pour tout le week-end sur le circuit des Amériques à Austin.

Des tenues spéciales pour Esteban Ocon et Pierre Gasly

Les deux pilotes de l’écurie Alpine s’immergent également dans l’univers de ce jeu. En effet, ils arboreront des tenues qui – selon les dires du communiqué de l’équipe – célèbrent l’esprit aventurier et globe-trotter du fameux archéologue.

Bien que l’idée ne soit pas d’administrer directement du venin pour traiter une morsure de serpent, Carlos Tavares, préoccupé par l’ascension des marques chinoises, a choisi une stratégie similaire en acquérant l’une d’elles : Leapmotor. Et tout s’est enchaîné rapidement. Seulement un an s’est écoulé entre l’achat et la mise sur le marché des deux premiers véhicules : la voiture citadine T03, qui était précédemment vendue par l’intermédiaire SN Diffusion, et le SUV C10, récemment présenté. Une nouvelle étape est imminente. Ce modèle à venir se manifeste par le concept B10, actuellement visible au Mondial de l’Auto à la Porte de Versailles.

Prêt pour la production

Bien qu’il s’agisse d’un prototype et que l’intérieur reste caché, ce modèle de démonstration se veut sobre et ne dévoile pas des caractéristiques excessives. Il démontre clairement que le développement du véhicule est déjà très avancé et que sa présentation formelle ne devrait pas tarder. La date exacte n’est pas encore définie, mais il est plausible que le modèle final soit dévoilé l’année suivante.

Alors que certaines marques mettent longtemps à établir leur identité propre, Leapmotor n’a pas ce problème. Le B10 ne surprend pas, car il adopte les éléments esthétiques déjà présents sur les autres SUV de Leapmotor, tels que le grand C10 (mesurant 4,74 mètres, rivalisant avec le Peugeot e-5008) et le plus imposant encore C16 (destiné à concurrencer le Kia EV9). Avec une calandre fine entourée de phares également élancés et situés sur un axe horizontal commun, un capot presque plat, un bouclier avant arrondi, des lignes épurées et fluides, l’avant du véhicule s’inspire clairement des autres modèles de la marque. L’arrière a une personnalité propre, bien que l’on y trouve un bandeau lumineux qui s’étend d’un côté à l’autre du coffre. Un style peut-être peu novateur, mais tout à fait contemporain.

Conçu pour séduire le marché européen

Un détail important n’a pas encore été mentionné : ce modèle est plus compact que les autres évoqués précédemment. Sa taille exacte n’a pas été révélée, mais on sait qu’il s’inscrit dans le segment C (tandis que le C10 est sur le segment D et le C16 sur le segment E), en le positionnant directement en compétition avec des véhicules tels que les Renault Scenic et Peugeot e-3008. Tout comme ces derniers, ainsi que les autres créations de Leapmotor mentionnées avant, le B10 fonctionne exclusivement à l’électricité. Autrement dit, il semble particulièrement adapté au marché européen, où les très grands véhicules sont moins populaires, et le constructeur envisage ce modèle comme une tête de pont pour son expansion internationale.

Aucune information technique précise n’est disponible pour le moment (dimensions, types de moteurs, capacité des batteries, etc.). On sait toutefois qu’il est construit sur une plateforme différente de celle utilisée pour le C10. Enfin, étant donné que le C10 est proposé sur notre marché à partir de 36 400 €, le B10 pourrait se démarquer par une offre tarifaire très compétitive. À surveiller.

Chevrolet a véritablement sorti le grand jeu avec cette nouvelle Corvette ZR1 ! Équipée d’un V8 biturbo d’une capacité de 5,5 litres, elle délivre une impressionnante puissance de 1 064 chevaux et un couple de 1 123 Nm. Ces caractéristiques font d’elle, sans conteste, la Corvette la plus puissante jamais conçue dans l’histoire.

La performance ne s’arrête pas à la puissance brute. La nouvelle Corvette ZR1 se distingue également par sa vitesse exceptionnelle. Afin de démontrer cette rapidité, les ingénieurs de Chevrolet ont emmené ce bolide jusqu’en Allemagne, sur le fameux circuit d’essai de Papenburg.

Abordable et ultra-rapide !

Aux commandes, Mark Reuss, président de General Motors, a réussi à propulser la Chevrolet Corvette ZR1 à une vitesse de 233 mph (environ 375 km/h), en sixième vitesse, atteignant ainsi la limite des régimes moteur. Cette vitesse dépasse de 18 mph les 215 mph annoncés lors du lancement de la voiture. Sur le circuit, les deux modèles présents ont plusieurs fois franchi le cap des 230 mph.

Il s’agit bien d’un record pour la Corvette, mais comment cette vitesse contribue-t-elle à affirmer que c’est la voiture la plus rapide du marché ? C’est simple : Chevrolet affirme détenir le record de vitesse pour une « voiture de série récente dont le prix est inférieur à 1 million de dollars ». En outre, cette ZR1 est désormais la voiture la plus rapide jamais construite par General Motors.

Pour atteindre ces performances, la Chevrolet Corvette ZR1 était équipée de pneus Michelin Pilot Sport 4S, montés sur des jantes en aluminium, et différents éléments aérodynamiques ont été intégrés pour optimiser l’appui. Les ingénieurs ont même développé un mode spécial Top Speed, conçu uniquement pour les pistes.

Alors que la performance de la Chevrolet Corvette ZR1 est aujourd’hui bien documentée, le prix de cette merveille reste néanmoins un mystère, attendant une annonce officielle de la part du constructeur.

Bien que peu de marques du groupe Stellantis aient fait le déplacement pour assister à la 90e édition du Mondial de l’Auto de Paris, inaugurée pour le public hier, celles qui étaient présentes ont su attirer l’attention. Citroën s’est particulièrement distinguée. Entre les débuts publics des C3 et C3 Aircross, la révélation des C4 et C4 X rafraîchies, sans oublier une version revisitée de l’Ami avec le nouveau design distinctif aux chevrons, le planning était chargé. Mais ce qui a le plus captivé l’attention, c’est bien sûr le concept annonçant la seconde génération du C5 Aircross. Voici un aperçu de ce modèle que vous avez peut-être déjà aperçu en images sur notre site.

Une connexion visuelle avec le C5 Aircross actuel

Bien que ce showcar ne soit pas exactement le reflet de la version finale du prochain modèle, il offre un aperçu clair de ce à quoi pourrait s’attendre l’édition à venir. 

Un point notable est que les designers ont choisi de ne pas rompre totalement avec le modèle existant, contrairement à ce qu’ils ont fait avec la nouvelle C3 et sa itération Aircross. Les différences visuelles entre les générations sont subtiles. L’aspect du concept maintient des similitudes avec l’actuel C5 Aircross.

En observant son profil, par exemple, on constate que le toit du concept se termine par une pente douce au niveau du montant C, sans pour autant donner l’aspect d’un SUV-coupé, à l’inverse du récent Opel Grandland ou du Peugeot 3008. Le C5 Aircross reste plus conventionnel avec une silhouette droite à l’arrière.

De même, les passages de roues s’inspirent de ceux du modèle précédent, bien qu’ils soient aplatis sur leur partie supérieure. La signature lumineuse à l’avant reste constituée de deux segments, mais maintenant, la partie inférieure surmonte le bouclier au lieu de s’étendre depuis la calandre.

À l’arrière, la différence est frappante, avec des feux comportant trois fines bandes LED alignées horizontalement. Deux de ces bandes entourent un bandeau noir arborant fièrement le nouvel emblème de Citroën au centre, tandis que les autres s’étendent vers les ailes arrière.

Des lignes épurées pour optimiser l’aérodynamique

Les lignes fluides et les poignées de portes rétractables indiquent clairement que le design a été pensé pour rendre le véhicule plus aérodynamique. Cela devrait être un atout pour réduire la consommation de carburant.

Cela tombe à pic, car bien que Citroën n’ait pas encore communiqué sur ce sujet, la plateforme STLA Medium offre déjà quelques pistes. Le futur C5 Aircross devrait intégrer les motorisations de ses cousins, potentiellement un hybride léger de 136 chevaux, un hybride rechargeable de 195 chevaux et peut-être même des versions entièrement électriques (à l’instar du 3008 qui propose plusieurs puissances, de 210 ch à 320 ch, avec différentes capacités de batterie de 73 kWh à 98 kWh).

Plus spacieux et plus familial, mais à quel point ?

Le C5 Aircross Concept semble nettement plus imposant que son prédécesseur, et ce n’est pas qu’une illusion. En effet, à l’instar du C3 Aircross, désormais parmi les plus volumineux de sa catégorie, le C5 Aircross s’agrandit sensiblement. Avec ses 4,65 m de long, il gagne 15 cm par rapport à la version actuelle. Ce gain de place pourrait bien renforcer son positionnement comme un véhicule familial. À l’intérieur, Citroën promet des nouveautés ingénieuses qui devraient être tout aussi pratiques que celles du modèle précédent. Espérons que la banquette coulissante soit conservée.

De plus, la marque affirme que l’habitacle sera « un espace de bien-être dans un style lounge, permettant aux cinq passagers de se relaxer et de voyager sereinement ». Cette description soulève cependant des interrogations : le C3 Aircross a surpris en offrant une option à 7 places, et l’agrandissement du C5 Aircross pourrait offrir suffisamment d’espace pour deux sièges supplémentaires dans le coffre. Il faudra patienter quelques mois pour obtenir une réponse définitive à cette interrogation.

À quelques jours de l’ouverture au public du Mondial de l’Auto à Paris, la marque américaine Tesla a surpris en confirmant sa participation à cet événement. Bien qu’elle ait historiquement évité ce type de salon, il semblerait que Tesla ait pris goût à ces manifestations après avoir participé l’année précédente au salon de Munich. Malheureusement, les visiteurs qui se rendront porte de Versailles à Paris ne trouveront pas de nouveautés spectaculaires. En l’absence d’un nouvel modèle Y rafraîchi, qui aurait pu relancer l’intérêt, Tesla proposera tout de même une nouveauté : une variante du Model Y équipée de sept sièges.

Conçu pour de jeunes passagers

Avec un coffre massif de 854 litres lorsque les cinq sièges sont en place, aménager un espace pour deux sièges supplémentaires n’était pas vraiment difficile sans trop réduire le volume initial. Ainsi, même avec une troisième rangée installée, il reste encore un généreux espace de 363 litres pour placer quelques valises. Et n’oublions pas le « frunk », le compartiment avant sous le capot, qui lui aussi offre 117 litres additionnels, comme dans la version originale à cinq places. Cela porte le volume total à un raisonnable 480 litres.

Même lorsque les deux sièges supplémentaires sont abaissés, l’espace disponible n’est que légèrement réduit par rapport au modèle standard à cinq places, avec encore 753 litres de capacité.

Ces sièges supplémentaires sont indépendants. Vous pouvez donc choisir de rabattre l’un ou l’autre, ou bien les deux simultanément. L’accès à ces sièges est facilité par des boutons situés sur la banquette de la deuxième rangée, qui est coulissante. Chaque passager à l’arrière dispose d’une prise USB-C. Cependant, cet espace est plutôt adapté aux enfants en raison de la hauteur limitée sous le toit.

Limité à une seule configuration

Une restriction notable est que cette configuration à sept places n’est disponible que sur un seul modèle parmi les quatre proposés. Il s’agit du Model Y Grande Autonomie avec une transmission intégrale, affiché au prix de 51 990 €. En y ajoutant les 2 500 € pour les sièges supplémentaires, la facture atteint un total quelque peu élevé de 54 990 €, ce qui est bien plus élevé que le prix de base de 40 990 € du Model Y. La bonne nouvelle est que, selon les données officielles, l’autonomie reste inchangée, avec 533 km annoncés. Pour ceux toujours intéressés, sachez qu’une livraison est possible avant la fin de l’année si la commande est passée.

Au-delà des SUV coupés, une catégorie automobile qui est désormais bien connue et dont BMW a été le pionnier avec le X6 en 2008, la marque ne pourrait plus se passer de ses berlines au profil bas inspirées des coupés. Cette tendance, toutefois, a été initiée par Mercedes avec le lancement de la CLS en 2004. Ayant reconnu le potentiel de cette nouvelle silhouette, BMW l’a exploitée jusqu’à lancer la Série 2 Gran Coupé en 2020, qui est une dérivée de la Série 1. Comme cette dernière a récemment bénéficié d’un lifting significatif, il était logique que la Série 2 Gran Coupé suive le même chemin. Voici la présentation du millésime 2025.

Une refonte majeure plutôt qu’une toute nouvelle génération

Bien que BMW utilise des termes tels que « nouvelle BMW Série 2 Gran Coupé » et « deuxième génération », il est important de ne pas se laisser tromper par cette terminologie. Ce modèle – tout comme la BMW Série 1 F70 présentée en juin – représente une évolution esthétique approfondie du modèle inauguré en 2020. La transformation est si marquée qu’elle donne presque l’impression d’un tout nouveau modèle.

Les parties avant et arrière, ainsi que l’intérieur, ont été complètement reconfigurés. À l’avant, on observe le design de la nouvelle Série 1. Il est à noter qu’une calandre rétro-éclairée pourra bientôt être ajoutée en option. À l’intérieur, on retrouve les dernières tendances de BMW, y compris un double écran incurvé.

Concernant plus spécifiquement le coffre de cette Série 2 Gran Coupé, l’ancien style alambiqué a été remplacé par quelque chose de plus classique. On note des feux arrière de forme triangulaire dotés d’une petite entaille en bas, avec une signature lumineuse revue. Aussi, le logo a été déplacé vers le haut et n’est plus situé sur la barre reliant les feux.

Moteurs, gamme, tarifs : une offre initialement restreinte

Les changements esthétiques ajoutent 2 cm à la longueur de la Série 2 Gran Coupé, la portant à 4,55 mètres. Toutefois, la base technique reste inchangée, ce qui signifie que l’empattement demeure identique à 2,67 mètres. En conséquence, l’habitabilité est assez limitée et la ligne de toit inclinée peut gêner les personnes de grande taille. D’un autre côté, le coffre offre toujours 430 litres sur la version la plus puissante, la M235 xDrive avec une transmission intégrale et 300 chevaux. Sur les modèles essence de base (220 avec 170 ch et 220d avec 163 ch), le volume est réduit à 360 litres, une réduction causée par la micro-hybridation 48V qui occupe un peu d’espace dans le coffre.

La gamme est, pour le moment, peu diversifiée. Aucune version hybride rechargeable n’est prévue, ce qui est regrettable au vu des enjeux de l’électrification. Le fait que ce modèle soit purement thermique explique en partie pourquoi il n’a pas été présenté au Mondial de l’Auto 2024, où seules des versions électriques sont exposées sur le stand BMW.

Déjà en vente

Les commandes sont déjà ouvertes avec des livraisons prévues pour février 2025. Plus distinguée que la Série 1, la Série 2 Gran Coupé est naturellement plus onéreuse. Il faudra compter 42 450 € pour la version essence de 170 ch avec finition de base, alors que la Série 1 débute juste sous les 40 000 €. Le modèle M235 xDrive de 300 ch atteint plus de 60 000 €, sans compter le malus pouvant varier entre 9 681 € et 26 302 €.

Tarifs de la BMW Série 2 Gran Coupé (2025)

La BMW Série 2 Gran Coupé est proposée à partir de 42 450 €.

Entre les modèles A5, A6 e-tron et Q5, nombreuses étaient les nouveautés qu’Audi a mises en avant depuis le début de l’année. Ainsi, la marque d’Ingolstadt aurait très bien pu arriver les mains vides à cet événement, se limitant à des véhicules déjà introduits au cours de l’année 2024.

Mais, à côté des modèles précités, elle nous réserve une petite surprise, attendue cela dit. En effet, l’étonnant en question était le Q6 e-tron Sportback, ce grand SUV 100 % électrique, révélé aussi en 2024 et partageant les mêmes fondations que la version zéro émission du Porsche Macan.

Apparence : inchangée jusqu’au montant C

Les concepts qui fonctionnent bien restent souvent intacts. Etant donné que les SUV coupés constituent « l’un des designs préférés des consommateurs », selon les dires du constructeur, le Q6 e-tron ne pouvait échapper à la tendance qui consiste à sublimer un SUV en une déclinaison plus « sportive ». La formule habituelle a donc été appliquée. On part d’un SUV « classique », sans modification de l’extérieur jusqu’au montant C, tout en conservant le tableau de bord identique. Puis, la ligne du toit s’abaisse progressivement pour adopter un profil plus effilé.

Le résultat ne surprend donc pas totalement et saura sûrement séduire les passionnés — à vous de vous faire un avis. Ce type de carrosserie a ses atouts, comme un meilleur coefficient aérodynamique, indispensable pour un véhicule électrique pur (nous reviendrons là-dessus), même s’il présente des inconvénients en termes de praticité au quotidien. Cela dit, ses dimensions généreuses de 4,77 m de longueur, avec une largeur de 1,96 m et une hauteur à peine plus basse que le modèle original (37 mm de moins), lui permettent de maintenir un espace de coffre de 511 litres (contre 526 litres pour le Q6 e-tron « standard »), auquel s’ajoutent 64 litres dans le coffre avant, tandis que la partie arrière reste relativement peu impactée par le toit fuyant.

Mécanique : un ensemble très complet dès la sortie et une autonomie de tête

En plus des configurations déjà disponibles pour le Q6 e-tron, la version Sportback propose également une petite batterie de 83 kWh qui s’ajoute à la version de 100 kWh. Cette batterie est aussi utilisée sur le Q6 e-tron standard. Malgré une diminuation, l’autonomie n’est que légèrement touchée, avec une portée revendiquée à 545 km. Deux raisons à cela : premièrement, il s’agit d’une propulsion simple, et deuxièmement, le modèle Sportback affiche une meilleure aérodynamique avec un Cx de 0,26 par rapport au Cx de 0,28 du Q6 e-tron traditionnel.

Ainsi, dans les configurations haut de gamme, l’autonomie est améliorée, atteignant jusqu’à 650 km maximum (contre 623 km pour le Q6 e-tron). Le modèle propulsion de 83 kWh délivre déjà une puissance significative de 185 kW (252 ch), lui permettant d’aller de 0 à 100 km/h en 7,0 secondes. Quant au Q6 Sportback e-tron propulsion avec une batterie de 100 kWh et une autonomie de 650 km, il délivre 306 ch, lui permettant d’atteindre 100 km/h en 6,6 secondes. Avec une puissance accrue de 285 kW (387 ch), la version quattro avec traction intégrale améliore le tout, réalisant le 0 à 100 km/h en 5,9 secondes. Enfin, l’exceptionnel SQ6 Sportback e-tron atteint 489 ch, accomplissant cet exercice en 4,3 secondes seulement.

Prix et disponibilité : lancement imminent

Il n’y a pas de temps à perdre, ce véhicule innovant sera disponible à la commande dès le mois prochain. Le prix de départ s’élève à 74 750 € pour le modèle à propulsion avec sa batterie de 83 kWh. Pour le Q6 Sportback e-tron à propulsion, attendez-vous à débourser au moins 79 800 €, 85 850 € pour la version quattro, et 102 270 € pour le SQ6. Dans chaque cas, cela représente un écart de 2 400 € par rapport à la version standard du Q6 e-tron, sauf pour le modèle d’entrée de gamme qui affiche une différence de 2 580 €. Pour ce qui concerne le matériel, les options disponibles et les possibilités de personnalisation, il n’y a aucun changement notable à signaler par rapport au modèle classique.

Un bref retour sur l’histoire. En 1995, la Citroën ZX se classait 7e en termes de ventes en France, toutes catégories confondues, derrière des concurrentes comme la Peugeot 306 (3e) et la Renault Mégane (6e). Dix ans après, la Citroën C4 parvenait à figurer dans le top 10, occupant la 8e place, toujours devancée par la Peugeot 307 (4e) et la Renault Mégane (6e).

Avançons près de 20 ans dans le futur, et le tableau est bien différent. La C4 se place désormais à la 37e position pour les trois premiers trimestres de l’année 2024, alors que la Mégane actuelle se situe en 21e position et la Peugeot 308 au 7e rang. Même en combinant les 5 062 unités de la version 100 % électrique avec les 9 243 unités thermiques vendues, la C4 dépasse à peine les ventes de la Mégane, qui n’est proposée qu’en version électrique (14 305 C4 vendues au total contre 14 259 Mégane). Meh.

Bien que les berlines classiques aient perdu du terrain face aux SUV, aussi bien pour les modèles compacts, les 308 et Mégane s’en sortent mieux. En observant la nouvelle apparence des C4 et C4 X présentées au Salon de Paris, on devine que l’esthétique joue un rôle majeur dans leur attractivité.

Nouvelle apparence pour un renouveau?

Citroën a redoublé d’efforts pour transformer ses deux berlines compactes, la C4 à hayon et la C4 X avec malle. En plus d’avoir adopté la signature stylistique modernisée des chevrons anciens, les feux des deux modèles ont été complètement redessinés, changeant de manière significative leur apparence générale.

Avant remanié

Exit le complexe design en « V » des modèles précédents, les C4 et C4 X introduisent des phares avant triangulaires avec deux bandes de LED en dessous. En outre, la grille avant à double bande a été supprimée, elle qui arborait autrefois l’ancien logo. Les clignotants ont été déplacés vers le haut du bouclier avant, qui a lui aussi été remodelé perdant ses formes arrondies. En bas, on trouve un sabot de protection dont la teinte varie selon la finition, évoquant ainsi l’univers des SUV.

Changements notables à l’arrière pour la C4 « classique »

L’arrière de la C4 5 portes subit aussi un changement notable, les LED s’alignent désormais horizontalement et, comme c’est souvent le cas aujourd’hui, le nom « Citroën » est inscrit en toutes lettres au centre, sur une bande noire. Pour la C4 X, c’est principalement le nouveau logo qui permet de marquer la différence. Comme pour tout restylage à mi-parcours, de nouvelles jantes de 18 pouces font leur apparition, ainsi que deux nouvelles couleurs, un gris et un vert.

Un confort accru

L’intérieur n’a pas subi autant de modifications que l’extérieur, étant déjà plutôt classique. Les nouveaux chevrons sur le volant sont là pour rappeler que nous sommes à bord d’un modèle revu. Toujours devant le conducteur, le tableau de bord numérique passe à une taille de 7 pouces et est couplé à une navigation 3D. Pour l’écran central, on conserve sa taille de 10 pouces. Citroën souligne avoir « redessiné les sièges pour optimiser le confort à bord », un élément clé de leur identité. Pour le reste, peu de changement à noter.

Motorisations : vers une électrification générale

Sur le plan technique, peu de transformations, mis à part l’abandon du moteur thermique. Le diesel de 130 ch tire sa révérence et l’essence pourrait suivre la même voie. À confirmer. Désormais, les clients n’auront le choix qu’entre deux modèles micro-hybrides de 100 et 136 ch, ainsi que deux motorisations électriques : 136 ch avec une batterie de 50 kWh, et 156 ch avec une batterie de 54 kWh. L’autonomie dépendra du modèle, variant entre 355 km et 425 km. Un résultat satisfaisant mais pas extraordinaire. La recharge rapide reste limitée à 100 kW.

À partir de l’année prochaine, une prise V2L (« vehicle to load ») sera disponible en option, permettant d’alimenter différents appareils grâce à la voiture.

Prix et disponibilité : ce qui nous attend

Les commandes sont déjà ouvertes, mais la gamme de modèles n’a pas encore été détaillée et les prix restent une inconnue. On s’attend à une hausse de prix, bien que la C4 devrait continuer à afficher des tarifs compétitifs dans son segment, fidèles à la stratégie de la marque. Suffira-t-elle à rivaliser avec ses concurrentes de toujours ? Seul le futur le révélera.

Le segment des SUV Compacts est sans aucun doute celui où la compétition électrique est la plus féroce. D’un côté, le Peugeot E-2008 doit s’armer face à des nouvelles entrées comme le Kia EV3, tandis que les Peugeot E-3008 et Renault Scenic E-Tech voient s’ajouter à leurs rangs l’arrivée redoutable du tout frais Skoda Elroq.

Entièrement tourné vers l’électrique, ce proche parent du Skoda Karoq s’appuie sur la plateforme MEB de Volkswagen, un dispositif également utilisé par les modèles ID.4 et ID.5. Pour se distinguer de sa version thermique, le Skoda Elroq adopte le nouveau style de design du constructeur, connu sous le nom de « Modern Solid ». Avec des dimensions de 4,89 mètres en longueur, 1,88 mètre en largeur et 1,65 mètre en hauteur, il est monté sur des roues en alliage variant de 19 à 21 pouces, selon la version choisie.

Le cœur de rangement de 470 litres offre un espace correct, bien que inférieur aux 545 litres du Scenic électrique, par exemple. À l’intérieur, un écran de 13 pouces trône avec fierté au centre du tableau de bord, proposé dès la version de base.

Deux options uniquement pour le marché français

Le Skoda Elroq 50 en entrée de gamme propose une puissance de 125 kW (soit 170 chevaux), avec un couple de 310 Nm (accélération de 0 à 100 km/h en 9 secondes, vitesse maximale de 160 km/h). Sa batterie a une capacité nette de 52 kWh, lui conférant une autonomie de 370 km.

Pour le Skoda Elroq 85, deuxième version proposée sur le marché français, il est équipé d’un système de propulsion délivrant 210 kW (286 chevaux), avec un couple de 545 Nm (passage de 0 à 100 km/h en 6,6 secondes, vitesse maximale de 180 km/h). Cette version utilise une batterie d’une capacité nette de 77 kWh, permettant d’atteindre une autonomie de 560 km.

Deux variantes du Skoda Elroq (50 et 85) disponibles pour la France

En France, on peut seulement se procurer les déclinaisons 50 et 85, toutes deux à propulsion, du Skoda Elroq pour un montant de départ fixé à 33 300 euros, sans compter les subventions d’État potentielles. Les premières unités devraient être livrées au cours du premier trimestre de 2025.

Pour son niveau d’entrée, le Skoda Elroq se présente donc à un tarif sensiblement plus accessible que le Renault Scenic E-Tech proposé à 39 990 euros (version évolution, 170 ch, batterie de 60 kWh), et également que le Peugeot E-3008, plus puissant avec une batterie plus grande (version Allure, 210 ch, batterie de 73 kWh), vendu à partir de 44 990 euros.

Avec 8 135 424 modèles produits, la Renault 4L a atteint un nombre impressionnant de ventes. Le terme “célèbre” pour la décrire n’est donc pas utilisé à tort. Dans toute l’histoire des véhicules Renault, la 4L demeure le modèle ayant obtenu le plus de succès auprès du public. Cela augure du potentiel de la nouvelle Renault 4 E-Tech electric, qui pourrait bien jouer sa carte auprès du grand public. Cependant, son nouveau nom nous indique qu’elle a adopté une approche différente. Voici son portrait.

 Design : un hommage remarqué à son ancêtre 

L’étonnement a été général lors de la première présentation du prototype Renault 5 en janvier 2021, quand Luca de Meo a partagé son vaste plan appelé Renaulution, peu de temps après son début à la direction de Renault. Que ce soit pour le concept comme pour la version finale, les différences ne sont pas légion, écartant quelques embellissements typiques des concept-cars. 

Pour ce qui est de la Renault 4, le même constat s’applique. Entre le modèle de présentation dévoilé en octobre 2022 au salon automobile parisien et la version finale, peu de changements sont à noter. Une bonne nouvelle pour les passionnés. Avec son style cubique distinctif, son coffre vertical, une vitre de custode inimitable, et ses phares ronds encastrés dans une calandre rectangulaire à éclairage arrière, une première pour le Losange, elle rend un vibrant hommage à son aïeule avec des allusions au design des années passées, comme un jonc chromé rappelant la vieille 4L. De plus, elle arbore des caractéristiques de SUV avec des protections latérales et une garde au sol plus haute que celle du Renault Captur de 1,2 cm. La foule présente sur le stand et l’engouement visible du public témoignent déjà d’un pari réussi.

Détails et espace intérieur : plus grande que la version originale mais toujours compacte

Certains diront que les voitures ne cessent de grandir, mais pour des raisons notamment de sécurité, (plusieurs systèmes protecteurs optimisés pour les test Euro NCAP et de nombreuses aides à la conduite, 26 au total selon Renault), la nouvelle Renault 4L dispose d’une taille bien plus étendue que son modèle ancien au gabarit plus compact de 3,65 m. Toutefois, avec sa longueur de 4,14 m, elle reste plus courte de 9 cm que le Captur dans l’écurie thermique de Renault. 

Un véhicule plus spacieux que la R5

Comparée à la R5, elle mesure 22 cm supplémentaires, ce qui bénéficie également à l’empattement (2,62 m contre 2,54 m pour la R5) et donc à l’espace intérieur. Si la R5 ne se montrait pas des plus généreuses en espace, la dernière recrue de la marque offre suffisamment de place pour accueillir confortablement 4 passagers.

Son coffre, avec ses 420 litres de volume, se situe dans la moyenne sans être exceptionnel. Mais ses formes rectilignes et son seuil de chargement bas (61 cm, bien en dessous de la concurrence qui atteint environ 71 cm) le rendent fonctionnel. De plus, une fois le siège passager rabattu, des objets de 2,20 m peuvent être transportés, ce qui est un atout. 

Quant à l’aménagement, ce modèle reprend ce qui a été apprécié sur sa “petite sœur”, offrant un système multimédia OpenR Link enrichi maintenant d’une connexion avec ChatGPT, et une présentation polie. Pour le confort, une option de toit en toile est proposée. Les amateurs de cette option, autrefois populaire sur la R4 chez nos voisins allemands, devraient y trouver leur bonheur, sans oublier ceux d’autres horizons… 

Aspects techniques : retour aux bases

Entièrement électrique, et forcément plus lourd que son ancêtre avec un poids minimum de 1 410 kg, la Renault 4 E-Tech ne conservera que les motorisations les plus puissantes de la R5, laissant de côté les 95 chevaux et celles de 180-220 ch de l’Alpine A290 (même si, à l’instar de la future déclinaison Abarth de plus de 280 ch pour la Fiat 600, l’espoir d’une version musclée reste permis…). Deux options s’offrent aux clients : un moteur de 120 ch ou de 150 ch, avec une vitesse de pointe de 150 km/h et une accélération de 0 à 100 en 8,5 s ou 7 s respectivement. Ces performances sont largement suffisantes.

Une fonctionnalité « One pedal »

Construite sur la même plateforme AmpR Small (anciennement CMF-B EV) que la R5, elle exploitera les deux mêmes batteries de 40 et 52 kWh qui promettent des autonomies de 300 et 400 km. Avec la fonction “One pedal”, elle permet une conduite fluide jusqu’à l’arrêt complet sans utiliser le frein, simplement en relâchant l’accélérateur, une option que la R5 ne propose pas.

Quant à la recharge, elle se positionne dans la moyenne des véhicules du même segment, avec une capacité de 11 kW sur du courant alternatif (AC, pratique pour les bornes domestiques ou publiques), mais jusqu’à 90 kW sur du courant continu (DC) pour la version de 120 ch, et 110 kW pour celle de 150 ch. Dans la configuration la plus optimale, il est possible de récupérer de 15 à 80 % d’autonomie en une demi-heure.

Tarification et disponibilité : question en suspens avec de bonnes perspectives

Le démarrage de la production est prévu pour mars de l’année prochaine. Bien que les finitions soient déterminées (trois au total : Evolution, Techno, Iconic), les prix n’ont pas encore été rendus publics. Logiquement, compte tenu de son positionnement et de ses dimensions, on peut anticiper un tarif initial supérieur aux 27 900 € sans bonus de la R5 de 120 ch en finition de base. On peut estimer un tarif sous les 30 000 €, question d’image. Cela n’a évidemment rien à voir avec les prix attractifs des premières 4L.

Tout espoir repose sur le fait que le gouvernement n’aménagera pas le bonus écologique de 1 000 €, prévu pour s’élever à 3 000 € dans le projet de loi de finances 2025, ceci pourrait influencer son attractivité. Mais avec ses nombreuses qualités et le charme nostalgique qu’elle évoque, la Renault 4 E-Tech electric dispose de solides arguments pour séduire les acheteurs malgré tout.

Sept décennies après les premiers pas de la MGA, MG fait un retour remarquable avec un roadster moderne fonctionnant à 100% à l’éléctricité. Nommé Cyberster, ce modèle se décline en deux versions. La première option, une propulsion de 250 kW (équivalent à 340 ch, capable de passer de 0 à 100 km/h en 5,2 secondes), développant un couple de 475 Nm, ne sera disponible qu’à partir de 2025.

La deuxième version, un modèle à transmission intégrale de 375 kW (ce qui correspond à 510 chevaux, atteignant le 0 à 100 km/h en seulement 3,2 secondes), avec un couple de 725 Nm, est disponible dès maintenant en France avec un tarif à partir de 67 990 euros. Pour cette configuration, le MG Cyberster est équipé d’une batterie de 77 kWh, offrant une autonomie estimée à 443 km.

Trois configurations proposées

Lors de son lancement, MG ne propose pas une abondance d’options pour le Cyberster. Seulement trois configurations sont disponibles, composées de différentes combinaisons de couleur de carrosserie, de toit, ainsi que d’ambiances intérieures variées.

Le Cyberster de MG n’offre pas une multitude de personnalisations.

En outre, MG a indiqué que, comme pour la version à propulsion du Cyberster, de nouvelles couleurs devraient être offertes dans un avenir très proche.

Avec le modèle EV3, Kia se lance sur le marché des SUV compacts complètement électriques. Dévoilé à la fin du mois de mai, ce véhicule a été présenté au grand public pour la première fois lors de l’édition 2024 du Mondial de l’Auto à Paris, qui s’est tenue du 14 au 20 octobre 2024.

Mesurant 4,30 mètres de long, 1,84 mètre de large et 1,57 mètre de haut, il s’adresse directement à des concurrents comme le Peugeot E-2008. Sous le capot, le Kia EV3 abrite une motorisation électrique de 150 kW, soit 204 chevaux, pouvant être associée, à choix, avec une batterie de 58,3 kWh ou de 81,4 kWh. Cela lui permet de parcourir jusqu’à 436 kilomètres en version Autonomie Standard, et jusqu’à 605 kilomètres dans la version Autonomie Longue.

Doté d’un système de recharge ultra-rapide 400V, le véhicule peut récupérer jusqu’à 80 % de sa charge en seulement 29 minutes pour la version Autonomie Standard et 31 minutes pour la version Autonomie Longue. Le Kia EV3 est également équipé du dispositif V2L (vehicle-to-load), qui permet d’alimenter divers appareils électriques comme des ordinateurs, bicyclettes ou trottinettes.

Trois choix de finitions

Concernant la sécurité, le Kia EV3 est équipé d’une série complète d’aides à la conduite, incluant le freinage d’urgence, le maintien de la voie, l’assistance à la conduite sur autoroute ainsi que la détection d’obstacles lors des manœuvres en marche arrière.

Disponible à partir de 35 990 euros, en comparaison aux 39 250 euros du Peugeot E-3008 (136 ch, batterie de 50 kWh), le modèle de base du Kia EV3 inclut divers éléments de sécurité, des roues en alliage de 17 pouces, des phares à LED, des barres de toit, une climatisation automatique bi-zone, des vitres électriques à l’avant et à l’arrière, ainsi qu’un système d’info-divertissement compatible avec Apple CarPlay et Android Auto via un triple écran panoramique.

La version intermédiaire, baptisée Earth, intègre des fonctionnalités supplémentaires telles que le système anticollision avec détection des angles morts, des fenêtres arrière teintées, des sièges chauffants ainsi qu’un volant chauffant, une clé digitale avec déverrouillage via un smartphone, et un rétroviseur intérieur électrochrome.

Pour finir, la version haut de gamme GT-line du Kia EV3 inclut sans surprise la batterie puissante de 81,4 kWh. Elle est également équipée de roues en alliage de 19 pouces, de l’assistance active à la conduite sur autoroute de niveau 2, du freinage d’urgence avec détection des piétons ou cyclistes, d’un hayon électrique à ouverture mains libres, de feux arrière à LED, sans omettre l’éclairage d’ambiance personnalisable.

Fabriqué en Corée du Sud, le Kia EV3 ne bénéficie pas du bonus écologique.